Des Marocaines veulent gravir le Kilimandjaro, plus haut sommet dâAfrique Le 28 mars 2017 Ă 12h05 ModifiĂ© 28 mars 2017 Ă 12h05 Cinq Marocaines s'apprĂȘtent Ă gravir le Kilimandjaro, le plus haut sommet africain en Tanzanie, Ă m d'altitude. Objectif planter le drapeau du Maroc sur le toit de l'Afrique. Cette expĂ©dition sera encadrĂ©e par Nacer Ibn Abdeljalil, premier Marocain Ă avoir atteint l'Everest. "J'ai eu l'idĂ©e de cette expĂ©dition symbolique aprĂšs le retour du Maroc au sein de l'UA", a confiĂ© Ibn Abdeljalil Ă la MAP, faisant savoir qu'il s'est empressĂ© de la partager sur sa page Facebook oĂč elle a Ă©tĂ© accueillie avec beaucoup d'enthousiasme. L'expĂ©dition, qui dĂ©bute jeudi 30 mars, doit durer une semaine avec une arrivĂ©e au sommet du Kilimandjaro prĂ©vue pour le 3 avril. Le groupe comprendra Zineb Alaoui Kacimi, Yasmina SitaĂŻl, Malika El Alami, Ilham Boujlid et Asmae Chraibi. Le 28 mars 2017 Ă 12h05 ModifiĂ© 28 mars 2017 Ă 12h05
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DaprĂšs le rapport 2018 de la Worldwide Broadband Speed League, sur la vitesse de tĂ©lĂ©chargement par pays dans le monde, Madagascar se trouve au sommet de lâAfrique en ayant lâune des plus grandes vitesses dâinternet haut dĂ©bit sur le continent noir.. Câest donc confirmĂ©. la Grande Ăźle est un marchĂ© oĂč il fait bon de surfer sur internet.
En Autriche, vous trouverez des milliers de montagnes et des centaines de trois mille. Nous ajouterons progressivement Ă cette liste des Autrichiens, principalement trois mille montagnes. Certains d'entre eux sont Ă©galement accessibles le long du sentier de randonnĂ©e, d'autres uniquement pour l'escalade. EspĂ©rons que cela vous inspirera d'autres randonnĂ©es et ascensions en montagne. 1. Grossglockner La plus haute montagne d'Autriche Altitude 3 798 m / 12 461 ft Le Grossglockner 3 798 m d'altitude n'est pas seulement la plus haute montagne du Hohe Tauern, mais aussi⊠continuer la lecture 2. Wildspitze La plus haute montagne du Tyrol Altitude 3 774 m / 12 382 ft Wildspitze 3 774 m d'altitude est la deuxiĂšme plus haute montagne d'Autriche et la plus haute du Tyrol. Sa⊠continuer la lecture 3. Boule blanche La troisiĂšme plus haute montagne d'Autriche Altitude 3 739 m / 12 267 ft Le massif WeiĂkugel 3 739 m d'altitude situĂ© sur la principale crĂȘte alpine est la troisiĂšme plus haute⊠continuer la lecture 4. Hintere Schwarze La cinquiĂšme plus haute montagne d'Autriche Altitude 3 628 m / 11 903 ft Hintere SchwĂ€rze 3 624 m d'altitude se trouve sur la principale crĂȘte alpine Ă la frontiĂšre avec l'Italie ⊠continuer la lecture 5. Similaun Montagne mythique Altitude 3 606 m / 11 831 ft Similaun 3 606 m au-dessus du niveau de la mer / parfois aussi appelĂ© 3 599 m au-dessus du niveau de la mer⊠continuer la lecture 6. Ramolkogel Connexion entre Vent et Obergurler Altitude 3 549 m / 11 644 ft Le massif du Ramolkogel se compose de quatre sommets GroĂer Ramolkogel 3 549 m d'altitude, Mittlerer R. ⊠continuer la lecture 7. Hochwernagtspitze Montagne entourĂ©e de glaciers Altitude 3 535 m / 11 598 ft Le Hochwernagtspitze 3 535 m d'altitude est la treiziĂšme plus haute montagne d'Autriche et la neuviĂšme des⊠continuer la lecture 8. Watzespitze Le plus haut sommet de la crĂȘte du Kaunergrat Altitude 3 533 m / 11 591 ft Watzespitze 3 532 m d'altitude est une montagne sur la crĂȘte du Kaunergrat, qui sĂ©pare la vallĂ©e du⊠continuer la lecture 9. Langtaufer Spitze Voisin du puissant Weisskugel Altitude 3 528 m / 11 575 ft Langtauferer Spitze 3 528 m d'altitude est l'une des plus hautes montagnes d'Autriche. GrĂące au fait qu'il⊠continuer la lecture 10. Marzell Spitze Une montagne entre deux voisins supĂ©rieurs Altitude 3 522 m / 11 555 ft Avec sa hauteur, Marzell Spitze 3 522 m d'altitude est l'une des plus hautes montagnes d'Autriche.⊠continuer la lecture 11. Mutmalspitze La montagne oubliĂ©e Altitude 3 522 m / 11 555 ft Le Mutmalspitze 3 522 m d'altitude regarde de loin, grĂące au petit glacier Mutmalferner, comme un trĂŽne de⊠continuer la lecture 12. Finailspitze Belle pyramide Altitude 3 514 m / 11 529 ft Finailspitze 3 514 m d'altitude ou en italien Punta di Finale est une belle pyramide sur la principale⊠continuer la lecture 13. Hochfeiler La plus haute montagne touristique d'Autriche Altitude 3 510 m / 11 516 ft Hochfeiler 3 510 m d'altitude situĂ© Ă la frontiĂšre entre l'Italie et l'Autriche est le plus haut sommet des⊠continuer la lecture 14. ZuckerhĂŒtl 3 507 m La plus haute montagne des Alpes de Stubai Altitude 3 507 m / 11 506 ft ZuckerhĂŒtl 3 507 m n'est pas seulement la plus haute montagne des Alpes de Stubai, mais aussi l'une des⊠continuer la lecture 15. Schrankogel La deuxiĂšme plus haute montagne des Alpes de Stubai Altitude 3 497 m / 11 473 ft Schrankogel 3 497 m d'altitude atteignant prĂšs de trois mille cinq cents mĂštres d'altitude est le deuxiĂšme⊠continuer la lecture 16. Grosser Möseler 3480 m La deuxiĂšme plus haute montagne des Alpes de Zillertal Altitude 3 480 m / 11 417 ft Grosser Möseler est la deuxiĂšme plus haute montagne des Alpes de Zillertal. Il est situĂ© sur la principale⊠continuer la lecture 17. Olperer 3476m La troisiĂšme plus haute montagne des Alpes de Zillertal Altitude 3 476 m / 11 404 ft GrĂące Ă sa pyramide supĂ©rieure, Olperer 3 476 m fait partie des montagnes emblĂ©matiques des Alpes de⊠continuer la lecture 18. Kreuzspitze Forte perspective touristique Altitude 3 455 m / 11 335 ft GrĂące Ă son altitude Ă©levĂ©e, une belle vue depuis le sommet et une ascension relativement trĂšs facile, la⊠continuer la lecture 19. 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Vorderer Diemkogel La montagne la plus visitĂ©e Altitude 3 368 m / 11 050 ft Vorderer Diemkogel 3 368 m au-dessus du niveau de la mer se trouve sur une crĂȘte latĂ©rale Ă trois sommets⊠continuer la lecture 25. Coupe intĂ©rieure noire Destination de ski au dĂ©part de Sölden Altitude 3 367 m / 11 047 ft Innere Schwarze Schneid 3 367 m d'altitude, cette montagne au nom escarpĂ© et long pour les Ă©trangers est⊠continuer la lecture 26. Seekogel Canine sur Rifflesee Altitude 3 357 m / 11 014 ft Seekogel 3 357 m au-dessus du niveau de la mer agissant comme un point de repĂšre impressionnant du lac⊠continuer la lecture 27. Glockturm Montagne semi-abandonnĂ©e Altitude 3 355 m / 11 007 ft Le Glockturm 3 355 m d'altitude au-dessus de la vallĂ©e de Kaunertal n'est pas l'une des montagnes les plus⊠continuer la lecture 28. Saykogel Sommet avec une belle vue Altitude 3 355 m / 11 007 ft Saykogel 3 355 m au-dessus du niveau de la mer est en soi un sommet trĂšs indistinct. Cependant, la⊠continuer la lecture 29. Puitkogel Mur de montagne sur le Geigenkamm Altitude 3 343 m / 10 968 ft Le Puitkogel 3 343 m au-dessus du niveau de la mer est la deuxiĂšme plus haute montagne de la crĂȘte sauvage⊠continuer la lecture 31. Linker Fernerkogel Montagne au-dessus de la patinoire Altitude 3 277 m / 10 751 ft Le Linker Fernerkogel 3 277 m d'altitude ne fait pas partie des sommets les plus hauts des Alpes de l⊠continuer la lecture 32. Mittagskogel Forteresse au-dessus du Pitztal Altitude 3 159 m / 10 364 ft Le sommet du Mittagskogel 3 159 m au-dessus du niveau de la mer est facilement accessible trois mille, qui,⊠continuer la lecture 33. Marzellkamm Paroi rocheuse indistincte Altitude 3 147 m / 10 325 ft Marzellkamm 3 147 m au-dessus du niveau de la mer est l'un des trois mille les moins importants d'Autriche.⊠continuer la lecture 35. 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Legouvernement tanzanien a confirmé l'accÚs à l'internet à haute fréquence sur la montagne Kilimandjaro, le 16 août. Situé à 5 895 m au-dessus du niveau de la mer, le Kilimandjaro est le plus haut sommet d'Afrique et de l'hémisphÚre oriental. Les trekkeurs auront désormais la possibilité de profiter de l'utilisation d'Internet non seulement sur
1er janvier 2013, 1re journĂ©e Kilimandjaro, Tanzanie 7 h, on se rĂ©unit pour le petit-dĂ©jeuner sur le bord de la piscine Ćufs, patates, ailes de poulet, accompagnĂ©s dâune espĂšce de gruau local. On a rendez-vous avec notre guide Ă 8 h 30, mais il nâarrive quâĂ 9 h. On charge le minibus, et une douzaine de porteurs montent avec nous. On arrĂȘte en route pour sâacheter de lâeau pour la journĂ©e. Il fait un temps superbe, trĂšs ensoleillĂ©. Il nous faut une heure pour rejoindre le dĂ©part de la Machame Trail du Kilimandjaro. Pendant que notre Ă©quipe de porteurs passe Ă la pesĂ©e des charges, on remplit nos gourdes dâeau et on procĂšde Ă notre enregistrement dans le parc. Des Suisses, des Belges et des Français font la queue avec nous. En attendant ensuite notre guide pour partir, excitĂ©s au maximum, on procĂšde aux derniers ajustements dâĂ©quipement. On nous remet notre lunch quâon place dans notre sac de jour et on nous donne le signal de partir, il est 11 h 15. Pole-Pole jusquâau campement, nous dit-on. Aucun guide ne nous accompagnera pour cette section du parcours sans difficultĂ© ni risque de se perdre en route. On part de 1800 m dâaltitude et on doit se rendre Ă 3000 m sur un trajet de 18 km. Enfin, câest bien rĂ©el, on entame lâascension du Kili aprĂšs plus de deux ans de prĂ©paration, vĂȘtus de shorts et t-shirts, car la tempĂ©rature est chaude et humide. La route est large et abrupte dĂšs le dĂ©part. On marche Ă travers une forĂȘt tropicale luxuriante. Une liane pend au passage. Hugo en profite pour faire Tarzan, mais Jane ne rĂ©pond pas. AprĂšs 75 minutes de montĂ©e, une pluie diluvienne quâon nâavait pas vu venir sâabat sur nous. On cherche un abri sous les arbres et on met nos vĂȘtements de pluie. Trop tard, on est dĂ©trempĂ©. Croyant que cela va se calmer, vu lâintensitĂ© de la pluie, on sâarrĂȘte pour manger notre lunch un burger froid, du poulet, une mini-banane, un biscuit et du jus. La mĂ©tĂ©o ne change pas, on poursuit notre route sous la pluie. On arrive au campement Ă 15 h 45, soit 4 h 30 aprĂšs notre dĂ©part. On signe le registre, mais notre campement nâest pas prĂȘt, on est montĂ© trop vite, ça devait nous en prendre 6 h. La pluie se calme et sâarrĂȘte, tout le monde essaie dâen profiter pour faire sĂ©cher son linge. On sâinstalle des cordes Ă linge de fortune. Chacun est plus imaginatif que lâautre pour faire sĂ©cher ses bottes riz, Ă©ventail, bougie, serviette, poudre pour bĂ©bĂ©, duct tape, etc. Steve est passablement prĂ©occupĂ© par lâĂ©tat de ses bottes. Pendant ce temps, les membres de notre Ă©quipe de sherpas et de cuisiniers arrive les uns aprĂšs les autres et sâaffairent Ă monter le campement, ils sont 23 au total 18 porteurs, 3 guides et 3 cuisiniers. Laissez-moi vous prĂ©senter JUMA, le chef guide. Ainsi que Speedy Gonzalez, nous lâavons baptisĂ© ainsi, car il ne marche pas, il cours tout le temps. De plus, câest un gars cool qu aide tout le monde et il a toujours une attitude positive Nous avons aussi Erin, notre second guide, le doyen du groupe, il a 63 ans et Ă montĂ© le Kili plus dâune centaine de fois. Peu de temps aprĂšs, on sâinstalle dans la tente cuisine pour une partie de dĂ©s. Le souper arrive du poisson panĂ©. Juma vient nous expliquer la journĂ©e du lendemain, une courte ascension de 3 h 30 jusquâĂ 3800 m. Quelques parties de dĂ©s et on va se coucher dans nos tentes deux places. 2 janvier 2013, 2e journĂ©e Kilimandjaro, Tanzanie On se lĂšve Ă 7 h, on fait notre toilette, on remplit nos gourdes avant le petit-dĂ©jeuner de pain sec avec confiture, miel et beurre dâarachide, servi avec cafĂ© et chocolat chaud. Plus tard, on nous sert aussi les Ćufs et la saucisse. On part vers 9 h30 avec Juma et deux guides, il ne pleut pas, la tempĂ©rature est bonne, Ă 15 oC, on en profite pour admirer le paysage, mais on sent que lâorage nâest pas loin. Finalement on voit un gros nuage noir, vite, on met nos Goretex et aussitĂŽt la pluie se met Ă tomber et le tonnerre gronde dans la montagne. La pluie est si forte que la route se transforme en riviĂšre. La tempĂ©rature change drastiquement et la pluie se transforme en grĂȘle. On peine Ă avancer dans ces conditions. Quelques passages serrĂ©s sont effectuĂ©s sur des parois abruptes. Ătant donnĂ© lâĂ©tat de la situation, on dĂ©cide de prendre une pause sous un gros rocher. Nous sommes dĂ©trempĂ©s, la tempĂ©rature avoisine les 4 oC. Des porteurs vĂȘtus seulement de t-shirts y sont rĂ©fugiĂ©s⊠ça nâa pas de sens, ils vont crever de froid. AprĂšs 30 minutes de repos, la tempĂ©rature ne semble pas vouloir changer, alors on dĂ©cide de repartir malgrĂ© la grĂȘle et le tonnerre qui gronde toujours. La route est devenue impraticable tellement quâil y a dâeau et de grĂȘle. Ă plusieurs reprise on doit enjamber des riviĂšres. Finalement, on arrive Ă lâemplacement du campement 4 h 30 plus tard, il y a 5 cm de grĂȘle Ă la grandeur du site et nos tentes sont affaissĂ©es sous le poids des billes de glace. On se rend signer les registres dĂ©clarant notre arrivĂ©e et on se rĂ©fugie dans une petite salle Ă lâarriĂšre du refuge de bois. On est gelĂ© et transpercĂ© par lâhumiditĂ©. Juma vient nous rejoindre, il est dĂ©couragĂ©. Notre Ă©quipe de porteurs a eu beaucoup de difficultĂ©s Ă se rendre. Ils nous apportent un bon thĂ©, cela nous redonne des forces. La pluie se calme, on se rend Ă nos tentes autour desquelles on creuse des rigoles avec des bĂątons de bois pour Ă©viter dâĂȘtre inondĂ© pendant la nuit. Ouch! Faut pas creuser trop vite, ça donne mal Ă la tĂȘte Ă 3800 m. La pluie cesse, on Ă©tend notre linge pour le faire sĂ©cher, tout le monde a mĂ©thode et tente de faire le mieux avec ce quâils ont. AussitĂŽt que tout le linge est Ă©tendu, la pluie reprend aussitĂŽt. Impossible de faire sĂ©cher quoi que ce soit! On fait connaissance de trois AmĂ©ricains, un gars et ses deux sĆurs, de mĂȘme quâun Indien, un Chilien et un SuĂ©dois. Il nây a rien Ă faire, sinon jouer aux dĂ©s en buvant du thĂ© chaud, tout en essayant de faire sĂ©cher nos bottes en attendant le souper. Plus tard, câest le dĂ©briefing de Juma, le moral de son Ă©quipe est de 50-50 nous dit-il. Bref, vraiment pas fort. Il nous explique que câest la premiĂšre fois quâil voit de la neige/grĂȘle couvrir le sol Ă cet endroit. Le moral de Steve nâest pas trĂšs fort non plus, il se demande comment il pourra atteindre le sommet avec des bottes mouillĂ©es, alors que les tempĂ©ratures sont sous zĂ©ro. MalgrĂ© la tempĂ©rature, le reste de lâĂ©quipe demeure positif et essaie de transmettre son Ă©tat dâesprit aux autres. Demain tout ira mieux. 3 janvier 2013, 3e journĂ©e Kilimandjaro, Tanzanie On se rĂ©veille aprĂšs une nuit passĂ©e sous la pluie, les rigoles ont fait le travail, mais les tentes prennent lâeau par les coutures. Au matin, il ne pleut plus, mais la tempĂ©rature nâest pas meilleure. On remet notre linge mouillĂ© et on repart aprĂšs le petit-dĂ©jeuner. Un seul guide nous accompagne Erin. Juma doit redescendre lâautre guide qui souffre dâhypothermie. On entreprend lâascension vers la Lava Tower. AprĂšs une heure de montĂ©e, on croise des sherpas qui se relaient pour descendre un brancard. On dirait quâils redescendent un cadavre, mais non, câest un sherpa en hypothermie. Steve se prĂ©occupe particuliĂšrement de sa situation, il cherche son sleeping pour le rĂ©chauffer, mais nos sherpas sont parties avec nos sacs donc impossible de le trouver, aprĂšs quelques conseils et validations, il le laisse descendre. Deux heures dâaccalmie nous permettent de sĂ©cher un peu, mais la pluie reprend de plus belle. On est Ă plus de 4000 m, lâaltitude se fait sentir pour certains maux de tĂȘte et Ă©tourdissement persistant. Pole-pole, on poursuit sous une pluie froide jusquâĂ atteindre la Lava Tower Ă 4600 m dans des conditions particuliĂšrement difficiles avec une tempĂ©rature qui tourne autour du point de congĂ©lation. Habituellement, ce point dâarrĂȘt est magnifiqueâŠmais pas de chance pour nous. Nous sommes dans la neige et dans les nuages. On prend notre lunch Ă cĂŽtĂ© dâune grosse roche Ă moitiĂ© Ă lâabri de la neige mouillante. On est dĂ©trempĂ©, le froid nous transperce les os. On ne sâattarde pas, il nous faut bouger garder notre chaleur. Pour la suite, il nous faut redescendre Ă 4000 m Ă travers un ruisseau et une route escarpĂ©e. ArrivĂ©s au camp, il pleut encore, impossible de se faire sĂ©cher, on est dĂ©trempĂ©, un peu fiĂ©vreux et Ă©puisĂ©. Pendant que certains se rĂ©unissent avec nos amis chilien et indien, Hugo et moi en profitons pour faire un repos de 15 minutes dans notre tente. Jâen ai plein mon casque. Jâignore si ce sont les effets secondaires de la mĂ©floquine que jâai prise la veille contre la malaria qui me cause ces Ă©tourdissements, mais cette journĂ©e a Ă©tĂ© particuliĂšrement difficile. Je me dis que jâaurais dĂ» prendre de la Malarone comme les autres, un produit quâon prend chaque jour au lieu dâune fois par semaine, mais qui cause moins dâeffet secondaire. On se rĂ©unit ensuite pour souper, le moral des troupes est Ă son plus bas. Câest pourquoi, il nâa pas de photos!! AprĂšs trois jours de pluie, on se demande comment on arrivera Ă gĂ©rer nos vĂȘtements pour atteindre le sommet au sec. Juma est de retour aprĂšs avoir escortĂ© lâautre guide plus bas sur la montagne. Il nous informe quâil y a eu sept morts sur la montagne la veille, pour la plupart, des sherpas morts dâhypothermie, mais aussi un grimpeur irlandais, Ian McKeever, happĂ© par la foudre. Juma se veut rassurant, il nous dit que maintenant que la montagne a pris ces vies, tout ira mieux. Malheureusement, on ne partage pas les mĂȘmes convictions. Face Ă lâadversitĂ©, le groupe se rĂ©unit pour regarder les diffĂ©rentes options possibles. Notre voyage Ă©tait initialement prĂ©vu durer sept jours avec lâatteinte du sommet au jour 6. PremiĂšre option garder le plan initial et se donner les meilleures possibilitĂ©s dâacclimatation. DeuxiĂšme option se rendre directement au camp de Barafu Ă 4600 m pour tenter lâascension au jour 5 avec des vĂȘtements secs. Finalement, aprĂšs discussion avec Juma, on dĂ©cide de se rendre Ă Barafu et de voir dans quelles conditions nous serons pour tenter lâascension la nuit venue. Dossier conclu, on nâĂ©tire pas la soirĂ©e plus longtemps et on va se coucher en espĂ©rant que la nuit sera bonne. 4 janvier 2013, 4e journĂ©e Kilimandjaro, Tanzanie La nuit a Ă©tĂ© calme, peu de pluie, mais les tentes sont trĂšs humides. Heureusement, au matin, il ne pleut pas et on peut faire sĂ©cher nos trucs pendant une heure. La vue est magnifique, cela nous redonne de lâĂ©nergie et du positivisme au groupe. On part quand mĂȘme mouillĂ©, on range les bĂątons pour escalader une paroi de 200 m. Ce sera la seule partie technique du trek. Les sherpas sont vraiment surhumain. Ils transportent des charges lourdes en plus de devoir grimper des parois abruptes. Ils ont tous notre respect! Une fois rendu en haut de la paroi, nous arrivons sur un plateau oĂč on peut voir le campement Barranco, celui oĂč nous sommes partis ce matin. On croise plusieurs porteurs. Nous arrivons au camp Karanga, 3930m. Câest ce camp que nous avons dĂ©cidĂ© de sauter pour nous rendre directement Ă Barafu. Une chance, car en arrivant, nous voilĂ encore dans les nuages et la pluie se mets un peu de la partie. On dĂ©cide de pousser la cadence et de continuer Ă monter, on se dit quâil fera peut-ĂȘtre plus beau au dessus des nuages. Finalement, on prend encore une bonne dĂ©cision, sur la crĂȘte, il ne pleut pas et câest lĂ quâon mange un peu et on se repose. On continue notre chemin et on doit traverser une coulisse de lave. Le reste du chemin jusquâĂ Barafu est relativement sec. Pole-pole, guidĂ©s par Alain et Hugo, il nous faudra au total six heures pour atteindre le campement de Barafu. Il est 15 h 30, le moral des troupes est excellent, surtout quand nous avons une Ă©claircie qui nous permet de voir rapidement le sommet. Pour prendre la citation de lâaustralien que nous avions rencontrĂ© en dĂ©but de voyage »When the sun comes out, itâs amazing, mate ». De plus, lâaltitude ne nous a pas trop affectĂ©s durant cette longue journĂ©e de marche. Steve avait apportĂ© un tĂ©lĂ©phone satellite, on en profite donc pour tĂ©lĂ©phoner nos femmes et nos enfants pour leur expliquer notre cheminement jusquâici et surtout pour leur dire quâon fera le sommet ce soir. AussitĂŽt, que lâon fini nos appels, il se remet Ă pleuvoir lĂ©gĂšrement et rien ne sĂšche en fin de journĂ©e. On prend notre souper plus tĂŽt quâĂ lâhabitude vers 17 h. Câest Ă ce moment-lĂ quâon confirme quâon dĂ©cide de sâattaquer au sommet le soir mĂȘme. Au menu ce soir-lĂ , un ragoĂ»t africain Ă base de pommes de terre, le repas typique prĂ©ascension. Rodolphe avale une pilule pour dormir, il veut ĂȘtre sĂ»r de dormir avant la montĂ©e. Juma vient nous rencontrer avec trois autres gars qui feront lâascension finale avec nous. Il nous indique comment nous habiller. On se lĂšvera Ă 23 h pour prendre un thĂ© et partir Ă minuit. Tout le monde est excitĂ©, chacun retourne Ă sa tente pour prĂ©parer ses affaires. 18 h 30, extinction des feux, difficile de fermer lâĆil en raison du mĂ©lange dâexcitation et dâaltitude. Dormi ou pas, Juma sonne le rĂ©veil Ă 23 h0. Tout le monde sâhabille et sort de sa tente givrĂ©e par le froid, il fait -5 oC. On se rĂ©unit sous la tente cuisine pour le thĂ©. On nous remet notre eau pour le trajet et, sans plus de prĂ©ambules, câest un dĂ©part. ĂquipĂ©s de nos lampes frontales, on entreprend la montĂ©e vers notre objectif ultime, lâUhuru Peak. On aperçoit au loin des dizaines de lumiĂšres avançant Ă la file indienne Ă travers la montagne. Nous sommes dans les derniers groupes Ă partir. Le ciel est Ă©toilĂ©, il nây a aucun nuage, on voit la lune se lever Ă lâhorizonĂ©. Cela nous rappelle quâon en a pour la nuit Ă marcher, car on doit atteindre le sommet Ă la levĂ©e du jour. Pole-pole, nous avançons dans la nuit, mais rapidement nous devons effectuer un premier arrĂȘt pour enlever une couche, on sâest trop habillĂ©. Un dĂ©but facile, aucun mal de tĂȘte, ni Ă©tourdissement jusquâĂ 5000 m. Ă ce niveau, les nuages apparaissent et la tempĂ©rature se refroidit, un deuxiĂšme arrĂȘt est nĂ©cessaire pour se revĂȘtir et ajouter quelques Hot Pads dans nos mitaines, il fait alors -8 oC, mais ça paraĂźt plus froid. En voulant faire vite en sâhabillant, on sâessouffle rapidement. On se rappelle dây aller pole-pole. Les premiers symptĂŽmes du mal de lâaltitude apparaissent maux de tĂȘte et lĂ©gers Ă©tourdissements. La tempĂ©rature continue de descendre, il fait -10 oC, mais avec le vent qui sâest levĂ© et lâhumiditĂ©, ce doit ĂȘtre -20 oC comme tempĂ©rature ressentie. Pas un mot dans les troupes, chacun se concentre Ă passer un pied devant lâautre trĂšs lentement, Ă bien respirer, boire, manger et bouger ses extrĂ©mitĂ©s pour ne pas geler. Quelques arrĂȘts courts et efficaces pour boire et pisser. On dĂ©passe plusieurs groupes dans la montĂ©e. Ce nâest pas quâon va plus vite, mais on arrĂȘte moins longtemps, faut croire quâon est plus efficaces dans les arrĂȘts au puits. Hugo commence Ă avoir une dĂ©marche plus erratique, on remarque quâil tangue lĂ©gĂšrement de gauche Ă droite en montant. Plus on avance, plus il vacille. Christian, qui est juste derriĂšre lui, le replace Ă quelques reprises dans le chemin. On effectue un court arrĂȘt, Rodolphe prend la relĂšve derriĂšre Hugo, le manĂšge se poursuit. On est Ă 5300 m, Ă mi-chemin du sommet, câest Ă mon tour dâĂȘtre derriĂšre Hugo. Rodolphe mâinforme discrĂštement de surveiller Hugo. Je constate rapidement son Ă©tat. AussitĂŽt reparti, il perd pied et je dois lâattraper. Hugo a dĂ©passĂ© le stade des Ă©tourdissements, mais il persĂ©vĂšre dans la montĂ©e. Quelques minutes plus tard, il perd pied Ă nouveau. Je le rattrape, mais trop essoufflĂ© je demande Ă Rodolphe de prendre ma place. En repartant, Hugo perd pied une fois de plus, mais cette fois-ci Rodolphe le rattrape in extremis dâune chute de plusieurs mĂštres. Ăa semble la fin pour Hugo. On prend une pause pour en discuter. Hugo tient absolument Ă poursuivre. Un de nos guides le dĂ©charge de son sac et je lui prĂȘte mes bĂątons et nous voilĂ repartis. Pour Hugo, cela semble mieux aller, mais sa dĂ©marche demeure pĂ©nible. Le sommet est encore loin et il semble impensable quâon lâatteigne aujourdâhui, mais personne ne sâimagine refaire ce quâon a fait le lendemain, alors on continue. Les jambes lourdes, un pas Ă la fois, on continue tant quâon est capable et quâil nây a pas de signes de danger. La dĂ©marche dHugo demeure trĂšs prĂ©caire, il demande une pause et au mĂȘme moment il sâeffondre et se met Ă vomir. AussitĂŽt, les guides lâentourent. Ăa y est, câest fini pour aujourdâhui se dit-on; on a quâĂ retourner Ă Barafu et on rĂ©essayer le lendemain. On est Ă 5600 m au-dessus des nuages, il fait toujours nuit et on est tout prĂšs dâatteindre Stella Point. PassĂ© ce point, on sait que la pente est moins raide et la route plus facile. Les guides se font rassurants, câest la meilleure chose quâil pouvait arriver Ă Hugo nous disent-ils, maintenant il sera plus fort que nous tous. Hugo insiste pour poursuivre, on repart pole-pole, la pente est abrupte, les bottes traĂźnent sur le sol. Chacun entre dans sa bulle et met le focus sur ce quâil a Ă faire, chacun des pas est le prochain sommet Ă atteindre. Tout Ă coup, sans sâen rendre compte on est Ă Stella Point, le pire est fait. On se fait lâaccolade en voyant la lueur du soleil au loin, une lueur dâespoir nous disant que nous atteindrons le sommet bientĂŽt, une chaleur incroyable envahit nos corps gelĂ©s. On est Ă 5700 m. Une petite photo, et on repart, la vue est magnifique. On avance tranquillement sur la crĂȘte avec, dâun cĂŽtĂ©, le cratĂšre du volcan et de lâautre lâimmense glacier. Finalement, Ă 6 h 20, on atteint le sommet du Kilimandjaro, Uhuru Peak, le plus haut sommet dâAfrique Ă 5895 m. On est parmi les premiers de la journĂ©e, seulement une quinzaine de personnes y sont dĂ©jĂ . VidĂ©s, Ă©puisĂ©s, on atteint lâobjectif ultime aprĂšs avoir traversĂ© plusieurs embĂ»ches et remises en question, lâĂ©motion est intense. Tout le monde pleure de joie et cĂ©lĂšbre sa rĂ©ussite. Steve trouve mĂȘme lâĂ©nergie pour faire des entrevues avec chacun de nous. Il joue au journaliste de Radio Canada comme vous verrez dans la vidĂ©o!! Difficile pour nous de comprendre, car Steve Ă©tait le moins en forme de la gang et le voilĂ tout plein dâĂ©nergie au sommet, aucunement affectĂ© par lâaltitude. On prend la photo dâusage avec lâĂ©quipe, on profite du sommet, mais nos guides nous pressent de repartir, dâautres grimpeurs affluent, on ne peut pas monopoliser la place. Nous redescendons tranquillement vers Stella Point sous les rayons du soleil qui nous rĂ©chauffent. Lâeuphorie du sommet se dissipe et laisse place Ă la fatigue, on est complĂštement crevĂ©s. Petite pause Ă Stella Point, on mange un peu et on entame la descente abrupte dans le chemin de pierre et de sable volcanique qui sâĂ©croule sous nos pieds. La descente est beaucoup plus difficile musculairement que la montĂ©e, Rodolphe et Christian abandonnent leurs sacs aux guides. Cela nous prend deux heures pour atteindre le camp de Barafu. On prend un petit jus de fruit et tout le monde retourne se coucher 90 minutes. On apprĂ©cie ensuite un spaghetti au bĆuf, avant de remballer nos sacs de voyage et repartir. Le chemin de roche se transforme encore une fois en riviĂšre Ă plusieurs endroits de la descente, mais la pluie est moins persistante quâĂ la montĂ©e. La descente est difficile, les orteils tapent dans le fond des bottes, les genoux prennent lâimpact de chaque pas, des ampoules se forment aux pieds. Câest lĂ que lentraĂźnement des mois prĂ©cĂ©dents paie le plus. AprĂšs trois heures de marche, on arrive au camp oĂč nous devons passer la nuit. Sans trop dâintĂ©rĂȘt Ă dormir une nuit de plus dans une tente humide, Hugo et moi proposons au reste du groupe de poursuivre la descente jusquâen bas. AprĂšs quelques discussions et en Ă©change de payer la biĂšre et la pizza, nous convainquons le reste du groupe de poursuivre. Avant de nous laisser partir, nos sherpas nous demandent de leur remettre leur pourboire puisquâils resteront dormir Ă ce camp. Nâayant pas cet argent en main, on leur explique quâon leur versera le lendemain Ă lâhĂŽtel. On voit dans leurs visages quâils ne sont pas du tout Ă lâaise avec cette procĂ©dure. Le mĂ©contentement sâinstalle. AprĂšs plusieurs minutes de discussion, ils dĂ©cident finalement de nous suivre jusquâen bas et de recevoir leur pourboire au bureau de lâagence le lendemain. On reprend finalement la route. Hugo, Steve et moi suivons Erin au pas des sherpas, on aperçoit quelques singes au passage. Alain, accompagne Juma, Rodolphe et Christian suivant un peu plus loin derriĂšre. 37 km plus loin et Ă 4000 m du sommet, nous voilĂ enfin arrivĂ©s au camp de base du Kilimandjaro, 16 heures aprĂšs ĂȘtre partis du camp de Barafu pour atteindre le sommet du Kilimandjaro. Ă notre arrivĂ©e, on en profite pour prendre quelques Tusker avec nos guides en attendant Christian, Rodolphe et Alain. Finalement, le reste du groupe arrive une heure plus tard. Voici Christian avec nos trois guides qui nous ont fait atteindre le sommet. Le retour se fait ensuite dans un autobus avec notre Ă©quipe de porteurs, dans la joie et en chantant lâhymne du Kilimandjaro Hacuna matata! Merci Ă tous nos guides, porteurs et cuisiniers, sans vous nous nâaurions pas eu le mĂȘme succĂšs! oOmoJqG.