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Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardMalicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Mar 9 Mai - 027 Y a une musique qui rĂ©sonne. Le boom, boom de ton coeurTu souris,Tes yeux se rĂ©vulsent un peuLe rythme t’emporteC’est drĂŽleComme c’est facile de laisserLe moment t’ doigts tapent contre le solAu rythme qui tape dans ta tĂȘteUnDeuxTroisT’as l’impression que le corpsQuitte le solEt tu volesAvec les notesQui s’échappent de toiIl y a des rires aussi Qui rĂ©sonnentMais tu ne sais pasS’ils viennent de toiOu s’il viennent du nĂ©antT’as plus conscience de rienJe ne sais pas ce que tu vois, toi. Mais t’as l’air de t’éclater. J’aimerais bien voir ce que tu vois parce qu’au niveau visuel, je ne suis pas capable de remarquer quoique ce soit. Je vois trouble, je ne peux me concentrer sur mon audition. J’entends le moindre bruit comme si tout Ă©tait dĂ©cuplĂ©. Ta respiration, tes battements de coeur, les pas des personnes aux alentours. J’entends tout. Comme si j’étais ne sais pas commentMais ton corps est au solEn contact avec le bitumeFroid. contraste avec ta tes forces dans les te gauche Ă  te diriges vers un mur,Ou une colonneTes mains se figentContre les suis le cheminDu bout des doigtsFascinĂ©es par le brillantQui essaie de s’ peu comme le chatQui essaie d’attraper le laserMais t’entends du mouvementComme si on bougeait derriĂšre toiMais c’est toi Alhena. Qui t’agites sans dire un mot. J’hĂ©site entre rigoler et te faire un cĂąlin. C’est vrai, je n’avais jamais remarquĂ© Ă  quel point ces soirĂ©es, lĂ , elles me manquaient. J’avais oubliĂ© que tu Ă©tais une des seules qui pouvait me suivre dans ces trips sans me juger vraiment. Alors je te regarde et je m’approche de toi. Je me pose Ă  ton niveau en me laissant tomber lĂ©gĂšrement. C’est comme si toutes mes forces m’avaient quittĂ©es. Et j’admire. Tu admires la chose devant ne sais que ça peut difficile Ă  Puis tu le reflet de tes yeuxQue tu voisTu plonges dedans Comme tu sauterais dans l’ et tu fou ce que les pupilles dilatĂ©es te vont Bien. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Jeu 11 Mai - 000 Mais euuuuuuhMaliciaaaBADABOUMPourquoi le ciel il tourne ? Pourquoi les nuages ils bougent ? Pourquoi y a des humains sur terre ?Et c'est quoi ça encore ? C'est froid Malicia, c'est trop froidAh non PardonC'est juste le solMais ça reste froid... OH MALICIA !!!!Il pleut ! Est-ce que tu crois qu'on peut boire l'eau de la pluie ?Parce que genre, c'est un peu sale non ? Mais ça reste des gouttes d'eau, alors on pourrait s'hydrater avec non ? HumHuuuuuuuuuumPfeuhMalicia, les gouttes elles agressent mon visage !!Mon si joli petit visageavec mon petit nezet mes pommettes Dis leur d'arrĂȘter, steplait, steplaitElles me font pleurerMĂȘme si sous la pluieça se voit pasDis Malicia, Toi aussi tu as remarquĂ© Ă  quel point tu es jolie ? T'es blonde, t'es trop belleTon sourire il dĂ©chire, on dirait celui de la reine d'Angleterre Tu lui ressembles tellement, Et puis, je me suis toujours demandĂ©eT'es pas un peu bĂ©arnaise ? On dirait que tu viens de lĂ -bas !!!Oh mais !T'as un grain de beautĂ© lĂ  ! L'est beau, l'est carrĂ©ment mignonc'est chout'es chout'es pouffy avec ta blondeur et tes yeux gris -ou d'une autre couleur je sais pluset ton sourireet tes pupilles dilatĂ©es Viens on court ? Genre on court partout, on crie et on rĂ©veille tout le monde !Parce que c'est drĂŽle, les gens vont ĂȘtre pas contentMais on s'en fiche d'eux quoi que...nonJ'arrive pas Ă  bougerc'est trop dur d'affronter la pluieJe vais attraper froid je croisMALICIAMAAAALLIIIICCCIIAAANan Rien rien Je sais plus en faitJe crois c'est juste ton prĂ©nom Je voudrais le crierMais l'est mocheAlors je vais me taper la honte tu voisFaut que tu me comprennesC'est pas cool quand ta meilleure amie elle s'appelle MaliciaMaliceMaliciat'saisGenre, tes parents ils t'aimaient pas assez pour te donner un prĂ©nom correct tu crois ? C'est pas trĂšs gentilMais c'est pas grave, Parce que t'es belleque t'es encore mon amiealors on s'en ficheon est toutes les deux et c'est le seul truc importantgenre nous et le solc'est tout ce qui compteParce que le reste, on a pas besoin d'eux pour vivre correctementOu alors un peu d'eau et de nourritureAu pire, on mange nos cheveux et on boit la pluie, c'est suffisant Nan ?Mais siiiiiRooohAllez, Bisous ! Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Malicia Evans, le Jeu 11 Mai - 052 Juste pour t'embĂȘter, je te rĂ©ponds vite Et
Et mais
Et mais tu vois pas ?Mais si !Regarde !Non, regarde lĂ  !Ce point clignote, je ton avis, c’est quoi ?Je sais pas, couleursElles apparaissentElles disparaissentTu crois qu’elles jouent ?Tu sais, Ă  on jouait d’ se on avait 5 pourrait ĂȘtre vas te tu te lĂšves pas ?Tu veux pas jouer avec moi ?Tu m’aimes pas, c’est sĂ»re que c’est suis trop dĂ©shydratĂ©e pour dans ma a les gros grosses larmes qui coulentComme si j’avais tout que je voulais juste jouer mon amie. Parce que t’es mon amie, non ?Bah oui, tu l’ pourrais raconter que j’ai uneCopine qui a le nom d’une Ă©toileUne Ă©toile jaune, en plus. Oui. C’est plus que tu sois ? Je sais pas, comme j’ai une petite Ă©toile jauneComme crois qu’on me croira Si je le dis ?J’espĂšre que que c’est rare les amies que toi,T’es un peu bizarre quand t’es t’es avec ça pardonne je lumiĂšres,Elles s’approchent crois
Tu crois que ça va nous kidnapper ?J'espĂšre pas quand mĂȘme. Tu sais,Les trucs tout lĂ  haut,Avec les qu’ils viennent rĂ©cupĂ©rer des qu’ils viennent rĂ©cupĂ©rer l’un des te tu pars, Dis moi au-revoir. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 12 Mai - 1519 MaliciaRegarde comment l'univers il est beauTout le monde il est contentY a des lumiĂšresDes Ă©tincelles de couleurs qui partent dans tous les sensViens on se lĂšveet on saute dans les flaquesJ'ai pas envie de me cacherJ'ai pas envie d'ĂȘtre dans l'ombre encoreAllez viens on joueOn s'en fiche du resteParce que t'saisJ'ai mal au ventre moiAlors peut-ĂȘtre que c'est parce que j'ai mangĂ© un truc pĂ©rimĂ©Mais les papillons dans le ventreLe vide intersidĂ©ral Je sais bien que c'est pas le mĂȘme problĂšmeMALICIA Viens on joue Viens on abandonne le resteViens on les *mmerdeParce que c'est des humains, des ĂȘtres pas de lumiĂšreIls sont lĂ , ils errent dans une rĂ©alitĂ© qui me fait vomirREGARDE MALICIA Y a un insecte qui vient de passerL'est Ă  cĂŽtĂ© de la plaqueah maintenant il est devantMais... euhJ'aime pas les bĂȘtesJ'aime pas ce qui est vivant en faitSauf toiParce que t'es pas un problĂšme T'es pas une angoisseT'es comme le lampadaire lĂ Tu m'Ă©claires le cheminTu peux poser des pierres sur le bordUne noireUne blancheUne noire Une blancheComme avec les Ă©checsSauf que l'Ă©chec c'est quand on a pas buParce qu'on peut pas danserOn peut pas s'embrasserMal...IciaT'es un peu une esclave de la bĂȘtise quand tu t'y metsT'es un merlinUne sorciĂšre qui tire les cartesavec ta boule de cristal, tu me montres c'est quoi l'avenirT'es le chemin de fer du trainMais tu glandes rienParce que la flemme c'est parfaitAlors tu restes lĂ  sur la solAvec moiParce que c'est rigoloC'est trempĂ© et on se fait agressĂ© par des nuagesPrends moi la main comme une enfantDevient le papa et je jouerai la maman Tu crois que si avait un fils, On l'appelait comment ? Dis comment on l'appellerai ? On lui trouverait un nom tout pourri Parce que c'est amusantOn verra comment il se dĂ©brouillera avec son petit nom commençant par un ALhena ou MAliciaCe sera notre filsNotre truc qui sert de gosseC'est beau... Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Mar 13 Juin - 1526 Sans rĂ©ponse depuis un mois, je me permet de reprendre, ma voliĂšre est ouverte si soucis ...DĂ©part silencieuxavec Josephine CampbellAujourd'hui Ă©tait un jour particulier pour les Ă©lĂšves de Poudlard, c'Ă©tait le dernier jour de l'annĂ©e scolaire. D'ici quelques heures seulement, tous retrouveraient leurs familles respectives et le grand chĂąteau redeviendrait aussi calme et paisible que possible pour les deux mois Ă  venir. DĂ©jĂ , quelques groupes d'Ă©lĂšves avançaient vers les quais, discutant de leurs derniers cours et de leurs projets pour les vacances. Se promettant milles hiboux et milles autres merveilles nonchalamment contre le mur de la gare, Artemis regardait passer avec envie et tristesse les petits groupes qui se quittaient. Que n'aurait-il pas donner lui aussi pour ĂȘtre encore entre les murs du chĂąteau ... Sa vie d'aujourd'hui n'avait plus rien Ă  voir avec celle, pleine de promesse, qu'il avait vĂ©cu l’école. Aujourd'hui tout n'Ă©tait plus que souffrances et dĂ©sillusions. Il vit passer Elina non loin de lui, suivit de prĂšs par Nyx. Ces derniĂšres, il ne les avait plus revu depuis leur combat dans la forĂȘt. Il faut croire qu'avoir un ennemi commun rapproche les l'une ni l'autre ne lui adressa le moindre regard et c'est avec un pincement au cƓur qu'il les vit monter dans la grande locomotive rouge, sans dire un mot. Il observait, silencieusement, la foule qui se faisait de plus en plus dense Ă  mesure que l'heure du dĂ©part approchait. Sa nuque se mit Ă  picoter doucement. Il balaya la foule du regard, cherchant la cause de cette sensation Ă©trange lorsqu'il la vit. Elle ...Son cƓur loupa quelques battements et sa respiration fut saccadĂ©es quelques secondes. Il ne l'avait pas revu depuis l'Ă©pisode du bisous Ă  la poire et au citron coco. Elle avait pourtant tenter de le contacter, mais il n'avait pas donner de suite. Trop peur sans doute que ses sentiments ne le perdent comme ça avait dĂ©jĂ  pu ĂȘtre le cas avec Elly. Pourtant, il ne pouvait s'empĂȘcher d'y penser souvent, Ă  elle ... son regard. C'est d'ailleurs Ă  ce mĂȘme qu'il sancra tandis qu'elle approchait doucement ... Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 13 Juin - 2146 Le temps Ă©tait radieux. Ça donnait le ton des vacances qui se profilaient. Josephine Ă©tait sensĂ©e rester trĂšs peu de temps Ă  Londres, juste quelque jours, histoire d’aider sa mĂšre Ă  prĂ©parer ses valises, puis elles devaient passer l’étĂ© complet dans la maison au bord du lac quelque part en France, que sa mĂšre avait hĂ©ritĂ© Ă  la mort de son grand pĂšre. Cela tombait bien, Jo n’aimait pas particuliĂšrement vivre en ville et la maison du lac Ă©tait perdue en pleine campagne, le village le plus proche se trouvait Ă  plusieurs kilomĂštres. Depuis qu’elle Ă©tait toute petite, elle avait pour habitude d’y passer ses Ă©tĂ©s. Ses parents avaient investit les lieux et en avaient fait une rĂ©sidence secondaire, pourtant la jeune fille considĂ©rait ces lieux comme son vĂ©ritable chez avait toujours hĂąte de s’y rendre, et cette annĂ©e, encore plus. Elle Ă©tait installĂ©e dans une des diligences que l’école mettait Ă  la disposition des Ă©lĂšves pour se rendre Ă  la gare. Elle Ă©tait ballotĂ©e dans tous les sens, la tĂȘte appuyĂ©e contre la vitre. Ses camarades qui se trouvaient avec elle, Ă©taient trĂšs agitĂ©s. Ils n’arrĂȘtaient pas de rire et crier fort. Elle n’allait pas se plaindre, elle Ă©tait surement dans le mĂȘme Ă©tat les autres annĂ©es. Ils passaient Ă  prĂ©sent Ă  proximitĂ© du village. Jo ferma les yeux. Elle ne voulait pas voir le parc, ni la TĂȘte de Sanglier. Ni lui. Surtout lui
 Pourtant lĂ , elle n’était pas en train de se remĂ©morer son rire ? Elle rouvrit soudainement les yeux. Il Ă©tait hors de question que cela continue. Elle devait se reprendre. BientĂŽt elle serait Ă  des centaines de kilomĂštres de tout ça. A des centaines de kilomĂštres de ce qui aurait pu ressembler Ă  un dĂ©but de quelque yeux sombresSa boucheSes cheveux en batailleElle soupira en se prenant la tĂȘte dans les mains. *T’es complĂštement folle
 *Elle devait penser Ă  autre chose. Oui elle devait penser Ă  cette vieille serre qu’elle avait dĂ©cidĂ© de rĂ©amĂ©nager en atelier de peinture, Ă  ce cours de dessin dans lequel elle avait Ă©tĂ© acceptĂ©e en partie grĂące Ă  Peter
et qui avait lieu cet Ă©tĂ©. Ah oui Peter
 C’était son dernier jour Ă  Poudlard. Il fallait qu’elle le voit avant d’arriver Ă  Londres. Il fallait qu’elle voit Ellana rireSes lĂšvres- Ah non mais c’est pas vrai !Ça lui Ă©tait sortit comme ça. Maintenant ses camarades la regardaient comme si elle venait de s’échapper de Ste Mangouste. Elle leur fit signe que ce n’était rien et de toute façon, la diligence venait de s’arrĂȘter. Ils Ă©taient enfin arrivĂ©s. Elle descendit la derniĂšre et entreprit de descendre sa valise toute seule. Elle aurait pu utiliser un sort pour la faire lĂ©viter et la poser dĂ©licatement par terre. Elle aurait pu
 Mais elle Ă©tait complĂštement perdue dans ses pensĂ©es. Sa conscience s’occupait de lui faire la moral.*Je t’avais prĂ©venue ! Je t’avais dit de partir de ce fichu comptoir ! Maintenant, tu ne vaux pas mieux que toutes ces pauvres filles qui se refont le film en boucle toute la journĂ©e
 Il ne t’a jamais recontactĂ© aprĂšs son hibou. Rend toi Ă  l’évidence, tu ne l’intĂ©resses pas ! Tu n'es qu'une gamine.*La valise tomba par terre, s’ouvrant par la mĂȘme occasion. Toutes ses affaires s’éparpillĂšrent sur le sol. Josephine laissa Ă©chapper un juron et d’un coup de baguette remit le tout Ă  l’intĂ©rieur. Elle remit sa valise debout et la tira jusqu’au quai de la gare. Il y avait un monde fou. Toute l’école Ă©tait rassemblĂ©e dans ce si petit lieu qui vivait surement son moment le plus vivant de l’ amis ne l’avaient pas attendue. Maintenant dans toute cette agitation, elle allait avoir du mal Ă  les retrouver et puis, elle n’était pas bien grande
 Elle scruta la foule lentement pour ne pas les louper. Et ils Ă©taient loin en queue de train. Jo soupira et traina sa valise derriĂšre elle. Son regard fut attirĂ©e par une personne qui de part sa grande taille se distinguait des se figea et cessa de respirer. La personne qu’elle voulait fuir Ă©tait lĂ  Ă  une dizaine de mĂštres d’elle, appuyĂ©e contre le mur de la gare inspectant les lieux du regard. Il ne l’avait pas encore vu. Il fallait qu’elle fasse demi tour et s’en aille tout de suite.*Ne te fais pas d’illusion, il n’est pas lĂ  pour toi.*Sa main dans son coupSon baiserTrop tard. Il venait d tourner la tĂȘte vers elle.*En mĂȘme temps tu n’étais pas censĂ©e dĂ©camper au lieu de rester plantĂ©e lĂ ?*Elle devait continuer Ă  marcher
 Il avait employĂ© dans sa lettre des mots comme ça aurait Ă©tĂ© avec plaisir, malheureusement
 », chambre d’ami », amicalement »  Cela ne pouvait pas ĂȘtre plus clair. Il ne voulait pas le mĂȘme genre de relation qu’elle envisageait. Mais alors, pourquoi avoir fait tout ça ? Pourquoi avoir acceptĂ© de la revoir ? Quoi ? Il s’était rendue compte aprĂšs l’avoir embrassĂ©e qu’elle ne lui plaisait pas ? Ou alors il s’était tout simplement jouer d’elle ? Est-ce qu’il pouvait ĂȘtre si mesquin ? Elle avait du mal Ă  le croire
 Elle ne voulait pas le croire. Et mĂȘme s’il n’avait pas eu de mauvaises intentions et que sa dĂ©marche Ă©tait sincĂšre, pouvait elle seulement se contenter d’ĂȘtre une simple amie pour lui ? Non, pas Ă  en croire la douleur qu’elle ressentait lĂ  Ă  cet instant lorsqu’ils ne se lĂąchaient pas du regard. Ça faisait trop mal. Elle ne pourrait jamais se contenter d’avoir une relation purement amicale avec lui. Qu’il se la garde sa chambre d’ souffrance commençait doucement Ă  faire place Ă  la colĂšre. Pourquoi est ce qu’il lui avait fait ça ? Pourquoi l’avoir embrassĂ© si c’était pour en arriver Ă  ça ?Ses yeux n’avaient pas pu se sĂ©parer des siens. Elle n’était plus qu’à quelque mĂštre de lui. Elle s’était approchĂ©e sans s’en rendre compte. Elle voulait le fuir pourtant elle ne cessait de d’avancer vers revint Ă  elle lorsqu’un coup de sifflet fut donnĂ©. Signal qu’il Ă©tait temps pur tout le monde de monter dans le train. Presque aussitĂŽt, un de ses amis se planta devant elle, rompant ainsi le contact avec Lui. Il Ă©tait venu l’aider Ă  porter sa valise. Elle le remercia et le laissa partir devant. Elle retrouva presque aussitĂŽt Son ne bougeait pas, c’est qu’il ne ressentait rien pour elle
 Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Adonys Montgomery, le Lun 19 Juin - 2136 DĂ©solĂ© pour l'attente, l'IRL Ă  reprit le dessus ces deux derniĂšres semaines ...PĂ©trifiĂ© sur place, il la regardait s'approcher sans dire un mot. Son rythme cardiaque s’accĂ©lĂ©rant Ă  chaque nouveau pas qu'elle faisait vers lui. Leurs regards s'Ă©tant fixĂ©s l'un sur l'autre et ne dĂ©crochant plus. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, l'embrasser et unir leurs lĂšvres Ă  nouveau. Mais il restait lĂ ,sur place, sans esquisser le moindre mĂȘme qu'il se demandais ce qu'il devait faire, une jeune fille vint se placer entre leurs deux regards. Elle s'adresse briĂšvement Ă  Jo, emportant sa valise vers le train qui sifflait le dĂ©part ... son regard Ă  nouveau se fixa sur celui du jeune homme et celui-ci sentait chaque muscle de son corps se contracter. Le cƓur en l'aimait, il en Ă©tait convaincu, mais il avait peur de cet amour et il devait clarifier quelques petites choses avec Elly et ce fameux Evan avant de s'engager Ă  nouveau pour quoi que ce soit. Il adressa un sourire tendre et un regard plein d'excuses Ă  demoiselle, avant de tourner les talons et de quitter la gare, le coeur au bord de l'explosion. Quel idiot ... » Josephine CampbellGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Josephine Campbell, le Mar 20 Juin - 1142 Il venait de lui donner le coup de grĂące. Oui, il avait bougĂ©. Mais pas du tout comme elle s’y attendait. Il lui avait sourit comme s’il voulait adoucir ou excuser ce qu’il allait faire juste aprĂšs. Lui tourner le dos et partir. Elle s’était attendue Ă  tout sauf Ă  ça. Sa bouche s’ouvrit lĂ©gĂšrement tout aussi surprise que sa dernier coup de sifflet retentit. Jo se laissa entrainer par un prĂ©fet qui passait par lĂ  et qui forçait tout le monde Ă  monter dans le train. Elle Ă©tait totalement hĂ©bĂ©tĂ©e par ce qu’il venait de se passer et se laissa faire sans broncher. Elle ne chercha mĂȘme pas Ă  entrer dans un compartiment, elle, resta debout un moment Ă  cotĂ© de la porte du wagon le regard dans le vide. Ce n’est lorsqu’elle perdit l’équilibre et se rattrapa de justesse au mur suite Ă  un virage amorcĂ© par le train qu’elle se dĂ©cida Ă  rejoindre son groupe d’ entra dans le compartiment sans un mot et s’installa sur une banquette tout prĂšs de la porte de sortie. Elle prĂ©texta la fatigue pour qu’on la laisse tranquille, ne souhaitant pas participer aux jeux qu’avaient prĂ©vu ses camarades et ferma les ce qu’elle s’en souvienne, elle ne s’était jamais sentie aussi mal. Elle avait du mal Ă  respirer calmement et n’arrivait pas Ă  s’îter de la tĂȘte le visage d’Artemis. Il n’avait pas fait grand-chose et pourtant il venait de lui briser le cƓur. Il ne lui avait fait aucune promesse, mais ses gestes et ses paroles signifiaient tout autant pour la jeune fille naĂŻve qu’elle Ă©tait. Peut ĂȘtre qu’il avait pensĂ© qu’elle avait eu de l’expĂ©rience dans le domaine sentimental auparavant et que de ce fait, ne souffrirait pas pour aussi peu de non, ce n’était pas peu de chose Ă  ses yeux. Elle s’était lancĂ© Ă  cƓur ouvert dans tout ce tumulte d’émotions et de sentiments et maintenant qu’elle s’y retrouvait toute seule, elle se sentait complĂštement perdue et du RP Alice GrantSerdaigle Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alice Grant, le Mer 28 Juin - 2317 - HRP Post unique, bien avant l'aubeSuite...Suite Ă  un sort conditionnel lancĂ© par les phĂ©nixs sur les tracts, ils ressemblent Ă  des journaux banals jusqu'Ă  ce qu’un sorcier ou un moldu en rapport avec la magie ou autre ne les vous invitons Ă  rĂ©pondre Ă  la suite des posts pour Ă©crire la rĂ©action de votre personnage s'il tombe sur l'un des de la cape -Tic, tac, tic, tac...T'es habituĂ©e Ă  pas dormir et pour une fois t'avais une raison de rester Ă©veillĂ©e. Tu as pas mal de rendez-vous importants aujourd'hui. T'espĂšres ne pas arriver en retard pour le thĂ©... c'est mauvais, froid. Ton sac Ă  dos noir ne porte plus d'inscriptions, ni sa couleur d'origine d'ailleurs, t'as dĂ» user de sortilĂšges pour le rendre mĂ©connaissable. Son contenu n'a jamais Ă©tĂ© aussi important... tu as une toute autre idĂ©e en tĂȘte que de sauter dans un wagon. Enfin, tout ça est cachĂ© par l'illusion de la jeune femme pressĂ©e et un peu simplette que tu donnes ton visage est dissimulĂ© par les lunettes rectangulaires de la potiche qui te sert de personnage, et tes yeux fixent frĂ©nĂ©tiquement l'Ă©volution des aiguilles Ă  ton poignet. Une perruque blonde aux cheveux mi-longs recouvrent les tiens. Tu portes des vĂȘtements qui ne te serviront qu'aujourd'hui, ils ne sont pas fonciĂšrement discrets mais ils t'assurent une certaine libertĂ© de mouvement. Oui, ben t'as fait avec les moyens du comportement est semblable Ă  ceux que tu croises, t'as l'air stressĂ©e et bien que ça ne soit probablement pas pour les mĂȘmes raisons que les voyageurs, tu l'es. C'est ta premiĂšre mission, elle est simple et tu n'as que deux impĂ©ratifs alors t'as pas intĂ©rĂȘt Ă  foirer. Ne pas ĂȘtre reconnue et poser les affiches. Personne ne doit te remarquer. C'est le seul danger et l'unique dĂ©fi comme Ă  chaque fois. Mais lĂ  les ennuis sont un poil plus intimidants si on te choppe. Tu dois ĂȘtre invisible. D'ailleurs, tu le seras bientĂŽt. Tu savais que cette cape, bien qu'achetĂ©e dans une boutique de magie noire, se retournerait justement contre les partisans de cette magie. C'est ce que tu t'Ă©tais dit pour justifier ton achat. Et il faut croire que t'avais raison. Pour une fois c'est pas toi qui payera les frais de l'ironie du sort. Destination les quais. La terre tourne, les gens marchent, les trains partent. T'es face au mur. Inspiration. Tu sors ta baguette ainsi que quelques unes des prĂ©cieuses affiches, et en fixe le long, tout les cinq mĂštres environ. Sur la fin, tu cours presque, de peur que quelqu'un derriĂšre ne touche une affiche et dĂ©couvre trop tĂŽt sa vĂ©ritable nature. Tu en fais voltiger deux ou trois en l'air... leur apparence est celle de vieux tracts. Puis tu t'Ă©clipses dans un coin pour saisir ta cape d'invisibilitĂ©, fermer ton sac et te recouvrir avec la cape, avant de filer Ă  pas de loups vers l'Ă©tape suivante. Les mots tournent, les passants s'arrĂȘtent, le phĂ©nix s' Mesdames, issus de la communautĂ© magique ou ayant des liens de parentĂ©s ou familiales Ă  cette communautĂ©. Nous affrontons encore aujourd'hui une pĂ©riode de terreur. La mĂȘme qui s'est dĂ©roulĂ©e quelques annĂ©es auparavant, et quelques siĂšcles plus tĂŽt. L'Ă©cole de Poudlard a Ă©tĂ© attaquĂ©. Certains enfants, Ă©tudiants, ont Ă©tĂ© pris en otage. Vos enfants. Votre famille. La menace est toujours plus grande en cette pĂ©riode de trouble. Un directeur disparu, des professeurs incapables de protĂ©ger leurs Ă©lĂšves attention, ne remettons pas en cause la formation de ceux-ci mais plutĂŽt l’incompĂ©tence des autoritĂ©s du ministĂšre Ă  protĂ©ger et dĂ©fendre ses citoyens contre la crainte et la peur. Le ministĂšre se trompe d'ennemis. Les attaques, les arrestations sont en prioritĂ©s contre ceux qui, comme vous, ne veulent plus vivre dans la peur, la terreur. L'Ordre du PhĂ©nix est lĂ  pour vous aider Ă  vaincre, Ă  vivre et non pas Ă  survivre. Malheureusement, les autoritĂ©s prennent nos actions de rĂ©volte contre l'obscurantisme et la peur comme un crime. Nous sommes des Hors la Loi aux yeux du ministĂšre. Et pourtant, que serait un monde oĂč l'union entre le ministĂšre et les PhĂ©nix serait possible ? Main dans la main, nous pouvons vous aider Ă  vaincre votre peur, Ă  vaincre cette doctrine. Les Mangemorts veulent certes, briser le secret magique. Mais leur unique but est de mieux asservir, pour former une "race supĂ©rieure" envers d'autres humains, sorciers, non-sorciers, issus de la communautĂ© magique ou non. Nous sommes lĂ  pour dĂ©fendre vos droits, nous battre en votre nom, s'assurer d'un monde meilleur pour tous les ĂȘtres vivants. Chacun Ă  sa place dans le monde. Nos actions se trouvent limitĂ©es par un gouvernement qui nous cible, nous, citoyens de lumiĂšre, de paix et d'harmonie et qui ne cherche pas Ă  prendre pour ennemis les vrais criminels et terroristes de notre temps. Les vrais coupables. Nous sommes tous PhĂ©nix au fond de nous. En tant que sorciers, en tant que dĂ©fenseur de libertĂ© et de fraternitĂ©. Aujourd'hui, nous dĂ©clarons le MinistĂšre coupable de ses actes. Coupable de l'insĂ©curitĂ© qui rĂšgne dans la CommunautĂ© magique. Coupable de ne pas diriger ses recherches et ses Ă©lites vers les vĂ©ritables criminels. Nous dĂ©clarons coupables les mages noirs, auteurs sanglants de tortures, de meurtres, de manipulations mentales et physiques, d'obscurantisme. Tout ce que nous voulons, c'est aider la Justice, aider la CommunautĂ© Ă  vivre paisiblement. VOUS AIDER Ă  obtenir ce que vous avez le droit d'avoir. En travaillant mains dans la main avec vous, nous pourrons faire de ce monde, un monde meilleur. Un monde emprunt d’honnĂȘtetĂ©, de gloire, de justice. Un monde sain. Aidez-nous Ă  protĂ©gez vos enfants, vos familles. Nous ne sommes pas des criminels, nous ne sommes pas des hĂ©ros. Nous sommes seulement des boucliers levĂ©s contre la tyrannie et la suprĂ©matie. Brandissez-nous, boucliers, dĂ©fendez vos valeurs face au MinistĂšre. Demandez notre aide. Aidez nous Ă  agir, plus rapidement, plus efficacement. Nos flammes punissent, nos larmes guĂ©rissent. L'Ordre du PhĂ©nix Codage de Louna © Elrin EredinGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 9 Juil - 1905 [RP avec Kohane Werner, donc le LA est accordĂ©]Quand tout dĂ©railleElrin avançait au grĂ© d’une envie inexplicable sur un chemin bordĂ© d’herbes Ă  l’éclat falot. La symphonie cristalline de la brise ponctuait sa marche, subjuguant le ciel et son Ăąme. DerriĂšre elle s’étendait des maisons aux toits pointus, pales Ă©bauches de gĂ©ants sous la cartĂ© lunaire. Ce petit sentier champĂȘtre, Ă  mi-chemin entre nature vierge et civilisation, Ă©levait en elle un sentiment de bien-ĂȘtre total alors qu’elle s’imprĂ©gnait des bruits et de l’odeur environnants. A sa gauche, un insecte se faufilait dans la vĂ©gĂ©tation avec un lĂ©ger bruissement, sĂ»rement attirĂ© par la senteur capiteuse de l’humus. En aval, Elrin perçut un net arĂŽme qui trahissait la prĂ©sence de champignons
 de quoi faire une bonne soupe au le bonheur des promenades nocturnes aprĂšs une longue journĂ©e de cours ! EnivrĂ©e par l’atmosphĂšre, Elrin dĂ©marra un sprint grĂące Ă  une dĂ©tente irrĂ©elle dont elle avait le secret. BientĂŽt, l’environnement se mua en tableau incertain, dĂ©roulant ses motifs qui imprimaient la rĂ©tine de la jeune femme tels des spectres Ă©phĂ©mĂšres. Mais Elrin les ignora, fuyant ce monde et savourant la libertĂ© unique qu’elle vivait, loin de ses limites, loin de tout
Soudain, une feuille vola dans son sillage et se perdit quelque part entre ses cheveux et son bonnet aux anneaux mĂ©talliques. StupĂ©fiĂ©e, elle s’arrĂȘta, attrapa l’objet puis le dĂ©tailla avant de grommeler il Ă©tait complĂštement vierge. Enfin, pas tout Ă  fait. Alors qu’elle remettait en place sa criniĂšre blonde avec dĂ©ception, un ensemble de lettres fourmilla sous les yeux d’Elrin pour composer un message. Elle rĂ©alisa aussitĂŽt de quoi il s’agissait. C’était un tract de l’Ordre du PhĂ©nix qui appelait ouvertement Ă  la prudence et au rassemblement contre la menace des Mangemorts et du dĂ©sordre politique. MĂȘme si c’était un gĂąchis de papier Ă  ses yeux, Elrin trouvait les intentions du message louables. Ou du moins les intentions apparentes. Il Ă©tait difficile d’émettre un avis concret sur cette faction nĂ©buleuse, prise dans une guerre avec le MinistĂšre et les Mangemorts tandis que la population souffrait des feux croisĂ©s. Une stupide guĂ©guerre par moments, soyons honnĂȘtes, pensa Elrin, le nez retroussĂ© en signe de dĂ©goĂ»t. Interrompre ma soirĂ©e pour des bĂȘtises pareilles, tsss. »Elle brĂ»la le tract en utilisant sa baguette, HyvĂ€, comme un briquet. Regardant les braises s’élever sous formes de volutes noircies, Elrin finit par reprendre son jogging improvisĂ© aprĂšs avoir rangĂ© HyvĂ€ dans un Ă©tui qu’elle portait Ă  la cuisse gauche. Mais la gare de PrĂ©-au-Lard l’interrompit une seconde fois au bout de cinquante mĂštres. Elle toisa les hauts murs de pierre sombre dont la froide robustesse avait dĂ» briser de nombreux rĂȘves. Pourquoi Ă©tait-elle venue ici, dĂ©jĂ  ? Elle avait en horreur les gares. D’une certaine façon, elles lui Ă©voquaient un voyage Ă  l’issue prĂ©visible que chaque arrĂȘt condamnait un peu plus. LĂ©gĂšrement déçue de voir son plaisir gĂąchĂ©, elle saisit un caillou et le jeta Ă  l’aveuglette. Une note stridente se rĂ©pandit dans l’air tandis que le projectile rebondissait contre un rail. Ah, les rails ! Ces symboles de captivitĂ© qui dessinaient une ligne mortelle, rigide et immuable sur laquelle se pressaient des trains fourbus. Elrin n’aimait guĂšre leur aspect. Ils lui rappelaient par trop les chaĂźnes qu’elle avait observĂ©es Ă  maintes reprises dans les plus sombres recoins des cachots, Ă  Poudlard. Elle tourna son regard vers eux et grimaça moches, glacĂ©s, sans vie. Beurk. Elle n’y attacherait personne, pas mĂȘme ses ennemis mortels
A la faveur de la Lune, Elrin distingua alors une silhouette immobile qui marmonnait toute seule dans l’obscuritĂ©. Son cƓur exĂ©cuta un triple saut pĂ©rilleux. Elle se prĂ©cipita en avant, la main levĂ©e, criant d’une voix forte -HĂ©, qu’est-ce que tu fais ici ? LĂšve-toi et bouge !MalgrĂ© l’heure avancĂ©e, la sorciĂšre ne s’étonnait pas de voir quelqu’un ici. Dans les faits, la compagnie des autres ne la dĂ©rangeait mĂȘme pas. Si Elrin avait toutefois un gros problĂšme, c’était parce que la silhouette ne se trouvait pas sur le Ă©tait allongĂ©e en travers des rails. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 20 Juil - 026 Kohane a encore 17 ans au moment du RpC'est presque comme une gare dĂ©saffectĂ©e. Tellement elle est vide ce pas de gens qui attendent sur le de train Ă  l' rien. Que du vide. Que de la nuit pour envahir l' il y a moi, quand mĂȘme, aussi. Moi qui ai marchĂ©, moi qui suis arrivĂ©e ici. Je suis plantĂ©e sur le quai. Sans rien faire. Comme si j'attendais un train qui ne passera statique dans le fait un peu frais ce soir. Mais cela ne me dĂ©range ne frissonne pas. Ne tremble pas. Je suis juste bien au grand air. Un instant, je contemple la buĂ©e qui sort de mes lĂšvres entrouvertes. Ca fait des formes. C'est joli. On peut y voir tout un tas de trucs. C'est comme dans les nuages. Parfois, y'a des chameaux. Ou des dragons. Des chĂąteaux un peu difformes. Des lapins Ă  corne. Un chapeau trouĂ©. Un hippopotame aux dents trop longues. Bref, les nuages, c'est magique, on y voit vraiment plein de buĂ©e qui sort de la bouche par les temps frais de nuit, c'est un peu une Ă©chelle formes sont plus tout aussi suis c'est heureuse que je repars sur mes petites qu'il est temps de se bouger. Je ne vais pas rester indĂ©finiment Ă  contempler des rails. C'est pas trĂšs beau, je trouve. Il y a mille et une choses bien plus merveilleuses que ça !Je me mets donc Ă  trottiner. Silencieuse. qu'il s'agirait pas d'attirer l'attention sur moi. On pourrait me prendre pour une squatteuse de voies de chemin de fer, un truc dans le genre. Et vouloir me je ne squatte pas !Je ne fais que contempler une gare vide en pleine trĂšs instructif, je vous apprend qu'il n'y a pas de trains nocturnes Ă  que les gens ne dorment pas non plus dans la gare en attendant le lever du je suis seule. RĂ©solument seule. Mais ça ne me dĂ©range pas. Pas ce soir. Pas en ce moment. J'aime la douce solitude dans les moments de rĂ©flexion. Il faut dire aussi qu'aprĂšs le bruit continuel aux Trois Balais, on est heureux, une fois le service fini, de retrouver le calme de la commence Ă  raser les me fondre dans la fondre dans l' soudain, c'est comme si le mur venait de s'illuminer d'une lueur magique aprĂšs tout, on se trouve Ă  PrĂ©-au-lard, village peuplĂ© uniquement de sorciers. Je m'arrĂȘte, interloquĂ©e. Pour voir une affiche terne et sans intĂ©rĂȘt se woh, c'est quoi cette histoire ?Depuis quand on fait des affiches qui changent d'aspect comme ça, tout Ă  coup, sans prĂ©venir ?Moi j'aimais bien son cĂŽtĂ© terne, sans nuance, sans couleur. Parce que ça se fondait avec le reste. Avec la nuit. Avec mon moi qui essaie d'ĂȘtre lĂ . Il n'y a plus de gris, de noir, de cela est remplacĂ© par du vif, du jaune, du orange, du tiens, mais c'est pas le symbole de l'Ordre du PhĂ©nix, ça ?Le zozio de feu qui appelle au rassemblent ou un truc dans l' zozio de feu censĂ© rĂ©chauffer les Ăąmes et porter pas vraiment pour moi, me rĂ©chauffe trĂšs bien toute seule. Avec mon propre feu. Qui brĂ»lera tout sur son passage. Attendez encore un peu que la flamme se dĂ©veloppe. Et vous seconde-suspend, je reste bloquĂ©e devant le symbole mes yeux voient le trop long Beaucoup. Trop. de lire, plus, ça me concerne y a des choses bien plus intĂ©ressantes au bout de ce choses que je viens tout juste de s' l'affiche non lue, je cours vers mes amies, mes cousines, mes sƓurs de leur tends les bras l'air de dire attendez moi, mes belles dames .Hum...Elles me font rĂ©sonner leur douce mĂ©lodie Ă  mon oreille comme comme je les aime !Je regrette qu'une seule chose que mon frĂšre Ă©toilĂ© ne soit pas lĂ . Avec moi. On aurait couru sur les rails. Pour rejoindre les astres. Ca aurait Ă©tĂ© tellement voilĂ  les faits il n'est pas suis je dĂ©cide d'admirer le spectacle dans ma rĂ©flĂ©chir, je fais quelques pas, nez levĂ© vers le je m'allonge pour encore mieux les voir, mes sƓurs commencent Ă  pailler doucement, Ă  raconter des histoires qui font voyager tout autour de la terre -c'est qu'elles en ont vu, du paysage !Je leur voix reste travers des les Ă©couter soudain, une voix qui ne leur appartient pas se met Ă  rĂ©sonner, brisant ce voile de calme qui m' sursaute apercevoir une ombre sur le ombre qui paraĂźt tournĂ©e vers ombre qui a a quand mĂȘme osĂ© interrompre ma sĂ©ance plus, les Ă©toiles Ă©taient en train de conter un voyage initiatique des plus c'est pas finis par m'asseoir mais ne bouge pas. Ne rĂ©alisant pas vraiment oĂč je me trouve. Tout ce qui m'importe, c'est qu'il y a les Ă©toiles. LĂ -haut. Et que j'Ă©tais en train de les regarder. Les ? Qu'est-ce qu'il y a ? je demande, d'un ton lĂ©gĂšrement agacĂ©. Elrin EredinGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Elrin Eredin, le Dim 13 AoĂ» - 2115 [RP avec Kohane Werner]Quand tout dĂ©raille [troisiĂšme partie]La silhouette, qui dans les faits appartenait Ă  une femme, n’opposa aucune rĂ©action. Quelque chose de sibyllin semblait la perdre dans une contemplation passive du ciel. Discutait-elle avec les Ă©toiles, avec les Ă©lĂ©ments, comme il arrivait si souvent Ă  elle-mĂȘme de le faire
 si on excluait les rails ? Forte de cette interrogation, Elrin finit par laisser ses craintes en retrait et avança Ă  pas lents vers la jeune. Car oui, elle ne devait pas avoir plus de son Ăąge. Peut-ĂȘtre mĂȘme appartenait-elle Ă  Poudlard. Pour autant, les quelques rayons lunaires qui brillaient ci et lĂ  ne purent lui confirmer cette hypothĂšse. Quand l’insolite se redressa, Elrin sut qu’elle avait notĂ© son avança donc un peu plus, guettant d’une oreille le bruit qui trahirait l’approche d’un Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?Elrin, qui remarquait chaque dĂ©tail bien malgrĂ© elle, ne s’y trompa pas. Difficile d’émettre une rĂ©ponse plus agacĂ©e, comme si on lui gĂąchait son petit plaisir
 Elle soupira de soulagement malgrĂ© tout. En effet, il devenait clair que les intentions premiĂšres de l’inconnue n’allaient pas au suicide ; sinon elle lui aurait demandĂ© de partir. Probablement. La sorciĂšre devait s’en assurer une bonne fois pour demander la permission, Elrin bondit depuis le quai jusque sur les rails avec une souplesse fĂ©line. Pour toute rĂ©ponse, les anneaux mĂ©talliques de son bonnet produisirent un tintement cristallin qui courut la gare. Elrin se demandait comment le mĂ©tal, si froid au premier abord, pouvait rĂ©chauffer le cƓur d’une simple note. Un vrai mystĂšre... Mais pas dĂ©sagrĂ©able Ă  briĂšvement l’inconnue dont les cheveux formaient une masse noire, Elrin plaqua ses mains derriĂšre elle et se fendit d’une expression hĂ©sitante. Que devrait-elle faire ? L’arracher Ă  son inconscience malgrĂ© son refus Ă©vident ? Lui tenir compagnie pour veiller au cas oĂč ? Rien de tout ça ?Et puis merd*. On s’en foutait. Ras-le-bol de passer sa vie Ă  douter, Ă  chercher la rĂ©ponse. Pas ce soir, sĂ©rieux. Elle Ă©tait fatiguĂ©e. Elle avait choisi. Choisi de ne rien Je ne sais pas vraiment ce qui t’a poussĂ©e sur des rails, souffla-t-elle Ă  sa voisine d’une voix qui se fondit dans le vent. J’imagine que la vue y est meilleure et que tu as quelque chose comme une histoire Ă  lire dans le ciel. Si l’histoire dit qu’on doit finir toutes les deux notre soirĂ©e sur ces rails, alors je veux lire, elle s’allongea Ă  son tour, vide de crainte mais emplie d’intĂ©rĂȘt, plongeant ses iris bleus dans l’immensitĂ© cĂ©leste au voile brillant. Ses sƓurs lui adressĂšrent alors un petit clin d’Ɠil. Elrin sourit. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Kohane W. Underlinden, le Jeu 7 Sep - 1948 LĂšvres lĂ©gĂšrement pincĂ©es, je scrute la silhouette dans le noir. Cette silhouette fĂ©minine sans nom, juste une voix qui m'a interpellĂ©e. Instant ; on se jauge on se hop, soudain. La voilĂ , la crĂ©ature de la nuit, qui saute Ă©lĂ©gamment sur les ne semble finalement plus si dĂ©cidĂ©e Ă  me faire bouger de alors...Ou alors elle vient pour se saisir carrĂ©ment de moi et me pousser loin des Ă©toiles ?! Oui... si ça se trouve, elle vient lĂ  pour me contraindre physiquement Ă  plissĂ©s, air mĂ©fiant, je la regarde s' je me promets que je ne m'en irai pas d'ici. Je ne dĂ©collerai pas mes fesses de lĂ  sans avoir luttĂ© bec et ongles auparavant. C'est que les Ă©toiles sont au-dessus de ma tĂȘte. Et qu'elles rient, ici. Je les entends distinctement. C'est ma famille adorĂ©e, prĂ©fĂ©rĂ©e ; j'peux pas m'en aller et les laisser alors que je peux encore profiter d' tout, je ne laisse rien filtrer d'un quelconque geste d' ça se trouve, elle est pas lĂ  en ennemie. Mais en contemplatrice de cette large famille astrale. Elle aime peut-ĂȘtre les Ă©toiles, elle aussi. Et s'est rendue compte qu'ici est un superbe point de vu !Elle imperceptiblement, mes poings se crispent un un rĂ©flexe face Ă  l'inconnu peut-ĂȘtre adversitĂ©. Quand on sait pas, on reste mĂ©fiant, on observe, on analyse, on Ă©value. Et on voit aprĂšs s'il faut sourire ou retiens presque ma respiration. Priant intĂ©rieurement pour qu'elle passe sa route si les Ă©toiles ne l'intĂ©ressent pas. Je peux accepter quelqu'un qui aimerait partager cette belle et magnifique famille avec moi. J'suis tolĂ©rante, hein ! J'accepte tout le monde ! Mais quelqu'un qui n'en aurait rien Ă  faire et ne chercherait qu'Ă  me faire dĂ©gager d'ici pour une obscure raison, ça, donc qu'elle parle la premiĂšre pour savoir quelle attitude enfin, j'entends sa voix qui s'Ă©lĂšve pour la deuxiĂšme fois dans le rails ?Oh, j'suis sur les rails ? vrai.
 si grave que ça ? Genre y'a Ă©crit interdit d'Ă©couter les Ă©toiles depuis les rails ? Nah, j'crois pas, hein ! Puisque les Ă©toiles racontent alors que je suis installĂ©e lĂ . Si c'Ă©tait pas autorisĂ©, elles raconteraient pas et me diraient d'aller ailleurs pour les Ă©couter. Mais comme ce n'est pas le cas...Alors que la voix de l'inconnue retombe, je me dis qu'elle est lĂ  elle aussi pour Ă©couter les Ă©toiles. Elle n'essaie plus de me chasser. D'ailleurs, elle s'allonge Ă  cĂŽtĂ© de !C'est bien, aussi, d'Ă©couter des histoires Ă  deux. Ca fait un beau poil rassurĂ©e, je m'allonge Ă  mon tour, retrouvant ma position initiale. Les yeux perdus dans la couverture nocturne parsemĂ©e de piqĂ»res pas lire. Faut sont belles, ce soir. Elles sont toujours belles, d'ailleurs. Mais certains soirs plus que d'autres. Par exemple aujourd'hui. Ou la nuit oĂč j'ai fait la connaissance de mon frĂšre souvenir m'arrache un nouveau nuit magique portĂ© par l'amour intergalactique et astral qui nous a unis, lui et DĂ©cidĂ©ment. Il y a certaines nuits plus belles que d' ce soir, c'est assez joli, racontaient une histoire de voyage. Un voyage d'apprentissage pour un jeune sorcier si naĂŻf. SchĂ©ma classique. Mais agrĂ©able. J'aime bien leurs voix et leurs ferme les mieux de la nuit, le vent frais sur les Expiration. Tout est si les entends ?Murmure dans la nuit. Voix si on chuchote lors d'un spectacle ou dans une salle de cinĂ©ma. Ne surtout pas dĂ©ranger l'histoire qui se raconte mais la commenter quand le grand théùtre du joue souvent des piĂšces plus que j'en suis une des premiĂšres admiratrices. Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Sam 28 Oct - 1853 Flash-back avec Leo, 17/16 ans. LA mutuels. Reprise du sujet, MP si heureux ? C'est quoi ? Elle ferme les yeux. Il y a cette odeur de pin qui envahit l'air, il y a le bruit du vent qui frĂŽle les arbres. Les Ă©toiles Ă©clairent le monde, le temps est suspendu, la gravitĂ© est dĂ©traquĂ©e. Les sens et les humains sont dispersĂ©s. _Elle ferme les yeux, mais elle sourit au monde depuis bien longtemps. Elle n'a jamais rĂ©ellement connu ça, toutes ses sensations inexplicables. Ce coeur au bord de la falaise qui ne demande qu'Ă  tomber. Elle marche sur un fil tendu, et Ă©trangement elle n'a pas peur de tomber. Elle veut pouvoir vivre jusqu'Ă  en crever, jusqu'Ă  ce que le soleil n'ait plus d'intĂ©rĂȘt Ă  se lever. Elle se tourne vers le bruit avenant. Elle avance vers le jeune homme assis sur le quai, jambes dans le vide. Ses Ă©meraudes dĂ©taillent chaque grain de peau, chaque cheveu, chaque bordure de lĂšvres. Elle aimerait pouvoir poser ses mains sur son visage, tracĂ© son regard et ses souffles. Mais elle n'a pas le droit. Elle n'est pas certaine d'en avoir le droit. Pourtant, elle passe ses bras autour de ses Ă©paules, sans savoir pourquoi. Elle ne demande pas la permission, elle fait ce dont elle a envie. Tant pis pour la suite, elle avait envie d'obĂ©ir Ă  ses pulsions. Qu'importe ce qu'elles reprĂ©sentent du moment qu'elles ne sont pas un danger pour autrui. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prĂ©vu Ă  faire comme bĂȘtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi moment que je suis avec toi, mais ça ne tu le sauras jamais. Parce que j'ai trop peur de t'avouer les mots qui comptent. Elle se dĂ©tache de lui, se pose Ă  ses cĂŽtĂ©s et sort le nĂ©cessaire. Quelques gouttes qui dĂ©valent l'estomac, quelques poumons endommagĂ©s. Juste histoire de s'amuser un peu, c'est nouveau pour elle. Mais pas trop, parce qu'elle ne veut pas se dĂ©truire. Elle veut pouvoir ĂȘtre heureuse sans avoir Ă  penser Ă  sa santĂ©. Un sourire effleure ses lĂšvres. Elle a hĂąte de savoir ce qu'ils allaient faire ici. Peut-ĂȘtre dessiner des choses sur des murs ? Ou alors qu'il avait cachĂ© une caisse de sous-vĂȘtement d'un prof pas loin, et que la gare allait adorer ĂȘtre dĂ©corĂ©e de cette maniĂšre. Ou alors, peut-ĂȘtre qu'il voulait simplement lui dire une chose importante ? En vĂ©ritĂ©, elle n'espĂšre pas, elle n'aime pas le sĂ©rieux, elle n'en veut pas. Elle veut juste s'amuser sans penser aux consĂ©quences et au lendemain. Elle voulait peindre le ciel avec des sourires,Elle voulait tourner sous la pluie, Elle voulait respirer comme jamais, Et elle Ă©tait heureuse de le penser. Shae L. KeatsGryffondor Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Shae L. Keats, le Lun 30 Oct - 1917 Flash back de 9ans Leo a 17 ansIl se tient droit. Insouciant comme il ne l'a pas Ă©tĂ© pendant longtemps. Comme il l'est depuis quelques semaines, quelques mois, il ne sait pas vraiment. Il n'a plus besoin de compter. Ça fait quelques temps que les jours passent diffĂ©remment. Qu'il a conscience de tout ce qu'il entoure, de la vie qui s’étire. Parce qu'il mord dedans. Chaque instant. Avec elle. C’était pas prĂ©vu, c’était invraisemblable, et pourtant. C’était le dĂ©but de l’étĂ© et la soirĂ©e tombait. L'air sentait la menthe fraiche et l'herbe coupĂ©e. Elle allait arriver. Dans les secondes, dans les minutes, et il se dĂ©tendrait. Il se laisserait aller, comme toujours. Plus rien n’était rĂ©el problĂšmes lorsqu'elle Ă©tait aux alentours. Leister et ses idĂ©es restaient ranger dans un coin de ses pensĂ©es. Il n'y a rien a penser, rien a ruminer, le monde n'a pas encore frapper. Il y a juste l’insouciance, La fougueuse jeunesse et la genereuse sait qu'ils pourraient passer sa nuit ici, a regarder les Ă©toiles sans rien dire, que ça vaudrait quand mĂȘme le coup. Que mĂȘme en partant de rien ils arrivaient a faire des nuits des instants de folie. Juste par une poignĂ©e de mots. Par un sourire. C'est fou comment le monde arrĂȘtait de tourner quand ils riaient ensemble. Y avait rien d'autre qui comptait. Il avait cette arrogance qu'il croyait dĂ©licieuse des jeunes de son ages, mais qu'elle savait canaliser. Il y avait entre eux un Ă©quilibre que lui n'aurait jamais pensĂ© trouver la. Ils n’étaient pas d'accord sur tout, loin de la, mais ils ne s'ennuyaient jamais. Et voila ses bras qui lui enserre les Ă©paules, et le cƓur qui loupe un battement. Ça fait quelques temps, mais ça ne s’arrĂȘte toujours pas. Ce vide dans la poitrine quand elle est la. Cette sensation de vide que seule sa voix parvient encore a combler. Il ne sait pas ce que c'est, il n'arrive pas a le nommer. Mais il veut le sentir encore et encore. Jusqu’à ce qu'un matin son corps soit trop fatigue pour se relever. Il ne lui avait rien dit encore. Les mots n’étaient pas vraiment leur fort, mais peu importait au final, ils Ă©taient aussi indĂ©pendant l'un que l'autre, et c’était trĂšs bien comme ça. Salut toi, alors dis-moi, qu'est-ce que tu as prĂ©vu Ă  faire comme bĂȘtises ce soir ? Je suis partante pour faire n'importe quoi se redresse, et bascule la tĂȘte en arriĂšre pour la voir. Pour refabriquer des images de son visage et les garder pour plus tard, sans que sa mĂ©moire ne les altĂšrent. Sans que rien ne les rende terne. J'en sais rien j'ai rien prĂ©vu, j'ai envie qu'on se laisse porter. Qu'on improvise. Elle s'assoit et sort tout ce qui n'est pas encore interdit a cet age, tout ce qui n'est pas accoutumance et perte de soi, mais juste un accessoire de soirĂ©e. Un tube de cancer aux lĂšvres et quelques gouttes amer en arriĂšre gorge, dont il n'aime pas encore le gout. Il avait envie de tout repeindre avec des couleurs vives, Des couleurs qui brulent les yeux. Du rouge du jeune, du orange, du bleu ciel. Repeindre les murs a grands coups de rire pour que rien ne s'oublie. Tu as quelque chose en particulier ?Une idĂ©e ?Une envie ? DerniĂšre Ă©dition par Shae L. Keats le Mar 19 DĂ©c - 2015, Ă©ditĂ© 1 fois Alhena PeverellResponsable MDJ-GHarryPotter2005 Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Alhena Peverell, le Ven 17 Nov - 1949 Elle le regarde. Il y a dans ses Ă©meraudes, cette lueur d'espoir qu'on n'aurait jamais cru voir un jour. Il y a cette douceur pour l'ĂȘtre en face, cet amour indĂ©finissable qu'elle n'est pas certaine de comprendre. Il y a ce sourire qui encourage les humains Ă  danser, Ă  fermer les yeux et Ă  se laisser porter par le vent. _Ne pas penser Ă  demain, ne pas vouloir grandir, profiter d'ĂȘtre vivantAvec lui, elle voudrait tout faire. Elle voudrait vivre Ă  en crever, s'Ă©puiser Ă  respirer, s'Ă©corcher les bras Ă  en ĂȘtre heureuse. Elle adorait tout chez lui, ses yeux bleu-gris, ses cheveux Ă©bĂšne, chacun des traits de son visage. Elle pourrait passer des heures Ă  le contempler, le coeur serrĂ© Ă  se demander ce qui va se passer dans la suite. Mais elle ne le fait pas, parfois mĂȘme, elle prĂ©fĂšre l'Ă©viter du regard. Elle prĂ©fĂšre faire comme, si ce n'Ă©tait pas important. _C'est toujours plus facile d'ĂȘtre lĂącheDu moment que je suis avec toi, tout me vaC'est un monde, que seule elle connaĂźt. Et chaque jour, elle se surprend Ă  le prendre par la main pour l'emmener lĂ -bas. Elle se surprend Ă  se demander, si un jour, ils auront un endroit que seuls eux connaissent. Une vie, un univers si intouchable parmi les fantasmes et les rĂȘves. LĂ  oĂč le ciel ne touche plus la terre Ă  l'horizon. LĂ  oĂč les couleurs se mĂ©langent. Aujourd'hui, la toile n'est plus blanche. Il y a l'esquisse des arbres qui les entourent, les branches sĂšches qui les observent, les feuilles sur le sol, les fleurs bleues et les animaux de nuits. La lune s'accouple avec les Ă©toiles, pour offrir une symphonie invisible Ă  une atmosphĂšre fĂ©erique si dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e. _Comme une rose rouge banale, mais avec encore quelques Ă©pinesSi tu veux on peut danser, regarder les Ă©toiles ou alors... J'ai ça !Soudainement, le sourire aux lĂšvres, elle se tourne vers son sac. Lentement, elle y sort une boĂźte mĂ©tallique assez ancienne. L'objet est imprĂ©gnĂ© de la magie du passĂ©, des instants capturĂ©s qu'il garde en mĂ©moire. Des souvenirs, des familles...Je l'ai volĂ© sur un marchĂ© moldu, apparemment c'est assez vieux. Le marchand avait nommĂ© ça, appareil photo argentique je crois. Mais je ne sais pas vraiment l'utiliser, je ne suis pas encore habituĂ©e au monde extĂ©rieur... Je ne sais mĂȘme pas, si on a un Ă©quivalent sorcier. Je, j'ai toujours vĂ©cu la tĂȘte plongĂ©e que dans les livres...Elle baisse les yeux, elle ne sait pas vraiment si elle paraĂźt stupide ou non. Elle n'a aucune idĂ©e de ce qu'il va penser, peut-ĂȘtre qu'elle est juste une idiote au sourire trop naĂŻf. Assise sur le quai, elle se recroqueville lentement sur elle-mĂȘme. Comme si elle avait, froid, mais elle est plus gĂȘnĂ©e qu'autre chose. Elle ne veut juste pas le faire fuir, elle veut juste sentir sa prĂ©sence encore quelques instants. Quitte Ă  ne plus jamais rien dire pour que ce moment soit Ă©ternel. Quitte Ă  arrĂȘter le temps, pour vivre dans l'infini... Re [Gare de PrĂ©-au-Lard] Sur les quais Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum ilfaut grandiiir tu mfais pleurer la nuiiiit - Topic si tu m'aaaaimes arrĂȘte tes betises du 29-12-2016 22:15:04 sur les forums de jeuxvideo.com

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Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ÉVANGÉLISATION 2 participantsAuteurMessagePhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 29 Oct - 1004 MA ! allez tant pis je fais mon "coming out".Non je ne suis pas homo, mais il m'est arrivĂ© des trucs JĂ©sus en personne qui m'a fait le catĂ©. VoilĂ  ma premiĂšre histoire J'Ă©tais dans une famille qui avait complĂštement abandonnĂ© la pratique et Ă©tait loin du Seigneur, sauf ma grand mĂšre assez pieuse, mais qui pratiquait aussi l'Ă©sotĂ©risme avec Rudolph Steiner et un culte pour les Chakras, et ils faisaient tous tourner des tables. Quant Ă  la paroisse n'en parlons pas. Suite Ă  un concile mal compris le curĂ© Ă©tait contre la dĂ©votion Ă  la Sainte Vierge, contre le rosaire, contre l'Adoration, contre la messe quotidienne. La seule chose qui comptait pour lui c'Ă©tait s'engager dans la politique, le syndicalisme, et construire le monde. Le royaume et le salut Ă©ternel n'en parlons pas. Vouloir ĂȘtre un saint ? C'est une vocation spĂ©ciale et avoir ce genre d'idĂ©e relĂšve de la moi dans tout ça je cherchais JĂ©sus comme je pouvais, mais paumĂ©, paumĂ©, va commencer par ma conversion Ă  quatorze ans qui a Ă©tĂ© terrible. Mais je vous prĂ©viens Lucie de Fatima a dit que le dernier combat entre JĂ©sus et Satan serait sur le mariage et la famille ? Ma croix n'a Ă©tĂ© qu'un long chagrin d'amour oĂč je n'ai eu ni l'amour du pĂšre ni de la mĂšre, de mes frĂšres et sƓurs, et surtout, d'une Ă©pouse. Devenir prĂȘtre ou religieux ? Cela aurait Ă©tĂ© fuir mon chemin et me dĂ©rober. Le diable a pouvoir sur mon bonheur terrestre, mais il n'en a aucun sur mon oblation. Donc voilĂ  ma conversion proprement dite Ă  quatorze ans J'aimais une jeune fille mais ça ne marchait pas, et j'ai cru bon de faire un chantage au Seigneur. Je lui ai dit "Seigneur, si tu ne me donne pas celle que j'aime, je me donne au Diable. je ne me vend pas Ă  lui, je me donne". Et j'avais fixĂ© l'heure et le jour 23 mai, minuit. ArrivĂ© au 23 mai, bien entendu, toujours rien du cotĂ© de mon amour. J'Ă©tais parti de l'autre cotĂ© de la forĂȘt dans une autre ville pour essayer de rencontrer celle que j'aimais, mais rien, absolument rien. ArrivĂ© vers onze heure du soir je me suis dĂ©cidĂ© Ă  rentrer chez moi, et pour ce faire, j'ai traversĂ© de nouveau la forĂȘt par un raccourci. Onze heure quarante cinq, un quart d'heure avant l'heure fixĂ©e pour mon pacte avec le diable. j'Ă©tais en pleine forĂȘt ; le vent commençait Ă  souffler annonçant un orage, et devant moi les arbres dans l'obscuritĂ© prenaient dĂ©jĂ  la figure d'un Moloch. Mais je n'avais pas peur, et dans un quart d'heure j'allais me donner Ă  lui. C'est alors qu'au loin j'ai distinguĂ© quelqu'un marchand en sens contraire de moi une bohĂ©mienne tenant un enfant dans les bras; Une bohĂ©mienne, ou quelqu'un habillĂ© Ă  l'ancienne. ArrivĂ© Ă  ma hauteur cette bohĂ©mienne m'a criĂ© "et si je te jetais mon enfant dans les bras" ? Et, joignant le geste Ă  la parole, elle jeta son nourrisson vers moi. Un ultime rĂ©flexe ? j'ai rattrapĂ© l'enfant de peur qu'il ne se casse la tĂȘte par-terre, et la bohĂ©mienne de me dire "Tu vois que tu es bon et que tu ne peux pas ĂȘtre mauvais". Puis elle a disparu. J'ai Ă©clatĂ© en sanglot, et c'est alors que l'orage lui aussi a Ă©clatĂ© brusquement des trombes d'eau, un vent impĂ©tueux, des Ă©claires et des roulements de tonnerre terribles. Mais j'avais l'enfant JĂ©sus dans les bras que je n'ai plus jamais lĂąchĂ©. J'avais JĂ©sus, mais aussi ma croix, car j'ai compris alors que je ne rencontrerai jamais l'amour sur terre, et que ma vie ne serait qu'un long chagrin d'amour. Hallucination ? les arbres formaient toujours la tĂȘte d'un Moloch qui rĂ©clamait sa proie. Je le sentais, furieux, il Ă©tait lĂ . Sans aucune peur je me suis tournĂ© vers lui et je lui ai criĂ© "Satan je te dĂ©clare la guerre".Petit dĂ©tail significatif C'est arrivĂ© juste au niveau de Notre Dame des Hirondelles, un arbre oĂč l'on a accrochĂ© une statue de Marie en pleine forĂȘt. AprĂšs je me suis demandĂ© si je ne m'Ă©tais pas fait tout un cinĂ©ma mĂ©galo romantique, mais comme par hasard, pile poil trente trois ans plus tard un 23 mai au soir, je me suis retrouvĂ© avec une douzaine de personnes Ă  prier autour de Notre Dame des hirondelles ; et c'est seulement pendant cette priĂšre que la coĂŻncidence m'a sautĂ© aux yeux. Le ciel avait voulu fĂȘter l'Ă©vĂ©nement de ma gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 22 DĂ©c - 942, Ă©ditĂ© 8 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 30 Oct - 802 Comment j'ai dĂ©couvert le vais maintenant vous dire comment j'ai dĂ©couvert le rosaire. Mais je le redis, il faut savoir que malheureusement L'Eglise ne m'avait enseignĂ© ni la DĂ©votion Ă  Marie, ni l'Adoration du Saint Sacrement, ni l'AngĂ©lus, rien ou presque, et encore moins le rosaire que je ne connaissais que de nom. Qu'Ă  cela ne tienne et je me rĂ©pĂšte c'est jĂ©sus qui est venu me faire le catĂ© ; ce qui est tout de mĂȘme un peu troublant, parce que ça a l'air de dire que quand l'Eglise ne veut plus faire son boulot, alors c'est JĂ©sus qui vient le faire Ă  sa place ? Mais je ne conclus rien, simplement je raconte les faits. VoilĂ  j'avais vingt deux ans. Je ne connaissais le rosaire que de nom, sans savoir en quoi il consistait ni son importance, mais j'en avais quand mĂȘme l'instinct par intuition car je passais des heures Ă  rĂ©citer des Ave et des Pater. Une nuit au petit matin j'ai fait un rĂȘve terrible. Dans mon songe, j'ai vu trois dĂ©mons qui s'approchaient de moi, et avec un coup de griffe trĂšs violent m'ont sorti de mon corps. Mais, Ă©tait-ce seulement un songe ? Je me suis retrouvĂ© hors de mon corps flottant dans ma chambre comme un ballon. C'Ă©tait la grisaille du petit matin et je me suis vu en dessous de moi en train de continuer Ă  dormir. Puis Ă  coup de griffes rĂ©pĂ©tĂ©es rapides les trois dĂ©mons m'ont fait tourner comme une toupie Ă  une vitesse vertigineuse, et quand cela a cessĂ© je n'Ă©tait plus dans ma chambre mais dans un lieu aride. Et lĂ  j'ai compris que ces trois dĂ©mons allaient me "tailler un short", passez-moi l'expression. Et, O! merveille ! C'est alors que j'ai entendu la voie d'une religieuse qui rĂ©citait ce que je savais ĂȘtre LE ROSAIRE. Manifestement elle le rĂ©citait pour moi. Sa voie Ă©tait sanglotante et prĂ©cipitĂ©e comme dans un affolement, et il semblait bien qu'elle Ă©tait dans une chapelle. Mais alors, je me suis retrouvĂ© protĂ©gĂ© comme sous une cloche Ă  fromage. Les dĂ©mon avaient beau hurler, crier et vocifĂ©rer en se prĂ©cipitant sur cette barriĂšre invisible, ils ne pouvaient plus s'approcher de moi. Et la priĂšre de cette religieuse continua jusqu'Ă  mon rĂ©veille. Quelques petits dĂ©tails Je fus rĂ©veillĂ© le matin par le chien de mon pĂšre qui hurlait Ă  mort, dans son jardin on retrouva trois arbres qui s'Ă©taient dessĂ©chĂ©s durant la nuit, et une tante qui Ă©tait de transite chez mon pĂšre, le soir mĂȘme avait pliĂ© bagage morte de trouille, mais elle ne voulu jamais dire pourquoi. Inutile de vous dire que le matin mĂȘme, je me suis prĂ©cipitĂ© chez un vieux prĂȘtre qui m'a donnĂ© la recette du rosaire. Le rosaire, il faut le rĂ©citer sans cesse et avoir son chapelet toujours dans sa poche. par exemple on peut le rĂ©citer dans le train ou le Metro sans fausse pudeur, et vous serrez Ă©tonnĂ© de voir Ă  quel point les autres passagers respectent. Si vous voulez protĂ©ger quelqu'un ou demander la grĂące d'une conversion, priez le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 16 DĂ©c - 2219, Ă©ditĂ© 4 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 1 Nov - 1436 Comment j'ai dĂ©couvert l'humilitĂ©. Ma leçon de catĂ© sur l'humilitĂ©, je l'ai reçu par un songe. En fait dans mes songes et visions je distingue dans un premier temps les visions de lumiĂšre, mais viennent ensuite mes visions de la nuit, qui elles sont obscures, tant du moins que je n'aurai pas franchi un certain seuil, et celles-ci je ne vous les donne pas. Par exemple la vision du diable au sommet d'une Ă©glise qui m'a vocifĂ©rĂ© 'j'attends la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer" comment expliciter cela ?Donc voila mon songe J'Ă©tais Ă  un festin, oĂč il y avait JĂ©sus trĂšs occupĂ© Ă  parler avec deux apĂŽtres Ă  sa droite et Ă  sa gauche. Et je me suis fait ce calcul "bon! si je monte vers lui, il va me demander de redescendre, mais si je descends, il va me demander de monter ? donc je choisis la derniĂšre place, et automatiquement JĂ©sus va me demander de monter plus haut" Ce que je fis prenant la derniĂšre place, et regardant JĂ©sus pour voir le rĂ©sultat. ImmĂ©diatement JĂ©sus s'arrĂȘta de parler et me regarda fixement. BRRRRR !....Puis avec un grand sourire, il s'approcha de moi, fit un geste large du bras, et une force me prĂ©cipita par-terre, avec une gamelle Ă  chien s'il vous plaĂźt. C'Ă©tait trop drĂŽle et je me suis rĂ©veillĂ© parce que j'Ă©clatais de rire. De JĂ©sus ce n'Ă©tait pas du mĂ©pris mais une tranche de rigolade. J'avais voulu jouer au petit soldat et donc il me doucement ceci m'a un peu fait comprendre ce qu'est l'humilitĂ©. La vĂ©ritable gloire n'est pas un jour d'ĂȘtre en haut, mais d'ĂȘtre en bas et d'y rester. La vĂ©ritable Ă©lĂ©vation est dans la toute petitesse, et si pour condition du salut de tous la sainte trinitĂ© devait prendre la derniĂšre place elle n'hĂ©siterait pas une le ciel ? franchement n'est-ce pas mĂ©galomaniaque de dĂ©sirer l'immortalitĂ© dans un bonheur indescriptible ? Oui mais comment faire pour ne pas dĂ©sirer cela puisqu'on est fabriquĂ© comme ça ? Alors moi je dĂ©sire ĂȘtre le plus petit caillou du ciel. Et que tous soit plus grands que moi, qu'importe, et c'est dĂ©jĂ  trop beau. Mais que tous ceux que j'aime soit sauvĂ©s, voilĂ  le bonheur que j'attend. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 3 Nov - 732 Comment j'ai dĂ©couvert l' trop drĂŽle et en mĂȘme temps sidĂ©rant, Ă©poustouflant. Il faut vous dire que je ne connaissais l'AngĂ©lus que par le tableau de Millet et rien d'autre. L'angĂ©lus ? Oui ! une priĂšre que l'on fait dans la journĂ©e, mais laquelle et Ă  quelle heure ? Alors voilĂ . Ça devait ĂȘtre en janvier ou fĂ©vrier. J'avais vingt deux ans, et j'Ă©tais dans le train en permission de service militaire. A l'Ă©poque les trains avaient un long couloir et des compartiments et j'Ă©tais Ă  la fenĂȘtre d'un couloir, en train de contempler les champs de labour nus et dĂ©solĂ©s d'hiver. j'Ă©tais moi-mĂȘme dĂ©solĂ© comme ces champs car je n'aimais pas trop le service militaire, et je me disais en moi-mĂȘme "combien de temps combien de jours faudra t'il encore, avant que les semailles nouvelles germent et sortent du sol" ?Il faut vous dire que je devais ĂȘtre libĂ©rĂ© l'Ă©tĂ© prochain, et voir les champs de labour commencer Ă  verdoyer serait pour moi l'annonce de ma libĂ©ration prochaine. Brusquement dans un champs dĂ©nudĂ©, j'ai vu deux jeunes dĂ©guisĂ©s Ă  l'ancienne et qui nous faisaient une bonne blague en reproduisant au dĂ©tail prĂšs le tableau de l'AngĂ©lus de Millet, sauf que le panier ne contenait pas des patates mais un bĂ©bĂ©. Il y avait juste Ă  cotĂ© de moi un voyageur dont la tĂȘte faisait penser Ă  un moine cistercien. Et je lui ai demandĂ© tout de go en Ă©clatant de rire - Quelle heure est-il ? - Midi tapant, me rĂ©pondit-il, surpris. - Vous avez vu dans le champs les Ă©tudiants dĂ©guisĂ©s Ă  l'ancienne, et qui nous font une farce en rĂ©citant l'AngĂ©lus ?- Il n'y a personne dans le champs ?- Mais vous avez entendu les cloches de l'Ă©glise au loin qui sonnaient l'AngĂ©lus ? - vu la distance de l'Ă©glise et avec le bruit du train, de toute façon on ne pourrait pas entendre les cloches. Bon! lĂ  j'ai compris que j'avais eu une vision et je me suis mis Ă  prier. Et quand j'ai rouvert les yeux, j'ai vu cet homme Ă  la tĂȘte de Cistercien qui me regardait complĂštement bouleversĂ©. Moi-mĂȘme j'ai Ă©tĂ© paniquĂ© par son regard et je suis parti me rĂ©fugier Ă  l'autre bout du train. Il me regardait comme un saint, et moi je pense plutĂŽt que le christ se penchait sur un pauvre jeune homme douloureux et paumĂ© luttant contre le dĂ©sespoir. Et pourquoi pas ? C'est trĂšs impressionnant de se dire que dans nos champs, labours, bois et guĂ©rets, des gĂ©nĂ©rations et des gĂ©nĂ©rations de nos ancĂȘtres ont priĂ©. Que mĂȘme si en ce moment la France est devenu folle, la terre a gardĂ© une marque indĂ©lĂ©bile de leurs priĂšres qui ne s'effacera jamais. Nos ancĂȘtres ils sont lĂ  et ne partiront de ce jour et autant que j'ai pu c'est Ă  dire pas vraiment comme il faudrait, j'ai essayĂ© d'ĂȘtre fidĂšle Ă  l'angĂ©lus. Et maintenant, je raccorde mĂȘme l'AngĂ©lus Ă  la demande du don de la Divine gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 6 Nov - 1054, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 6 Nov - 1032 Comment j'ai dĂ©couvert que JĂ©sus est trĂšs proche de chacun de que je vais vous raconter maintenant va vous laisser perplexe ; mais je le comprends trĂšs bien, et moi-mĂȘme je suis encore Ă  me poser un point d'interrogation des dizaines d'annĂ©es plus tard qui Ă©tait-il, Ă  qui ai-je parlĂ© ? J'avais vingt-trois ans, complĂštement paumĂ© malgrĂ© ma conversion. Pendant mon service militaire, la fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et qui m'aimait s'Ă©tait laissĂ©e entourlouper par un Ă©tudiant qui ne cherchait que du sexe pour passer ses Ă©tudes tranquilles, et la laisser choir ensuite, ses Ă©tudes terminĂ©es. En six mois Ă  peine il avait rĂ©ussi Ă  lui prendre sa virginitĂ© et la faire avorter. Et moi, assommĂ© par tout ça, j'avais laissĂ© tomber mon travail pour me promener au grĂš de l'auto-stop. Bref je faisais la route selon l'expression. Comme ça, je me suis retrouvĂ© un soir Ă  Aix-en-Provence. Qui plus est j'Ă©tais tombĂ© sur la voiture d'une jeune femme nymphomane. Bon ! Il ne s'Ă©tait passĂ© rien de grave avec cette nymphomane, mais intĂ©rieurement j'Ă©tais bien esquintĂ©, et en sortant de sa voiture je me suis dit "vite, il faut que je fasse un acte de charitĂ© pour me purifier". Et croyez-moi, quand on a ce genre de dĂ©sir, JĂ©sus n'est pas je suis sorti de la voiture de ma nymphomane, et Ă  peine sorti, un jeune homme de mon Ăąge m'est tombĂ© dessus me rĂ©clamant 1 franc pour s'acheter du pain car il n'avait rien Ă  manger. Et moi de lui rĂ©pondre - "je vais faire mieux je t'invite au resto. Viens, on va se taper un chinois". Du coup on s'est retrouvĂ© Ă  parler ensemble comme si on ne s'Ă©tait jamais quittĂ© ; comme si notre conversation avait toujours durĂ©. Et c'est lĂ  que tout se bouleverse, tout se renverse, JĂ©sus met tout Ă  l' passĂ© ma soirĂ©e Ă  l'Ă©couter et le conseiller. Je ne me suis pas rendu compte sur-le-coup, mais en fait sa douleur Ă©tait ma douleur, sa faiblesse Ă©tait ma faiblesse, et les conseils que je lui donnais Ă©taient les conseils dont j'avais besoin. Simplement il a simplifiĂ© en une seule phrase ce qui dans ma tĂȘte Ă©tait tordu et compliquĂ©, plein de doutes, d'interrogations et de culpabilitĂ©, avec en plus un refoulement et un refus de voir la rĂ©alitĂ©, m’efforçant de croire Ă  une chaste amitiĂ© entre eux. Pire, une fois ses Ă©tudes terminĂ©es il a essayĂ© de me la refiler afin d'Ă©pouser une fille digne de son rang Ă  lui. Quand quelqu'un perd sa puretĂ©, ce sont les fondements mĂȘmes de l'Univers qui sont fracassĂ©s en un chaos indescriptible, et il faudrait que les entrailles de la terre se brisent de tĂ©nĂšbres pour hurler ma douleur. Mais que dis-je ? N'a-t-il pas lui aussi besoin de mon pardon ? N'est-il pas lui aussi blessĂ© et sans doute plus qu'elle ? Pour revenir Ă  ce jeune homme et comme je l'ai dĂ©jĂ  dit, il a tout simplifiĂ© en une phrase qui dit tout. Pendant le repas il m'a dit - "La fille que j'aime et qui m'aime est subjuguĂ© par un bandit". Mais par dĂ©licatesse tant pour elle que pour moi il a recouvert leur pĂ©chĂ© d'un voile de tout Ă©tait dit dans une parfaite simplicitĂ© et vĂ©ritĂ©. Je lui ai conseillĂ© de surtout ne pas la laisser tomber...Et c'est en fait ce que je devais faire. Mais son comportement est devenu de plus en plus Ă©trange. Ensuite je lui ai conseillĂ© de prier Marie....Ce que je devais moi-mĂȘme faire, et quand je lui ai donnĂ© un chapelet, il l'a regardĂ© avec bonheur. Et le mouchoir de San Damiano ? A un moment j'ai sorti un mouchoir quelconque pour me moucher, mais quand j'ai sorti sans rien dire un mouchoir blanc de San Damiano, immĂ©diatement ses yeux se sont Ă©merveillĂ©s. Comment savait-il ? Comment savait-il ??? Et il renversait tout A un moment en pleurant il m'avait sorti - Si ça continue je ne vais plus avoir confiance en....Je l'ai coupĂ© pour dire - En Dieu, tu ne vas plus avoir confiance en Dieu ?- Mais non ! voyons, je ne vais plus avoir confiance en les hommes, je vais perdre ma confiance dans les il a haussĂ© les Ă©paules comme si j'avais sorti la pire des inepties. Sinon le repas s'est passĂ© le plus naturellement du monde, et au dessert il a mĂȘme fumĂ© une cigarette avec moi. Dernier round au moment de se quitter je lui ai dit - File-moi ton adresse on va rester en contact. Et lui de me rĂ©pondre me regardant dans le fond des yeux - C'est inutile, si je dois te contacter JE sais comment annĂ©es et des annĂ©es plus tard, je suis encore Ă  me demander qui Ă©tait-il ? je ne conclus pas, mais je me rappelle des paroles de Saint Paul "certains sans le savoir ont accueilli un ange". Un ange ? Plus ?...Qui Ă©tait-il ? Et je n'ose rĂ©pondre. Mais de cette histoire j'en tire plein de conclusions - Dieu n'est pas Jupiter ou le papa-gĂąteau-tiroir-caisse. Il vient porter notre douleur non pour l'Ă©viter mais pour en crever. Et seulement ensuite vient la rĂ©surrection. Mais c'est notre douleur et notre faiblesse qu'il porte vraiment. Il renverse les rĂŽles. Lui souffre de notre douleur et notre faiblesse, et c'est Ă  nous de l'aider et mĂȘme de le D'une maniĂšre ou d'une autre, JĂ©sus est venu prendre ma vie Ă  bras-le-corps. Il ne m'a pas invitĂ© Ă  m'Ă©vader de ma croix en devenant moine ou curĂ©, ou je ne sais quelle hauteur mystique. Non ! Il est venu voir ma vie telle qu'elle Ă©tait. Il ne vient pas seulement voir des grands saints ou des grands mystiques, mais aussi des hommes tels qu'ils sont avec leurs vĂ©ritables problĂšmes. Et mĂȘme, il veut qu'on se dĂ©charge de nos douleurs sur lui. Paradoxe plus on lui donne nos croix et moins la sienne sera lourde " Donne tous tes soucis au Seigneur, et lui prendra bien soin de toi. AprĂšs avoir un peu souffert il t'affermira puis te rendra inĂ©branlable".- JĂ©sus est trĂšs trĂšs proche de nous. On peut tout lui confier avec Quand on est dans la panade et que Dieu semble ne pas nous rĂ©pondre, la solution charitĂ©, renverser la situation. Voir JĂ©sus souffrant de notre problĂšme, l'aider et le conseiller. Car OUI ! son humilitĂ© va jusqu'Ă  lĂ . Quel conseil je donnerais Ă  un frĂšre dans une situation pareille ? Et alors trĂšs rapidement la lumiĂšre du Saint Esprit va fuser en gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 8 Nov - 746, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 8 Nov - 733 Comment j'ai reçu la devais avoir dans les quarante ans et l'officialitĂ© de l'Eglise venait de prononcer une dĂ©claration de nullitĂ© de mon mariage. Cela peut choquer certains, mais pour mon salut comme pour celui de mon ex Ă©pouse, croyez-moi c'Ă©tait mieux ainsi. Bref ! j'Ă©tais donc libre, et je me rĂ©jouissais Ă  l'idĂ©e de pouvoir me remarier....plus hypocritement Ă  l'idĂ©e de connaĂźtre cette communion physique entre l'homme et la femme, dont l'homme est si prĂ©gnant. Et brusquement j'ai vu ce moine ; celui-lĂ  mĂȘme qui Ă  l'Ăąge de quatorze ans m'a apportĂ© un livre du ciel expliquant tout le psychisme humain de A Ă  Z, mais j'en parlerai peut-ĂȘtre un jour. Il y avait devant moi ce moine avec l'habit des Carmes, mais ni ascĂ©tique ni mysticoĂŻde, jovial, bien dans sa peau bien dans ses pompes. Et il m'a juste dit "je te mets dans la chastetĂ©".Ni une ni deux je lui ai balancĂ© une chaussure en pleine poire. Ce moine s'est alors retournĂ©, a fait quelques pas pour s'Ă©loigner et a disparu, mais en partant dans un grand Ă©clat de rire ; et j'ai entendu son Ă©clat de rire longtemps aprĂšs sa disparition. Ce n'Ă©tait pas un ricanement mĂ©chant mais plutĂŽt un rire jovial et bon, plein de bon humeur, du style "tu vas voir mon bonhomme". ImmĂ©diatement je me suis dit "bon, ça c'est le diable, c'est le diable". je me suis efforcĂ© de me retrouver troublĂ© et angoissĂ© car cela aurait Ă©tĂ© la preuve que ça venait du diable....Ça y est ça vient je suis angoissĂ©.....Mais non ! rien Ă  faire ! je n'Ă©tait ni angoissĂ© ni troublĂ©. N'allez surtout pas vous imaginer que je suis un grand saint ou un grand mystique. Je suis plutĂŽt le stĂ©rĂ©otype du pauvre diable qui fait ce qu'il peut ; et c'est peut-ĂȘtre justement pour ça que j'ai des visions. Ne pas oublier que JĂ©sus a dit qu'il n'est pas venu pour les biens portants mais pour les malades, qu'il est prĂȘt Ă  abandonner les quatre vingts dix neuf justes pour aller chercher la brebis perdue, et j'Ă©tais cette brebis perdue. Il y a un bas-relief Ă  Saint Germain-en-Laye qui m'a beaucoup touchĂ©, pas d’Évangile mais tellement d’Évangile On y voit JĂ©sus les manches retroussĂ©es qui va chercher une pauvre brebis complĂštement prise dans les ronces, et qui dĂ©sespĂ©rĂ©e ne peut plus sortir par gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 10 Nov - 754, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 10 Nov - 751 Quelques souvenirs d'enfances Mon premier acte de souvenir n'a rien d'extraordinaire, et pourtant pour moi c'est le plus extraordinaire de tous mon premier acte de foi. je devais avoir quatre ans, cinq maximum. J'Ă©tais en vacances en Franche ComtĂ©, nous Ă©tions partis faire une promenade parmi les champs de blĂ©s et pĂąturages ma sƓur et un grand garçon de neuf ans qui Ă©tait enfant de cƓur. Pour moi son statut d'enfant de cƓur en faisait l'Ă©gale d'un ange, un maĂźtre, plus que mes parents, plus que le curĂ© du village lui-mĂȘme. Et sur ce chemin de terre inondĂ© du soleil d'Ă©tĂ©, il rĂ©pondait Ă  mes questions, que Dieu a tout créé absolument tout le soleil, les arbres fruitiers, les vaches, tout. Et qu'il est tout puissant. Et comme exemple il nous a dit - Si JĂ©sus voulait, il pourrait descendre jusqu'Ă  nous en marchant sur un rayon de lumiĂšre. et moi de lui rĂ©pliquer- Oui mais il serait obligĂ© de mettre des chaussures Ă  clous, parce que un rayon de lumiĂšre, c'est drĂŽlement glissant dis donc ? - Non non ! pas du tout. Il serait pieds nus et il ne glisserait Mais il serait quand mĂȘme obligĂ© de mettre des chaussures pour ne pas se brĂ»ler les pieds, parce que un rayon de lumiĂšre, ça brĂ»le aussi ? - Pas du tout, pas du tout. Il serait pieds nus et ça ne lui brĂ»lerait pas les pieds. Et bien ça n'a pas Ă©tĂ© facile Ă  gober ce truc-lĂ . Mon premier acte de foi JĂ©sus n'a pas besoin de chaussures Ă  clous pour marcher dans la lumiĂšre. Et ne riez pas, parce que, qu'importe l'Ăąge, la raison ou la maturitĂ© d'intelligence ; qu'importe le mode d'expression que l'Esprit Saint prend pour nous parler, c'est sans doute l'acte de foi le plus grand que j'ai eu Ă  faire de toute ma vie. Acte de foi qui vaut peut-ĂȘtre celui de certains cardinaux. Et vive les enfants de cƓur qui Ă©vangĂ©lisent les tout petits quand ils sont les seuls Ă  pouvoir le faire, avec un langage qui leur convient. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 11 Nov - 840, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 11 Nov - 833 Quelques souvenirs d'enfances Ma prmiĂšre Ă©vangĂ©lisation Ă  quatre quatre ans et je jouais dans notre chambre commune avec mon frĂšre et ma sƓur du mĂȘme Ăąge que moi ou presque. Je ne sais plus pourquoi, mais on en est venu Ă  parler de Dieu, et je leur ai dit Quand on appelle Dieu y vient, y suffit de l’appeler. Si ! si ! vous allez me mettant Ă  la fenĂȘtre le regard tournĂ© vers le ciel, de toutes forces j'ai criĂ© -Dieu ! Dieu ! Dieu ! Et bien mĂȘme si JĂ©sus nous dit de ne jamais jurer, je vous jure que je vous jure que le visage de JĂ©sus s’est formĂ© dans les nuages d’une façon trĂšs prĂ©cise, et il nous souriait. Si ! si ! je vous jure que c’est vrai ; croix de bois croix de fer si je mens je vais en
 Non de toute façon je ne vais pas en enfer, mais je dis vrai. - Ha ! oui, m’ont dit mon frĂšre et ma sƓur, quand on appelle Dieu y les enfants sont des rouĂ©s et je savais trĂšs bien que les nuages se dissipent. Il fallait donc que je trouve une sortie pour finir en beautĂ©. Aussi j’ai continuĂ© - Mais quand on fait un pĂ©chĂ©, Dieu y s’en va. Vous allez voir, je vais dire un gros mot parce que c’est un pĂ©chĂ© de dire des gros mots, et Dieu va s'en aller. De nouveau je me suis tournĂ© vers le visage du Christ, et je lui ai lancĂ© un formidable le visage du Christ s’est dissipĂ© fait tout Ă©tait dit Quand on appelle Dieu il vient, et quand on pĂšche, il s’en va. C’est aussi simple que gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 12 Nov - 801, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 754 Comment j'ai reçu mon plan de dans un songe. Je devais ĂȘtre Ă  l'Ă©poque du Christ dans une maison presque en sous-sol, et il y avait lĂ  l'Esprit Saint sous la forme d'un jeune homme plein de vie qui Ă©tait la jeunesse-mĂȘme, la joie, la gaietĂ© ; j'allais dire l'exubĂ©rance. Et il m'expliqua la recette du liĂšvre ; ce qui peut paraĂźtre farfelu mais vous allez voir que pas du tout. En concluant sa recette avec un geste des mains il ajouta Et avec un tout petit peu d'herbes amĂšres. J'aime bien le "un tout petit peu". Ça, c'est une question de enfin juste avant de repartir vers un escalier de trois marches, il me confia un secret trĂšs grave. Il me confia Celui qui aime demeure Ă©ternellement dans son repartant il croisa trois vieillards qui venaient vers moi, et il se riait d'eux car malgrĂ© ses grandes salutations ils Ă©taient incapable de le reconnaĂźtre, lui, L'ESPRIT de ce songe est assez le liĂšvre ? ... Je vais avoir besoin d'un liĂšvre pour me faire courir sur le chemin du Seigneur. Mon chemin peut scandaliser, choquer le monde qui ne comprend rien, mais frĂšre EphraĂŻm dans "lecture amoureuse de la bible" parle du chemin du roi David oĂč chaque passage dans une des sept demeures de l'Ăąme a Ă©tĂ© ponctuĂ© par un amour. Pour moi c'est pareil, sauf que j'ai vĂ©cu ces amours j'en suis Ă  six dans la chastetĂ©. Pauvre homme que je suis. C'est mon chemin, c'est ma route voulu par le Seigneur. J'aimerais vous prĂ©senter une image d’Épinal plus conforme Ă  l'image qu'on se fait de la saintetĂ© mais ça ne serait pas sincĂšre. Et puis sƓur Lucie a dit que le dernier combat entre Satan et JĂ©sus serait sur le mariage et la famille ? C'est ce que je vis, mais sur la Un tout petit peu d'herbes amĂšres ? la rĂ©ponse est Ă©vidente c'est mon chemin de Les trois vieillards ? La chair, le monde et Satan qui viennent vers moi pour me tanter- Les trois marches de l'escalier ? La foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©, que je dois moi-mĂȘme gravir, pour aller vers la lumiĂšre et la rencontre du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 13 Nov - 837, Ă©ditĂ© 1 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1313 Oh, merci cher Philippe pour tes tĂ©moignages plein de vie et de sincĂ©ritĂ©. Tu es Toi et je t'aime tel que tu es. Oui, Philippe est ainsi. J'avais remarquĂ© sa spontanĂ©itĂ© sur le forum "Le Peuple de la Paix"... et je suis heureuse de travailler avec lui sur ce tout petit forum "MonastĂšre intĂ©rieur"... il m'apporte beaucoup. Pardon si, sur le dit forum "Peuple de la paix", je t'envoyais des messages privĂ©s en te disputant un peu pour ton laxisme et ton recul face aux Ă©vĂšnements. La premiĂšre lecture de ce jour sur la Sagesse m'a appris Ă  te comprendre. Que Dieu te bĂ©nisse, toi et ta family, Philippe, petit frĂšre en Christ que Notre Dieu Tout Puissant a mis sur ma route. Longue vie Ă  ce union de priĂšre,Françoise. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 12 Nov - 1725 Merci Françoise ==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 13 Nov - 834 L'annonce de la grande nuit d' San Damiano Marie nous a dit "Attendez-vous Ă  tout perdre". A un moment de notre purification on va tout perdre pour tout retrouver en JĂ©sus. Il nous sera demandĂ© de tout sacrifier jusqu'Ă  nos amours les plus chers, jusqu'Ă  nos biens les plus sacrĂ©s et mĂȘme jusqu'Ă  notre joie sentie, d'avancer vers le soleil, sans plus jamais nous retourner. le PĂšre des Cieux ne veut que notre bonheur, mais il doit d'abord nous laver dans le sang de l'Agneau et il en est le premier chagrinĂ©. Il semble ne plus vouloir nous exaucer dans nos demandes lors-mĂȘme qu'il est en train de nous exaucer dans notre premiĂšre le dĂ©sert nous est donnĂ©, fondamentalement donnĂ© comme la plus grande des grĂące. DonnĂ© et non imposĂ© car JĂ©sus veut qu'on dise OUI. On peut parler d'une passivitĂ©, mais une passivitĂ© active qui rĂ©clame toujours notre participation de cƓur et de volontĂ©. Moi j'appelle ça la grande nuit d'Orient, la nuit du cƓur plus que celle de l'esprit. Et croyez-moi, par les temps qui court ça va ĂȘtre dĂ©mocratisĂ©. Cette annonce m'a Ă©tĂ© faite dans un face Ă  un dĂ©sert que je devais gagner. Mais le seuil de ce dĂ©sert Ă©tait gardĂ© de chaque cotĂ© par deux statuts de dragons antiques vieille comme le monde toutes fissurĂ©es par le temps. les gardiens du seuil. Si je franchissais le seuil, les deux dragons reprendraient vie et me tomberaient dessus Ă  bras raccourcis, et dĂ©jĂ  rien qu'Ă  m'approcher, leurs yeux reprenaient vie d'une terrible mĂ©chancetĂ© et me suivaient du faire, et hors de question de passer par le seuil ?Et bien le dĂ©sert Ă©tait entourĂ© de gros rochers. Aussi je dĂ©cidais de passer discrĂštement par "la voie encombrĂ©e", par les gros rochers ; Ă  l'abris du regard des deux dragons, mais surtout par la voie cachĂ©e, cachĂ©e au yeux du monde, des anges et si possible de que je fis et ça a marchĂ© ; je me suis retrouvĂ© au milieu du dĂ©sert. Mais lĂ  j'entendit un Ă©norme beuglement. Les deux dragons venaient de se rendre compte de ma filouterie, avaient repris vie, et me poursuivaient. Vite il fallait que je gagne le cƓur du dĂ©sert oĂč il y avait un escalier secret de trois marche invisible aux dĂ©mons. Je courais de toutes mes forces, et Ă  peine j'avais posĂ© le pied sur la premiĂšre marche de l'escalier secret, que les deux dragons tombĂšrent en poussiĂšre. - Bien entendu dans la pratique ça ne se passe pas aussi rapidement car nous sommes encore trĂšs imparfait, et le Seigneur doit recommencer l'opĂ©ration Ă  maintes reprises encore et encore. - L'escalier secret et invisible de trois marches, c'est bien sĂ»r la foi, l'espĂ©rance et la charitĂ©. Non ! nous ne sommes pas sauvĂ© uniquement par la foi, mais par la foi-espĂ©rance-charitĂ©, et c'est une illusion redoutable de croire qu'on peut ĂȘtre sauvĂ© par la foi si on ne veut pas renoncer entiĂšrement Ă  son pĂ©chĂ©. Et cet escalier secret est invisible aux dĂ©mons car il ne comprend rien Ă  la foi-espĂ©rance-charitĂ©. DĂšs lors qu'on possĂšde ces trois vertus, il n'a plus aucune prise sur Les deux dragons ? j'ai longtemps rĂ©flĂ©chi, et je pense que c'est l'Ă©pouvante et la dĂ©solation. Épouvante ? je prĂ©fĂšre ne pas trop en dire car ce n'est pas Ă  piquer des hannetons, mais la Sainte Vierge n'est jamais trĂšs loin finalement, heureusement. Et la dĂ©solation ? j'en Ă©tais venu Ă  ne mĂȘme plus pouvoir aimer JĂ©sus car j'avais l'impression qu'on me demandait de devenir homosexuel, c'est peu dire....- Mais une chose ne nous manque jamais l'espĂ©rance, et je cois que c'est la premiĂšre marche de l'escalier secret ESPÉRANCE. Finalement la vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 14 Nov - 1051, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 14 Nov - 1049 Une heure triste et ne voudrais pas passer pour un petit saint au chemin parfait du style ; "voyez comme je suis bien" et je trouve que ce ne serait pas sincĂšre. Non, parfois le dĂ©sespoir m'a rattrapĂ© et j'ai pendant quelque temps jetĂ© l'Ă©ponge. Mais JĂ©sus, lui, n'a pas jetĂ© l'Ă©ponge, et il a su m'attendre. Ainsi vers vingt cinq et aussi cinquante ans je n'ai pas Ă©tĂ© au top cotĂ© chastetĂ© ; ce qui d'ailleurs a Ă©tĂ© toujours trĂšs lourd de consĂ©quence. Vers vingt cinq ans j'ai eu un songe. J'ai vu le Christ en croix qui m'a simplement dit "range-toi Ă  ma gauche". Heure triste et sombre. Mais mon premier pĂ©chĂ© Ă©tait le dĂ©sespoir, le manque d'espĂ©rance. Croire que ma vie spirituelle n'avait aucun sens et que JĂ©sus ne s'intĂ©ressait pas Ă  Seigneur de m'avoir attendu, et pardonnĂ©. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 15 Nov - 748, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 15 Nov - 746 Comment j'ai reçu l'espĂ©rance. C'est dans un songe oĂč j'ai vu Gandhi. Cela peut Ă©tonner mais Marthe Robin disait de lui que c'Ă©tait un autre Christ, et bien sĂ»r c'Ă©tait de sa part un euphĂ©misme. Mais surtout JĂ©sus disait Ă  je ne sait plus quelle messagĂšre "Les paĂŻens vous montreront l'exemple".A croire qu'il n'y a plus en ce moment d'EspĂ©rance dans l' l'Ă©poque j'avais dans la trentaine et j'Ă©tais quasiment dans dĂ©sespoir car je ne trouvais pas de travail. Dans mon songe, j'allais frapper Ă  la porte d'une clinique pour leur demander s'ils avaient un emplois, et tout de suite on me disait "Gandhi est hospitalisĂ© Ă  la suite d'un jeĂ»ne prolongĂ© et il t'attend, il veut te parler. chambre 222".Donc dans mon songe je me rendis dans cette chambre. Il y avait lĂ  Gandhi dans un lit qui me dit "Ne dĂ©sespĂšre jamais, jamais. Regarde, moi, je ne suis jamais tomber dans le dĂ©sespoir".Puis il m'a transpercĂ© du regard avec insistance, comme pour me faire comprendre que ce n'Ă©tait pas un rĂȘve venant de l' gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 16 Nov - 1803, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 16 Nov - 1758 Comment j'ai reçu l' dix sept ans et j'avais donnĂ© rencard Ă  une nana devant la porte de l'Ă©glise. Vous ĂȘtes choquĂ©s ? Oui ! mais je vous ai prĂ©venu que j'Ă©tais une fripouille ? Et comme la nana tardait Ă  venir, j'ai voulu voir si elle ne m'attendait pas Ă  l'intĂ©rieur ; un coup sans priĂšre, juste pour voir. Rien, pas de nana. Mais au moment prĂ©cis oĂč je refermais la porte, pendant une fraction de seconde, j'ai vu le Christ descendant les marche de l’autel venant vers moi, qui me regardait, les bras penchĂ©s vers moi. Bigre de bigre ! Alors j'ai rouvert la porte de l'Ă©glise. Plus personne. j'ai forcĂ© mon imagination Ă  voir le Christ parce que ça ne pouvait ĂȘtre qu'elle, mais rien Ă  faire, Rien, rien et rien de doucement j'ai compris que c'Ă©tait le Seigneur qui m'invitait Ă  l'Adoration, au lieu de perdre mon temps avec une petite nana de trois sous, qui de surcroĂźt venait de me poser un lapin. Avec moi le Seigneur ne doit pas ĂȘtre pressĂ©, et il m'a fallu encore des dizaines d'annĂ©es avant de vraiment commencer une adoration rĂ©guliĂšre. Mais le Seigneur venait de planter la petite graine de l'adoration en moi, et lentement, trĂšs lentement, cette petite graine a fini par germer. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 17 Nov - 721, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 17 Nov - 720 Marie trĂŽne de la pris par l'amour de cette jeune fille que j'aimais comme la Sainte Vierge, et elle paraissait triste, dĂ©primĂ©e, tourmentĂ©. Une amie commune finit par me lĂącher ces mots terribles Elle s'est fait violer par X. je ne peux pas vous dĂ©crire l'apocalypse que mon cƓur a vĂ©cu alors. Je n'avais qu'une idĂ©e en tĂȘte tuer, Ă©gorger ce sale bonhomme. Moi qui connait si peu la violence, il m'a fallu me battre de toutes mes forces pour ne pas aller tuer. Quelques temps plus tard alors que je marchais dans le parc de ma ville. je pensais Ă  Marie reine des vierge, et tristement je lui ai dit "Marie reine des vierges, ma pauvre Marie elle n'est pas bien belle ta couronne".Sur le champs, saint Michel Archange dans toute sa puissance. Cinq mĂštres de haut. Effroi absolu car ce n'est pas rien de voir un ange en "live" ; alors le chef des anges.....- Non non ! j'ai rien dit j'ai rien tard. Lentement il a levĂ© son glaive vers le haut, et dans le mĂȘme mouvement mon Ăąme s'est Ă©levĂ©e vers les plus grandes hauteurs du ciel. la douleur m'a complĂštement quittĂ©. Une paix indescriptible, et la rĂ©alitĂ© que je voyais Ă©tait tellement rĂ©elle qu'elle me paraissait dure comme un diamant et fluide comme l'azur tout Ă  la fois. Comparativement Ă  cette rĂ©alitĂ©, l'univers ne me paraissait plus que comme une lĂ©gĂšre vapeur cotonneuse. Et je me suis retrouvĂ© EN Marie trĂŽne de la sagesse. C'est redoutable, terriblement redoutable ; et si je ne savais que la plus grande prĂ©rogative de Marie est d'ĂȘtre mĂšre de Dieu, je dirais que Marie trĂŽne de la sagesse est la plus grande puissance de l'Univers. Mais ce n'est pas tout, car je me suis retrouvĂ© dans la couronne de Marie trĂŽne de la sagesse, constituĂ© en fait des deux couronnes de la virginitĂ© et du martyr, car ce sont lĂ  les deux sommets de la sagesse. Pour la virginitĂ© je ne sais pas, mais dans cette couronne il y avait l'immensitĂ© du peuple des martyrs ChrĂ©tiens encore chaud du sang versĂ© dans l'arĂšne cinq minutes auparavant, et qui chantaient tous un cantique d'une douceur trop beau. J'aurais voulu rester pour toujours, mais on me fit comprendre que j'Ă©tais encore trop lourd, pas assez purifiĂ© pour cela, et j'ai commencĂ© Ă  doucement redescendre. Mais pendant la redescente, saint Michel Archange m'a lancĂ© en apartĂ© de la vision "Ce n'Ă©tait pas un viol, mais toi essaye de ne pas te laisser mener du bout du nez par la premiĂšre venue". J'aime bien le "essaye". Lui-mĂȘme n'Ă©tait pas convaincu du si vous voulez bien je vous dit la suite, et on rĂ©flĂ©chira ensemble sur les conclusions Ă  en gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 19 Nov - 935, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 934 Marie trĂŽne de la sagesse vision m'a d'abord laissĂ© dubitatif, et je l'ai en fait rejetĂ©e pendant vingt ans car je suis trĂšs prudent avec mes visions, quand elles me disent un peu plus que ce que l'Eglise conseille ou demande. D'abord, je n'ai Ă  proprement parlĂ© rien vu, ni avec mes yeux ni dans mon imagination. C'Ă©tait comment dire ?.... Non seulement il n'y avait rien, mais moins que rien, et je n'Ă©tais pas assez formĂ© et mĂ»r pour comprendre que ce que je voyais ne venait pas des sens, mais directement de l'ordre de l'essence. Ensuite je ne comprenais pas comment une fripouille de bas-niveau comme moi pouvait avoir une vision aussi grandiose. Donc cette vision ne pouvait ĂȘtre que puis pour moi, c'Ă©tait JĂ©sus qui Ă©tait trĂŽne de la sagesse, et non c'est saint Jean Paul II lui-mĂȘme qui a levĂ© le voile de mes doutes. DĂ©jĂ  quand il a parlĂ© de Marie comme "trĂŽne de la sagesse". Tiens ! alors c'est donc vrai, Marie est trĂŽne de la sagesse ? Puis quinze jours plus tard il a lancĂ© que "une sociĂ©tĂ© qui perd la virginitĂ© devient ipso-facto martyrogĂšne". Alors c'est donc vrai aussi cette double couronne de Marie trĂŽne de la sagesse formĂ©e des vierges et des martyrs, les deux sommets de la sagesse, et que quand l'une vient Ă  manquer c'est immĂ©diatement compensĂ© par l'autre ? Puis saint Jean Paul II a continuĂ© en lançant aux JMJ "Vous les jeunes EuropĂ©ens, le martyr qui vous est demandĂ© est de ramer Ă  contre-courant".Que penser de tout ceci ? Oui il y a peut-ĂȘtre le martyr qui nous attend, les hommes et les enfants tuĂ©s et les jeunes filles sages outragĂ©es par les soi-disant soldats de Dieu pour la plus grand joie du diable. Mais il y a le martyr des martyrs, le martyr fondamental qui juge de tous les autres martyrs le martyr du cƓur. Une gĂ©nĂ©ration entiĂšre est appelĂ© au martyr du cƓur, quand elle redĂ©couvrira la puretĂ©, et qu'elle sortira de la dĂ©bauche dans laquelle elle est plongĂ©e, Ă  cause de nous. Quand Marie reviendra, la premiĂšre chose qu'elle rĂ©tablira, c'est la gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 20 Nov - 716, Ă©ditĂ© 3 fois FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1036 ... C'est beau, Philippe ! Oui, c'est beau, la PuretĂ©. Que Notre trĂšs Sainte Maman du Ciel, quand Elle reviendra, rĂ©tablisse la PuretĂ© en premier, c'est une belle pensĂ©e qui illumine mon dimanche. Merci, et bon dimanche ensoleillĂ© par cette image.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă  ĂȘtre vraiment catholique et Ă  rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 19 Nov - 1044 Merci de tes encouragements Françoise. Et cela me confirme dans le fait de continuer. J'ai encore pas mal de choses Ă  dire ; J'ai gardĂ© le silence toute ma vie mĂȘme avec mes proches et mes meilleurs amis, mais au soir de ma vie, je sens que je dois parler car, comme m'a dit Ami de la misĂ©ricorde "la lumiĂšre ne doit pas rester sous le soir pendant une Adoration plein et plein de choses me sont revenues Ă  la mĂ©moire, mais Marie me fait comprendre que je ne dois pas Ă©crire trop vite afin de laisser aux lecteurs la possibilitĂ© de chose par jour, et cela suffit. AmitiĂ©.==================================================================================== PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 20 Nov - 713 Saint Michel un matin dans un demi-sommeil. Donc un songe sans vu une forme humaine d'une blancheur Ă©clatante s'approcher de s'est baissĂ© jusqu'Ă  mon oreille et m'a murmurer trĂšs lentement, en sĂ©parant chaque phrase d'un long temps de silence, comme pour me laisser le temps de m'imprĂ©gner, de ce qu'il m'a dit A un certain moment, dans le monde des anges,entre les bons et les mauvais angesIl y a eu une confusion chat n'y aurait pas retrouvĂ© ses un ange a posĂ© cette question MI KA EL. Qui est comme Dieu ?Alors, tout a Ă©tĂ© repensĂ© par les bons anges,par cette unique question QUI EST COMME DIEU ?Et les mauvais anges, avec leurs mauvaises pensĂ©es, n'eurent plus leur place au pour avoir posĂ© la question MI KA EL ?cet anges est devenu !Mikael ! Vous aussi vous devez rĂ©aliser le MI KA EL en vous,Et vous ne formerez plus qu'une seule et mĂȘme civilisation,avec le monde des gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 21 Nov - 708, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mar 21 Nov - 705 Saint Michel Archange je vais ĂȘtre "intello".En ce moment, on ne s'en rend pas compte mais on est dans le COGITO de Descartes qui en quelque sorte a fondĂ© le modernisme ; l'Ăšre et la civilisation moderne, avec tout son cortĂšge de merveilles technologiques, mais aussi sa rĂ©volte contre Dieu, son chaos, sa confusion gĂ©nĂ©ralisĂ©e. Cogito "Je pense donc je suis".- "JE"...MOI, ma pomme celle mangĂ© par Adam ?, tournĂ© vers "pense"...L'orgueil de la petite pensĂ©e de l' "Donc je suis'... L'illusion de croire qu'on peut ĂȘtre et exister par soi-mĂȘme, sans quitter l'Ăšre moderne et passer Ă  l'Ăšre de la sagesse, la civilisation de l'amour, la troisiĂšme Ăšre du monde, il va falloir changer de COGITO et prendre celui des anges MI KA EL, QUI EST COMME DIEU ? passer de la modernitĂ© froide Ă  la son intelligence angĂ©lique supĂ©rieur Ă  la notre, Saint Michel ne se regarde pas, il regarde Dieu. Qu'et ce qui est comme Dieu, qui est comme lui, le Seigneur ?Et puisque le concile Vatican II nous invite Ă  prendre la part de vĂ©ritĂ© des autres religions, je l'ai pris au mot, et j'ai pris comme base de ma morale le premier principe de Yoga de Patanjali. MĂȘme si ma participation s'arrĂȘte lĂ  car ce n'est pas ma vous cite ce principe base de notre morale a Ă©crit Tout talent, tout don, qui n'est pas pour l'Adoration de Dieu, finit en dĂ©but ce don sans Dieu nous apporte un certain bien, puis on en devient esclave, et nous conduit ensuite Ă  la ruine. C'est ce qui est en train d'arriver avec le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 22 Nov - 508, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 22 Nov - 433 VOCATION. LE GRAND VENT DU LARGE. La porte s’ est trouvĂ©e l’éternitĂ©, la mer et le soleil, chantĂ©s par les faut gagner le large, il faut gagner l’autre crient leur leurs au loin sourdent profondes et graves Foi-Esperance-CharitĂ©. Tout est clair, limpide et azurĂ©. Quelle est la toute belle, qui gagne le toi ma soeur, ma bien aimĂ©e ? Car sur la grĂšve souffle le grand vent du large qui m’appelle,et enivre mon Ăąme, je ne puis plus toi mon Seigneur qui t’endors sur mon Ă©paule, ou l’Esprit qui dĂ©jĂ  s’éveille en moi,qui murmure doucement, tout au fond de mon cƓurFais un pas vers la folie. Car Dame-folie frappe Ă  la porte et rĂ©clame la charitĂ© “Trois oboles fille de Sion. ““ veux-tu vivre pauvretĂ©-chastetĂ©-obeissance. ““Veux-tu vivre l’offrande de misĂ©ricorde. ““Veux-tu vivre l’oblation“veux-tu vivre ? “Oh ! mon ta mort m’a donnĂ© la vie,ta vie me fait mourir. Alors, comme un enfant, comme un tout petitdans les bras de sa mĂšre, les yeux toujours fixĂ©s sur les mains de la servante, l’enfant de Dieu se laisse emporter. SUITE ====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Jeu 23 Nov - 1305, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 23 Nov - 1303 La un songe ou plutĂŽt deux, trĂšs jeune vers douze y avait tout l'ocĂ©an de la mon songe, l'immensitĂ© de l'ocĂ©an jaillissait vers les hauteurs, et retombait pour former la chevelure et le visage du Christ. Puis lentement les lĂšvres de JĂ©sus s'ouvraient pour me parler, mais d'effroi je me suis rĂ©veillĂ© sur-le-champs. Trop fort, trop de lumiĂšre. Dans la journĂ©e piquĂ© par la curiositĂ© j'ai regrettĂ© de m'ĂȘtre rĂ©veillĂ©. Qu'est-ce que JĂ©sus avait bien Ă  me dire ?la nuit suivante, rebelote. cette fois c'Ă©tait un palmier qui s'arrachait du sol, se retournait, les racines formant les cheveux du Christ et le feuillage son visage. De nouveau ses lĂšvres s'ouvraient lentement pour parler ; mais rebelote et rebelote, je me suis rĂ©veillĂ© de peur d'entendre la Parole de celui qui est La gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 24 Nov - 2150, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 24 Nov - 2150 La Parole dire ? Devant celui qui est La Parole, on se tait, et tout ce que je pourrais Ă©crire serait du remplissage. Pour moi l'heure Ă©tait venu ; JĂ©sus allait commencer Ă  me parler. Je ne dis pas par des choses extraordinaires, mais surtout par le cƓur et le silence. On peut douter d'une parole extraordinaire ; est-ce bien JĂ©sus, le diable ou mon imagination ? Mais on ne pourra jamais douter de ce qui est donnĂ© dans la profondeur du JĂ©sus vient parler Ă  chacun de nous comme si nous Ă©tions seul au gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Dim 26 Nov - 1053, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 26 Nov - 1032 La petite Myriam du Liban et l' me sens comme poussĂ© Ă  vous raconter l'histoire de Myriam. En fait je ne connais pas son nom et c'est moi qui la nomme ainsi ; je connais son caillou blanc mais pas son nom civil. Et franchement, je ne sais pas trop quoi penser de cette histoire, un rĂȘve, une illusion ou bien la vĂ©ritĂ© ? A chacun de vous de juger et surtout l'Eglise en qui je me remets entiĂšrement. VoilĂ  un songe, un deuxiĂšme songe, un le premier Une jeune fille au Liban simple et pure. Dix huit ans, environ un mĂštre soixante cinq, le visage rond, et des beaux cheveux bruns qui lui tombent Ă  sa taille. Elle est gouvernante de deux trĂšs jeunes enfants dans une famille riche du pays, et en fait elle joue avec eux plus qu'elle ne les garde. Il semble que cela se passe dans les annĂ©es quatre vingts cinq dans une grande ville du le deuxiĂšme songe ça se prĂ©cise. Elle est fiancĂ©e au jeune homme de la maison. Trente deux ans, un mĂštre quatre vingt, sportif, les cheveux bruns frisĂ©s et tient l'affaire de la famille qui marche bien. Myriam garde les deux enfants de la sƓur du jeune homme, son fiancĂ©. Celle-ci n'a pas un visage vraiment aimable et l'on sent un caractĂšre dur et intransigeant mais tournĂ© vers le bien, avec deux grandes nattes toutes raides, de cheveux Ă©pais noirs d'Ă©bĂšne. Myriam remarque que celle-ci Ă  l'air de lui faire la gueule. Elle semble maussade et de mauvaise humeur Ă  son Ă©gard. Pourquoi ?TroisiĂšme songe Myriam lui demande le pourquoi de sa mauvaise humeur envers elle, et la sƓur de sa fiancĂ© lui rĂ©pond "je n'ai pas besoin d'une gouvernante, j'ai besoin d'une sainte".Et elle lui explique que son frĂšre va commettre des attentats terroristes contre les musulmans ; qu'il envisage mĂȘme de faire exploser un car d'enfants musulmans. C'est intolĂ©rable, inadmissible, et en plus il va alors perdre son salut Ă©ternel. La seule solution......sacrifier son frĂšre. InstantanĂ©ment, sur-le-champs, l'amour sponsal de Myriam se change en amour oblatif. Sans aucune hĂ©sitation ni retour en jour venu, Myriam appelle son fiancĂ© au garage. Dans le mĂȘme mouvement la sƓur bloque l'entrĂ©e en avançant lentement un gros camion bourrĂ© d'explosif. ÉnervĂ© par la situation et le bruit du camion celui-ci lui demande ce qui se passe, et Myriam lui rĂ©pond "Mon chĂ©ri je t'aime, je t'aime, je ne t'ai jamais tant aimĂ©".Puis, plus rien. Le camion a explosĂ©. Si j'en crois mon inspiration, Myriam est montĂ© au ciel comme une flĂšche, et elle est devenu la grande copine de la petite ThĂ©rĂšse, avec qui elles font les quatre cents coups. Du lard ou du cochon ? Et je me rĂ©pĂšte bien, si j'en crois mon inspiration....On devrait mĂȘme la retrouver, lui faire un procĂšs de canonisation, et mĂȘme la dĂ©clarer patronne ou copatronne du un jour on lui dĂ©diait une basilique, celle-ci aurait deux prĂ©rogatives D'abord, dans cette basilique les musulmans et les ChrĂ©tiens se rĂ©concilieraient et tomberaient en sanglotant dans les bras les uns les autres ; prĂ©lude Ă  leurs conversions au Christ ? Mais, de plus, cette basilique aurait l'unique privilĂšge sur la terre, de faire sentir le bonheur du ciel Ă  quiconque en franchirait le seuil. Honni soit qui mal y pense, c'est une sainte et une martyre, de son corps dĂ©chirĂ© renaĂźtra le Liban disloquĂ©. Et souvenez-vous de cette prophĂ©tie je ne sais plus oĂč dans la bible La lumiĂšre viendra du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 27 Nov - 912, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 27 Nov - 909 La petite Myriam du Liban l'histoire ne s'arrĂȘte pas lĂ . Elle est carrĂ©ment venu me voir ; non mais en tout bien tout honneur hein ! de toute façon elle est dĂ©jĂ  fiancĂ©. Au troisiĂšme songe vers 3h30 du matin, impressionnĂ© je me suis levĂ© et suis sorti dehors pour fumer une cigarette, et lĂ  je l'ai vu, vu et entendu. Elle Ă©tait Ă  environs un mĂštre cinquante de moi, mais je l'entendais comme si elle Ă©tait Ă  cent cinquante mĂštre me parlant Ă  travers un brouillard, comme si je n'Ă©tait pas assez pur pour l'entendre. Et elle est venu me chanter une chanson. En rĂ©alitĂ© elle n'a chantĂ© que la premiĂšre phrase, mais mystĂ©rieusement toute la suite de la chanson Ă©tait contenue dans ses quelques mots. Et elle m'a chantĂ© Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Il t'est demandĂ© de renoncer Et c'Ă©tait grave, car c'Ă©tait la demande que le ciel me faisait officiellement. A l'Ă©poque j'Ă©tais dans une trĂšs grande crise de purification, et je lui ai criĂ© Vas-t'en tu n'es qu'une mon imagination c'est mon plus je disais ça plus elle insistait, et plus je sentais malgrĂ© moi mon cƓur se gonfler du bonheur du ciel ; non pas un bonheur tralala Ă  grand coup d'orgues, de rayons laser et de petits angelots qui voltigent, mais un bonheur prĂ©cis, personnalisĂ©, singularisĂ©. et c'Ă©tait un bonheur du ciel que je ne voulais pas moi qui Ă©tait tournĂ© vers le bonheur de la terre. Passez-moi cette expression triviale, mais elle me "gonflait" au sens propre du son sacrifice d'un instant cette jeune fille a reçu la grĂące de la consĂ©cration religieuse plus haut que n'importe quelle nonne et religieuse du dĂ©but du Christianisme jusqu'Ă  la fin du monde. Elle a reçu l'essence mĂȘme de la consĂ©cration. C'est fou ? Mais le PĂšre de Cieux est fou d'amour ; et s'il a livrĂ© son fils pour nous, alors tout est possible. Cette jeune fille vient nous apprendre le bonheur du ciel, et un jour des milliers de jeunes gens et jeunes filles la vous donne l'intĂ©gralitĂ© de la chanson qu'elle est venu me chanter Il t'est demandĂ© de renoncer,jusqu'Ă  tes biens les plus sacrĂ©s,il t'est demandĂ© de tout sacrifier,jusqu'Ă  ton amour le plus cher. C'est l'heure de tourner la page, d'avancer, sans plus te retourner, c'est l'heure, de regarder le soleil, face Ă  face, sans plus aucun t'est demandĂ© la pauvretĂ©,dans ta blessure la plus profonde,il t'est demandĂ© la puretĂ©,dans les flots de la plus grande amertume,et d'obĂ©ir Ă  l'Eglise,et Ă  sa loi, jusqu'Ă  l'agonie. C'est l'heure, de porter tes frĂšres, toi qui n'a jamais su tenir debout, de leurs apporter la lumiĂšre, toi qui ne fut jamais, qu'un pauvre t'est demandĂ© le martyr,de la chair, qui ne veut pas mourir,il t'et demandĂ© le martyr,de ton cƓur, qui n'a jamais pu aimer, et de trouver la vraie joie,de ceux qui ont, choisi l'oblation. c'est l'heure, de gagner le large, mĂȘme si tu en as, le cƓur glacĂ©, c'est l'heure, de gagner l'autre rive, mĂȘme si tu en as, le cƓur dĂ©chirĂ©. Bon ! attention Ă  bien comprendre. JĂ©sus n'est pas un Dieu-Moloch Ă©goĂŻste et dĂ©voreur de nos affections. Et au contraire, il veut que l'on s'aime les uns les autres ; que l'enfant aime ses parents, que l'ami aime son ami et la fiancĂ©e son fiancĂ©. Et la petite Myriam elle-mĂȘme aime Ă©ternellement son fiancĂ©. Mais JĂ©sus veut que d'abord on lui donne tout et qu'on tourne tout vers le ciel, car rien de bon n'existe hors de lui. Et cela implique de passer par la gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 551, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 29 Nov - 806 Une vierge va venir...Une vierge par les temps qui court ? Dieu seul juge, et le regard du PĂšre des Cieux n'est pas celui des je vais faire dans le dans ma grande Nuit d'Orient "Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune" dirait Victor Hugo. Une nuit entiĂšre d'agonie, calme et paisible, mais sans aucune lumiĂšre et tout mon ĂȘtre suppliant l’Éternel dans un ciel de douleur sans Ă©cho. Mais "O ! nuit qui m'Ă©claire plus sĂ»rement que le jour"Pas de vision pas de parole mais comment dire ? C'est trĂšs mystĂ©rieux mais ma nuit mĂȘme me disait quelque chose et en Ă©tait le contour ; une phrase trĂšs prĂ©cise au mot prĂšs qui Ă©tait "Une vierge va venir, qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde".Le matin je me suis dit "Bon! Ça-y-est mon bonhomme tu as franchi la ligne jaune, bonjour la schizo". Et j'attendais l'ouverture de l'heure des bureaux pour prendre rendez-vous au CHP du coin. Mais il m'est arrivĂ© ce qui m'arrive parfois quand je suis perplexe je tombe sur un texte qui rĂ©pond Ă  ma question. Et lĂ , je suis tombĂ© sur un texte qui disait "Luisa Picarretta a prophĂ©tisĂ© qu'une vierge va venir qui va faire passer l'humanitĂ© entiĂšre dans la troisiĂšme Ăšre du monde". Pile-poil exactement la mĂȘme phrase reçue, Ă  la virgule l'instant elle commence son chemin. Prions et offrons des sacrifices pour elle car sa mission est redoutable. La troisiĂšme femme la plus importante du monde, aprĂšs Eve et gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Jeu 30 Nov - 617, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Jeu 30 Nov - 615 Le jeun. Comment JĂ©sus m'a enseignĂ© le jeun ? On va dire que le moyen utilisĂ© n'a rien d'extraordinaire ; et pourtant si, parce que JĂ©sus fait de l'extraordinaire avec de l'ordinaire. VoilĂ  J'avais Ă©tĂ© invitĂ© Ă  une soirĂ©e de rĂ©veillon par un ami, et celui-ci avait reçu comme cadeau de NoĂ«l une machine Ă  pain. EnthousiasmĂ© il avait voulu essayer toutes les recettes du livre, et de joie, nous les faisait tous goĂ»ter "tiens ! goĂ»te Ă  celui-ci aux grains et celui-ci, et celui-lĂ , mais vas-y reprends-en il y en a plein....Tant et si bien qu'au moment de passer Ă  table pour un plantureux festin, je n'avais plus faim. Mais j'avais eu un autre festin celui de la joie de mon ami, qui sans s'en rendre compte, m'a fait jeĂ»ner un soir de rĂ©veillon. Mais JĂ©sus lui aussi a une machine Ă  pain. Tu trouves que le pain du jeun est triste ? GoĂ»te mieux ! Tel pain de jeun a le goĂ»t d'une rĂ©conciliation, tel autre celui d'une grosse difficultĂ© surmontĂ©, ou encore d'une conversion de quelqu'un que tu aimes, et encore d'une vocation, et que sais-je encore Ă  n'en plus finir, car JĂ©sus est plein d'imagination. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mer 6 DĂ©c - 530, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Mer 6 DĂ©c - 529 Les esprits d' vais dĂ©roger Ă  ma rĂšgle en ne vous donnant que mes visions de lumiĂšre, et vous parler ici d'une vision de la nuit. Car en ces temps de malheur qui sont aussi des temps de de grande grĂące, les nuits de l'esprit vont sans doute se multiplier, et cette connaissance peut servir. je veux parler des esprit d'Ă©pouvante, si cher au renouveau charismatique. Quand une Ăąme est en progression, avec la permission Divine elle peut ĂȘtre conduite par les dĂ©mons dans un esprit d'Ă©pouvante, afin de lui faire peur et la dissuader de continuer. Cette vision provoquĂ©e par les dĂ©mons n'est pas du tout du mĂȘme ordre que celle venant du Saint Esprit. Elle ferait plutĂŽt penser Ă  un Ă©tat mĂ©diumnique,poltergeist, hallucinatoire, voir pathologique alors qu'il n'en est rien. En fait nous ne sommes pas possĂ©dĂ©s par un esprit d'Ă©pouvante, c'est plutĂŽt cet esprit qui est possĂ©dĂ© par nous malgrĂ© lui. Je m'explique Les esprit d'Ă©pouvante sont des anges dĂ©chus de l'ordre des ChĂ©rubins, les Ă©ternels silencieux du ciel, dont la seule mission est de montrer du doigt le trĂŽne de l’Éternel dans la contemplation Divine. Il ne faut pas s'imaginer comme on le fait des petit angelots simplets car ils sont en fait des esprits d'une puissance phĂ©nomĂ©nal. Leur pĂ©chĂ©, ceux des ChĂ©rubins qui sont tombĂ©s ? Ils ont refusĂ© d'avoir confiance face Ă  la gloire Divine, insupportable Ă  toute crĂ©ature, sans passer par le Verbe rendu infiniment petit dans la crĂšche, avant de rebondir. l'infinitude de Dieu est insupportable en lui-mĂȘme ; et seul JĂ©sus dans la crĂšche peut ĂȘtre adorĂ© sans effroi, pour, Ă  partir de lĂ  devaient ĂȘtre de grands esprits planant dans l'Esprit Saint, et lĂ , ils se retrouvent comme en cale-sĂšche, suffocant d’effroi Ă  chaque seconde et Ă©ternellement face Ă  l'infinitude de Dieu insupportable Ă  toute crĂ©ature finie. Alors imaginez comme une grande cathĂ©drale. Ils sont comme ces dĂ©mons dĂ©crit par Bosch, le visage tournĂ© non vers l'extĂ©rieur mais l'intĂ©rieur, et vous ĂȘtes conduit Ă  l'intĂ©rieur de cette cathĂ©drale de malheur face Ă  ce visage qui suffoque, mais, partageant son propre effroi. Ces "ChĂ©rubins" on gardĂ© la capacitĂ© de percer la puissance contemplative des ĂȘtres, et ils vont suffoquer de votre propre puissance contemplative, partageant malgrĂ© eux et avec vous leur effroi. Et tout devient alors effroi, Ă©pouvante "Ha! tu as trop priĂ© le chapelet, tu as trop communiĂ©, et maintenant il est trop tard". Tout devient effroi, Ă©pouvante, et il faut tout son courage et toute sa foi pour ne faire qu'un simple signe de croix qui devient terrifiant. Et le plus chagrinant alors et que Marie elle-mĂȘme nous apparaĂźt comme une tigresse. La pauvre petite maman.... Dans leur intĂ©rioritĂ© maudite, ces esprit d'Ă©pouvante sont Ă©ternellement face Ă  un puits sans fond qui est celui de la CONFIANCE car l'enfant JĂ©sus dans la crĂšche n’apparaĂźt pas encore, et il suffirait qu'il se jette dans ce puits de la confiance pour immĂ©diatement retrouver le salut, mais ils s'y refusent. Et nous c'et notre salut pour sortir de ce guĂȘpier. La vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Mais le positif de cette expĂ©rience est que ça nous fait un vrai scan de notre vie spirituelle. Par exemple, moi, je me suis alors aperçu que l'Adoration du Saint Sacrement ne me plongeait absolument pas dans l'Ă©pouvante, et effectivement Ă  cette Ă©poque de ma vie elle manquait. Merci de l'info esprit d'Ă©pouvante. Mais je le rĂ©pĂšte la vie spirituelle est un moteur Ă  deux temps EspĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance, espĂ©rance confiance. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Ven 8 DĂ©c - 1020, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 8 DĂ©c - 1016 Avortement. David est parti au vais ici faire encore un pas vers mes visions de la nuit, car cela dĂ©bouche franchement sur la lumiĂšre. A savoir, le repentir de l'avortement. Tout commence d'abord par une note sombre, une expĂ©rience de l'enfer. Je ne sais pas trop et je peux me tromper, un envoĂ»tement car sƓur Couder a fait la mĂȘme expĂ©rience Ă  la suite d'un envoĂ»tement ? Ou alors un avertissement sur les consĂ©quences de l'avortement ? Toujours est-il que j'associe ça fortement Ă  l'avortement. Tout a commencĂ© avec une collĂšgue de travail qui n'arrivait plus Ă  dormir. Non je n'Ă©tait pas amoureux d'elle et je ne l'ai jamais dĂ©sirĂ©e. Elle m'a confiĂ© qu'elle n'arrivait plus Ă  dormir, parce qu'elle Ă©tait persuadĂ© qu'Ă  sa mort elle allait se rĂ©veillĂ© vivante dans sa tombe. Et moi bon boy scout je lui ai dit "Je prend ça sur moi, ça ne t'arrivera pas".Quelques temps plus tard alors que j'Ă©tais en train de faire la vaisselle, l'espace s'est dĂ©chirĂ© devant moi et une sorte d'arc Ă©lectrique me frappait tour Ă  tour au front ou au cƓur, et je vous assure que c'Ă©tait aussi tangible que si cela avait Ă©tĂ© une chĂątaigne de 250 volts. Mais c'Ă©tait noir, froid et sec. Rien Ă  voir avec une Ă©lectrocution ; c'Ă©tait comme des milliards d'araignĂ©es, la mort dans la mort, la quintessence du lugubre, et le mythe des vampires paraissait boy scout Ă  cotĂ©. Quand ça me touchait au front tout mon esprit plongeait dans un noir d'encre, et quand ça me touchait au cƓur, tout mon corps. J'ai reculĂ© immĂ©diatement pour ne pas me noyer dans l'eau de vaisselle car sans perdre connaissance je perdais toutes mes forces physiques. Puis, profitant d'une accalmie je me suis prĂ©cipitĂ© dans ma chambre pour que mes enfants ne me voient pas dans cet Ă©tat. A peine Ă©croulĂ© sur mon lit "ça" m'a touchĂ© sans interruption au front et au cƓur en mĂȘme temps, et je me suis retrouvĂ© cent mĂštres sous terre comme dans une tombe, un cercueil. Pendant tout ce temps je m'efforçait de rĂ©pĂ©ter "mon Dieu je ne veux que ta volontĂ© d'amour" car j'avais trĂšs peur de me mettre Ă  maudire Dieu. Mais je me souviens aussi avoir pensĂ© "pourvu qu'il me reste un bout de doigt indemne que je puisse continuer Ă  respirer Dieu". On ne s'en rend pas compte car ça ne nous manque jamais mais on respire Dieu ; tout respire Dieu, jusqu'au moindre caillou. Et lĂ , j'Ă©touffais littĂ©ralement car je ne respirais plus y a eu quand mĂȘme une accalmie, et je me suis prĂ©cipitĂ© sur une bouteille d'eau de San Damiano pour me signer, mais avant d'y arriver la piĂšce tanguait comme une petite barque dans une furieuse tempĂȘte pleine de colĂšre. Puis je me suis signĂ© avec cette eau bĂ©nie, et tout s'est arrĂȘtĂ©. En me regardant dans la glace, j'ai vu que j'Ă©tais trempĂ© de sueur comme si j'Ă©tais passĂ© sous une douche alors que cette Ă©preuve n'a durĂ© que quelques minutes. Mais j'ai compris. Ma collĂšgue de travail avait fait un avortement, et elle Ă©tait prĂ©venue des consĂ©quence s'il n'y avait pas de repentir. Par dĂ©licatesse je n'ai pas osĂ© lui parler. Un simple regard en lui disant "tout est arrangĂ© ça ne t'arrivera pas", et elle a compris. Bien sĂ»r je peux me tromper et j'ai horreur de ceux qui font passer leurs opinions pour celles de Dieu dans un chantage indicible. Mais mon avis est que s'il n'y a pas de repentir, celles qui avortent risque de se retrouver pour toujours enfermĂ©es dans un cercueil, coupĂ© de tous Ă  tout jamais. Avec cette parole "tu as voulu ĂȘtre tombeau, tu seras tombeau".En fait c'est mĂȘme pas Dieu qui punit. C'est la femme ou le coupable qui tombe dans sa propre psychose. je vous parle de mon expĂ©rience avec David, un enfant gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Sam 9 DĂ©c - 1244, Ă©ditĂ© 1 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 9 DĂ©c - 1243 David est parti au ciel a commencĂ© pendant une Adoration. J'ai d'abord senti qu'on me faisait comme une onction d'huile sur le front. Puis j'ai eu une vue d'une acuitĂ© visuelle dix fois plus forte qu'avec les yeux. C'Ă©tait une jeune sƓur d'un groupe de priĂšre, la coupable ou plutĂŽt la victime d'un avortement. Elle Ă©tait dans un campus universitaire, et elle cherchait joyeuse et vive l'entrĂ©e d'une formidable pyramide s'Ă©levant jusqu'au ciel la JĂ©rusalem cĂ©leste, le chĂąteau intĂ©rieur de l'Ăąme ? A mon avis cette vision m'Ă©tait donnĂ© par un ChĂ©rubin ; mais ensuite j'ai vu comme.....disons le dessin d'un enfant de treize ans que j'ai assez facilement rĂ©ussi Ă  reproduire, et que je vous donne Je pense que c'est David l'enfant avortĂ© qui m'a fait ce dessin pour m'expliquer son est trĂšs simple - je chameau en haut ? Un chameau, c'est un chameau, un Le chameau la bouscule un peu plus que prĂ©vu. Vlan ! enceinte. j'ai aussi eu un songe d'elle Ă  la clinique d'avortement. Sur sa porte il y avait marquĂ© Mlle Frico. Frico, fricotage.....hum!.....- L'ours en fait c'est moi. Sept ans auparavant j'avais croisĂ© deux jeunes pour qui j'avais eu l'inspiration de prier afin d'Ă©viter une catastrophe, et j'avais nĂ©gligĂ© la priĂšre. David l'enfant avortĂ© me l'a trĂšs dĂ©licatement rapportĂ©......Sept ans ou treize ans ? J'ai l'impression que dans son monde, le temps passe plus vite que chez L'arbre cassĂ© avec une boule ? suite Ă  l'avortement elle a dĂ» avoir des complications morales ou physiques avec son systĂšme gynĂ©cologique. Sur ce dessin on ne voit pas tout mais "l'ours" met un essaim d'abeille au milieu de cet arbre. Une abeille, ça pique et ça brĂ»le, mais ça apporte aussi la douceur du miel et la Idem pour le fil Ă  la patte. Ce problĂšme d'avortement vers quatorze ans l'empĂȘchait d'avancer. mais en allant porter l'essaim d'abeille dans son arbre gynĂ©cologique, l'ours marchait sur le fil et le cassait. Traduction pendant la rĂ©union de priĂšre du groupe j'ai lancĂ© "Pour une jeune fille qui a avortĂ© Ă  quatorze ans. Le Seigneur veut guĂ©rir sa mĂ©moire et qu'elle dĂ©couvre son vrai visage".Cela a Ă©tĂ© comme un coup de tonnerre de guĂ©rison pour elle. Mais je ne vais pas tout raconter car ce serait trop long. Ceux que ça intĂ©resse peuvent aller ICI oĂč je raconte tout en je l'ai vu, vu, et encore vu, et il est restĂ© deux mois avec moi oĂč il Ă©tait toujours lĂ . Ce qui Ă©tait assez Ă©prouvant car parfois j'Ă©tais en prĂ©sence de sa jeune mĂšre et lui Ă  cotĂ©, et je ne pouvais rien rĂ©vĂ©ler Ă  cette jeune mĂȘme carrĂ©ment, une fois il m'a invitĂ© dans son me suis retrouvĂ© dans un champs d'herbe, et au loin il y avait un chemin oĂč quatre ou cinq enfants faisaient une promenade en vĂ©lo. DĂšs que je suis arrivĂ© les cinq regards se sont tournĂ©s dans ma direction, et David a foncĂ© droit sur moi en faisant un dĂ©rapage contrĂŽlĂ© au dernier moment pour m'Ă©viter. Les anges ont l'air d'ĂȘtre plutĂŽt cool avec eux ; d'abord il avait les cheveux qui lui tombaient sur les Ă©paules, et ces enfants ne semblent pas briller par une discipline excessive. Puis un jour, il s'est plantĂ© devant moi, comme un enfant au supplice obligĂ© de subir une sĂ©ance de photo ou de peinture. J'ai compris qu'il venait me dire au-revoir, et qu'il se tenait devant moi afin que je mĂ©morise son visage. Au bout de plusieurs minutes son visage s'est estompĂ©, et il a disparu. je ne l'ai plus jamais revu. Adieu David, on se reverra au Ciel. Mon impression ?ce qui suit ne vient pas d'une rĂ©vĂ©lation mais d'une impression gĂ©nĂ©rale, et bien sĂ»r je peux me tromper. Mais j'ai l'impression qu'Ă  leur mort, ils sont immĂ©diatement pris en charge par un ChĂ©rubin qui les conduit Ă  l'Ă©cole du ciel, car on n'entre pas dans la vision bĂ©atifique comme ça. Et ça n'est pas tout Ă  fait le ciel, car manifestement ils ne sont pas encore parfaits, et ont encore du chemin Ă  faire. Qui sont ils ?Je pense que Seigneur est en train de se constituer une race de seigneurs, au-dessus des hommes et au-dessus des anges, car d'une certaine maniĂšre, ils sont hommes et anges tout Ă  la fois. Et quand le nombre de ces seigneurs sera atteint, le Seigneur s'Ă©criera "Stop, ici c'arrĂȘte l'orgueil de tes flots tu n'iras pas plus loin".Et il n'y aura alors plus aucun avortement sur est il venu me voir ?Et bien je pense que c'est d'abord pour se rĂ©concilier avec sa maman, mais aussi pour nous montrer que ces enfants avortĂ©s, ce n'est pas un problĂšme morale abstrait n'existant que dans la tĂȘte des gens, mais que c'est bien concret. Ces enfants, c'est concret ; ils existent, et ont une histoire, qui continue et continuera jusqu'Ă  l'Ă©ternitĂ©, qu'on le veuille ou En cas d'avortement, le repentir. Sinon, Boum ! Le gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Lun 11 DĂ©c - 1814, Ă©ditĂ© 3 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Lun 11 DĂ©c - 919 L'Heure Sainte. Ça m'a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  Chateauneuf de Galaure Ă  une retraite du foyer de charitĂ© du vivant de Marthe Robin je l'ai vu trois fois pendant des retraites quand elle vivait encore sur Terre. Une nuit vers deux ou trois heure du matin, j'ai entendu intĂ©rieurement la voix de Marthe qui me rĂ©veillait brusquement et me disait Vite ! lĂšves-toi et engourdi par le sommeil j'ai dĂ» prier quelques minutes tout au plus d'une mauvaise priĂšre. Mais la toute petite graine de l'Heure Sainte Ă©tait plantĂ©e, qui lentement, doucement et trĂšs doucement allait pousser. Dans le "livre de l'amour misĂ©ricordieux" JĂ©sus demande l'Heure Sainte pour lui tenir compagnie dans ses longues nuits de pleurs et de douleurs, avec la promesse que tout ce qu'on demandera alors, sera exaucĂ©. Mais rien ne nous donne plus la joie la paix et le bonheur que l'Heure la barbe je ne fais pas l'office de lecture de l'office des heures ; trop long. Et mĂȘme techniquement je ne fais pas une heure pleine car ensuite je ne retrouve plus le sommeil, et ma journĂ©e du lendemain est plombĂ©e. Non pour moi la bonne durĂ©e est 1/2 heure oĂč je me remet en Marie ImmaculĂ©e pour qu'en moi elle accomplisse la Divine VolontĂ© du PĂšre ; et ceci Ă  3h30 du matin. Mais en contrepartie et dans le silence de la nuit, JĂ©sus vient nous parler comme Ă  un ami, selon l'inspiration. Premier effet, cela implique une certaine discipline de se coucher vers 9 heure et ne pas traĂźnailler devant la tĂ©loche Ă  regarder des bĂȘtises. Essayez vous allez voir ; ce n'est pas si dure que ça. Merci gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1856, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Ven 15 DĂ©c - 752 Les trois jours de peux me tromper, bien sĂ»r, mais il me semble bien que j'ai anticipĂ© les trois jours de tĂ©nĂšbres. Auparavant j'avais entendu parler de ça par ma grand-mĂšre et je n'y avais guĂšre prĂȘter attention, sans plus. En fait nul dans cette vision ne m'a dit que c'Ă©tait ces fameux trois jours, mais aprĂšs dĂ©duction et surtout ce que m'a dit Marthe Robin la deuxiĂšme nuit, j'en conclus que que c'est sans doute ça. Sauf que ce que j'ai vĂ©cu dans la vision doit encore ĂȘtre vĂ©cu dans la foi. Que s'est-il passĂ© ? et je vais ĂȘtre le plus sobre possible Imagination, rĂ©alitĂ© ? Tout a commencĂ© comme si Lucifer en personne me demandait de renoncer Ă  l'amour avec une voix trĂšs calme, avec Ă  chaque fois l'impression d'ĂȘtre sous l'eau oĂč tous les bruits s'estompent. Par trois fois il m'a fait cette demande, et trois fois je lui ai rĂ©pondu " Je ne veux que la volontĂ© d'amour du PĂšre Éternel".A ma troisiĂšme rĂ©ponse j'ai entendu une nuĂ©e de mouche qui se sont posĂ©es sur tous mon corps, et qui me brĂ»laient. A partir de lĂ  je suis littĂ©ralement entrĂ© au tombeau. la nuit dans la nuit, la mort. je veux rester trĂšs sobre, mais c'Ă©tait comme un grand combat entre l'icĂŽne de l'amour infini du Verbe qui a fait comme exploser mon Ăąme par sa vĂ©hĂ©mence, et un dragon qui s'est mis Ă  me poursuivre ; un dragon formĂ© de toutes les scories de mon Ăąme, de tout ce qui en moi n'est pas purifiĂ©. Mais dĂ©s le dĂ©but, aussi, j'ai senti deux mains qui encerclaient ma tĂȘte avec bienveillance et amour, et sans ces deux mains, je ne sais pas si j'aurai tenu le coup. Puis trois jours plus tard Ă  quinze heure, Vlan ! tout s'est arrĂȘtĂ© d'un coup. Il faisait beau la vie Ă©tait belle ; et doucement les deux mains protectrices se sont elle aussi retirĂ©es. On peut douter de cette expĂ©rience. Et moi en premier, car quelle que temps plus tard je suis allĂ© voir un psychiatre histoire de voir si je n'ai pas fait tout bonnement une crise de dĂ©mence. Mais le psychiatre m'a rassurĂ© en me disant que la psychiatrie ne s'occupe pas des expĂ©riences puis Outre cette expĂ©rience intĂ©rieur il y a eu des phĂ©nomĂšnes perçus par les autres Ma femme sentait autour de moi une odeur de pneu brĂ»lĂ©, odeur que j'ai senti pendant trois jours, au travail mon directeur a entendu des "voix" dans le bureau oĂč je travaillais alors que j'Ă©tais seul ; ce qui m'a sans doute valu de ne pas ĂȘtre virĂ©, car pendant ces trois jours mon travail n'Ă©tait pas au top, et mon directeur a compris qu'il se passait quelque chose indĂ©pendant de ma volontĂ©.....Mais surtout, ma mĂšre. Le lendemain matin oĂč les choses ont commencĂ© elle est venu me voir affolĂ©e en me disant " Philippe, qu'est-ce qui se passe ? Hier soir vers dix heures j'ai entendu comme une gigantesque porte d'acier mais qui ployait, ployait sous une force irrĂ©sistible, et brusquement la porte a explosĂ© dans un vacarme Ă©pouvantable, libĂ©rant des choses, des crĂ©atures mauvaises, et pour elles c'Ă©tait une tragĂ©die inexorables, dĂ©finitive. J'ai cru que c'Ă©tait un avion qui revenait du Koweit et qui avait crashĂ©, et je me suis levĂ© en hurlant pensant que toutes les vitres de la maison Ă©taient brisĂ©es, mais il n'y a que moi Ă  avoir entendu cela. je savais que c'Ă©tait liĂ© Ă  toi, je ne sais pas pourquoi mais j'en Ă©tais sĂ»r. Vu le tĂ©moignage de ma mĂšre, comment ne pas penser Ă  une porte, une porte d'enfer qui venait d'exploser ?.....Mais surtout il y a les paroles que m'a confiĂ©s Marthe Robin, et ce sont elles qui peu Ă  peu, m'ont fait penser que j'avais peut-ĂȘtre anticipĂ© les trois jours de gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1916, Ă©ditĂ© 6 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Sam 16 DĂ©c - 724 Les trois jours de tĂ©nĂšbres vais aujourd'hui vous donner ce que j'ai reçu de Marthe Robin sur les trois jours de tĂ©nĂšbres. Mais auparavant je voudrais vous dire. La foi tĂątonne, cherche, parfois se trompe, et finit par trouver la vĂ©ritĂ© puisque c'est la promesse du Seigneur. Je fais la distinction entre ce que je reçois du ciel et que trĂšs souvent j'interprĂšte mal, et ce qui est de l'ordre de mon opinion personnelle. Je rĂ©clame un certain droit Ă  l'erreur. Et je vous implore ; ne faite pas de moi un faux prophĂšte et un imposteur, en faisant de moi un messager de Dieu de toutes mes opinions personnelles. La VĂ©ritĂ© ? on va la faire tous ensemble, mais en communion avec l'Eglise et nos que la distinction est faite, je peux vous donner ce que j'ai reçu de Marthe durant cette Ă©preuve de trois jours de tĂ©nĂšbres, et je ne changerais pas la moindre virgule ; Ă  vous de arrivĂ© la deuxiĂšme nuit de mes jours de tĂ©nĂšbres. Tout ce qui est en bleu est de Marthe Robin Ă  la virgule et au point prĂȘt, et je n'ai rien changĂ©. Elle m'a dictĂ© ça mot aprĂšs mot sans que je puisse deviner le mot suivant, et Ă  chaque phrase je croyais que c'Ă©tait la derniĂšre, mais ça continuait. Ensuite quand j'ai relu je n'ai rien compris, et c'est peu Ă  peu que la lumiĂšre m'est venue. En fait, je ne savais mĂȘme pas que j'anticipais les trois jours de tĂ©nĂšbres, et c'est ce qu'elle m'a dictĂ© qui m'a mis la puce Ă  l' grandes ailes de priĂšre de l'ange de douleur vous seront donnĂ©s afin de surmonter cette vers le point de lumiĂšre, de Marie ImmaculĂ©e. Prends un stylo et nuit"Seigneur, sauve-moi".Ça, tout le monde peut le nuitCertains vont reprendre courage, et faire demi-tour, pour aller chercher leur frĂšre, qui serait perdu sans cela."Seigneur, si mon frĂšre est perdu, que je sois perdu avec lui".Quelques uns le feront, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă  la fin tout le monde le nuit"Seigneur, que tous mes frĂšres, que toutes mes sƓurs, soient plus Ă©levĂ© que moi, dans l'ordre de la grĂące, de l'amour et de la saintetĂ©".Quelques uns vont le faire, puis d'autres, et d'autres encore, et Ă  la fin on va finir par tous se pousser Ă  qui mieux mieux vers le commence la dĂ©mesure Ă  vous de juger. A noter que Marthe Robin ne parle pas des phĂ©nomĂšnes fantastiques extĂ©rieurs qui se dĂ©rouleront alors tels que, ObscuritĂ©, apparition de dĂ©mons, tonnerre fracassant et que sais-je encore ? Non, elle ne parle uniquement que de ce que l'on va vivre intĂ©rieurement et le chemin spirituel que l'on devra prendre alors pour bien vivre cette Ă©preuve. Reste que ce n'Ă©tait qu'une vision mĂȘme si trĂšs douloureuse, mais maintenant je dois vivre ça dans la foi. Et croyez moi, il y a du gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but====================================================================================DerniĂšre Ă©dition par Philippe le Mar 18 Sep - 1910, Ă©ditĂ© 2 fois PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 804 Ultime recommandation. Pour moi il y a les visions de la lumiĂšre et les visions de la nuit. Et lĂ  je franchis quasiment la ligne jaune en vous donnant une vision de la nuit, mais je pense que c'est a commencĂ© par un songe et a fini par une mon songe, j'Ă©tais dans une Ă©glise. Je donnais des coup-de-pieds dans les murs, et il y avait des dĂ©mons qui en sortaient qui s'enfuyaient en rampant. Puis je m'Ă©levais au sommet de cette Ă©glise Ă©glise ou Eglise ?, et lĂ  il y avait un dĂ©mon terrible ; mort de trouille mais trop orgueilleux pour s'enfuir. Comme ce songe Ă©tait dĂ©sagrĂ©able je me suis rĂ©veillĂ© ; je suis descendu dans la cuisine me faire un cafĂ© et fumer une cigarette pour penser Ă  autre chose. Mais en vision intĂ©rieur je continuais Ă  voir ce dĂ©mon qui me regardait, dans une parfaite acuitĂ©, et ça me brĂ»lait la tĂȘte. je ne parle jamais au dĂ©mon mais lĂ  je n'ai pu m'empĂȘcher de lui dire "Et toi tu ne parts pas ?". Et lui, je l'ai entendu me rĂ©pondre avec une voix double, que j'ai entendu avec mes oreilles mais quatre cent dĂ©cibels "J'attend la puissance suprĂȘme de monseigneur Lucifer".Sur le coup j'ai Ă©tĂ© terrifiĂ©. Non par la vision elle-mĂȘme car dans ces cas-lĂ  on a toujours la grĂące, mais j'avais trĂšs peur que mes enfants en bas-Ăąge aient entendu aussi. Mais non, je me suis demandĂ© quelle pouvait ĂȘtre cette "puissance suprĂȘme de Lucifer", et finalement j'ai trouvĂ© la rĂ©ponse dans le CEC qui nous dit que la puissance suprĂȘme de Lucifer, c'est l'esprit de l' dĂ©tail qui a son importance en me disant cela, narquois il prenait mon visage. j'ose prĂ©tendre m'efforcer d'ĂȘtre fidĂšle, et donc le diable va crĂ©er la confusion en faisant croire que ceux qui sont fidĂšle sont du cotĂ© du diable, dans un mauvais chemin. Je prĂ©fĂšre ne pas faire de commentaire, sinon que le Padre Pio disait souvent que le poisson pourrit par la tĂȘte. Mais prions, prions beaucoup pour l'Eglise et ces chefs, car l'heure de l'Ă©preuve redoutable entre toutes est gloire, gloire Ă  toi. Toute ma tendresse pour toi au dĂ©but==================================================================================== FrançoiseconsacrĂ©Messages 7626Date d'inscription 12/06/2016Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 817 Philippe,Je suis sidĂ©rĂ©e, Philippe qu'est-ce que tu en as vĂ©cu des expĂ©riences "mystiques" ! ... Mais, en fait, quand on te connait un peu, cela ne m'Ă©tonne pas outre mesure ! ... Et je suis contente de travailler avec toi. Que tes chevilles n'enflent surtout pas, reste un petit bonhomme tout simple sans aucune prise de tĂȘte, comme tu es dans la toujours dans la Divine VolontĂ© !Bien amicalement, Françoise.====================================================================================Seigneur, aide-nous maintenant Ă  ĂȘtre vraiment catholique et Ă  rester dans la grande vĂ©ritĂ©, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir. PhilippeconsacrĂ©Messages 1865Date d'inscription 03/08/2010Age 74Localisation Maisons LaffitteSujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Dim 17 DĂ©c - 950 Merci. Non je ne risque pas de faire Ă©clater mes chaussettes. je pense que j'au reçu tout ça justement parce que je suis un spĂ©cimen de petit bonhomme. JĂ©sus s'est d'abord fait une Ă©lite, et maintenant il veut se mettre au milieu de son peuple . Et dire que je suis le plus misĂ©rable de tous serait encore bien prĂ©tentieux.==================================================================================== Contenu sponsorisĂ©Sujet Re TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. TĂ©moignage. Aboutit au trois jours de tĂ©nĂšbres. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les trois jours de tĂ©nĂšbres.» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Guerrero.» La LumiĂšre brille dans les tĂ©nĂšbres et les tĂ©nĂšbres ne l'ont pas arrĂȘtĂ©e.» JĂ©sus est la LumiĂšre du monde, en Lui point de tĂ©nĂšbres.» Sainte Faustine Tentations et tĂ©nĂšbres, Satan Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre ÉVANGÉLISATIONSauter vers

Situ m'aime arrĂȘte tes bĂȘtises ï„ș. ВОЎОтД Ń˜ĐŸŃˆ ĐŸ CĂžeĂŒr toxic ĐœĐ° ЀДјсбуĐșу

Fortnite Patrick Mahomes fait son entrée ! AprÚs Naomi Osaka et LeBron James, c'est une autre star du sport qui rejoint l'ßle de Fortnite. Il s'agit de Patrick Mahomes, un joeur de NFL. Deux bande-annonces de présentation viennent de sortir afin d'illustrer le peronnage mais aussi de présenter ses tenues et accessoires.

Aimestu les pancakes ? J'adore les pancakes ! Ce n'est pas une vraie FAQ ! Ce n'est pas une vraie question. Pourquoi tes personnages humains sont si simples comparé aux animaux ? Parce que les humains ne m'intéressent pas vraiment. Peux-tu dessiner un tatou ? Oui. Peux-tu lui rajouter des ailes ? Bien sûr. Peux-tu me dessiner moi ? Non. Peux-tu dessiner mon chien ? Ouais, bien
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