PHOTOS - Que sont devenus les principaux acteurs de l'adaptation cinéma des souvenirs de Marcel Pagnol dont France 2 diffuse jeudi 25 mai à 13h55 le premier volet La Gloire de mon père ?Philippe CaubèreLe père, Joseph PagnolCélèbre acteur et metteur en scène de théâtre, cocréateur du Théâtre du soleil avec Ariane Mnouchkine, Philippe Caubère a été plutôt rare au cinéma si ses interprétations de MolièreAriane Mnouchkine et de Joseph Pagnol le diptyque d'Yves Robert ont marqué, son rôle de chef de gang barbare dans TruandsFrédéric Schoendoerffer lui ont valu de vives critiques qui le tiendront éloigné du 7e art pendant plusieurs années. Très actif dans le milieu théâtral, Philippe Caubère a proposé un double spectacle au festival d'Avignon 2015 La Danse du diable, le bac 68. Il s'est par ailleurs illustré dans des polémiques publiques sur la politique menée par divers ministres de la Culture. Libertin assumé, il a aussi signé plusieurs lettres ouvertes contre la pénalisation des clients de RousselLa mère, Augustine PagnolAprès les souvenirs de Pagnol, Nathalie Roussel, de son vrai nom Ghislaine Roussel, ancienne "mademoiselle Age tendre" 1972 a multiplié les rôles tant au cinéma qu'en télévision. Sélectionnée au milieu d'une centaine de postulantes pour le rôle d'Augustine Pagnol, elle a poursuivi une carrière tant au cinéma Les rois mages, A l'intérieur qu'à la télévision Elle jouait par exemple la Reine dans la série Nicolas Le Floch. En 2015, elle a repris son rôle de Jane, la maman du personnage de Simon Astier dans la série Hero Corp. En 2016, c'est au cinéma que l'on a pu la retrouver au côté d'André Dussolier dans la comédie Adopte un veuf. Elle confiait en 2014 à la semaine du Roussillon, une région dont est originaire sa famille "Je serai comédienne jusqu'à la fin." Julien CiamacaMarcel PagnolAprès les souvenirs de Marcel Pagnol réalisés par Yves Robert, le jeune homme a complètement changé de voie. Diplômé d'une école d'ingénieur, il travaille aujourd'hui pour DelamarePaul PagnolIl a joué le même rôle, le frère cadet de Marcel Pagnol, dans les souvenirs de Pagnol réalisés par Yves Robert La Gloire de mon père et Le Château de ma mère. On le retrouvera une ultime fois au cinéma en 1993, à 11 ans, dans le film de Bertrand Blier Un, deux, trois soleil. Il a quitté le milieu du cinéma et travaille désormais dans une entreprise de plomberie située à Saint-Paul-Trois-Château Drôme.Joris MolinasLili des BellonsIl a joué dans les films adaptés des souvenirs de Marcel Pagnol La Gloire... et Le château... avant de quitter le milieu du cinéma sans laisser de trace. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités
Unmatin alors que Marcel s'approche d'un oiseau pris au piège, il fait la connaissance de "Lili, des Bellons", le fils de François, le paysan qui les a aidé à transporter leurs meubles au début des vacances. " Hé ! l'ami !" Je vis un garçon de mon âge qui me regardait sévèrement. "Il ne faut pas toucher les pièges des autres, dit-il
SOUVENIRSD'ENFANCE : LA GLOIRE DE MON PERE, Scotto Serge Lili des Bellons doit travailler aux champs et les journées passées à courir dans la garrigue
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Certes, c'est un peu lisse, un peu propre, cela manque de réalisme. Mais, finalement, peu importe et ... peut-être est-ce mieux ainsi, car ce film parle d'enfance et c'est avant tout un souvenir heureux et idéalisé, qui fait écho à notre imaginaire comme la chanson de Charles Trenet, "Douce France ...". Bref, un film qui fait sourire et qui est très apaisant. En adaptant le roman éponyme de Marcel Pagnol au cinéma, Yves Robert nous propose un film attachant. Les interprètes sont pour la plupart inconnus du grand écran, d’ailleurs aucun des trois enfants présents ne poursuivra une carrière d’acteur. Toutefois, ils offrent une partition sans faute, accordée avec l’accent de Provence. Pour nous guider dans l’histoire, la voix-off de Jean-Pierre Darras apporte les explications nécessaires avec une pointe d’humour pagnolesque. Au-delà de ses quatre nominations aux César, La gloire de mon père » a été le meilleur film français au box-office de 1990. Vu le 14/04/ Gloire de mon Père, c’est un film qui compte dans l'histoire du cinéma français comme d'ailleurs son frère jumeau "Le Château de ma Mère". Fils d'un instituteur marseillais, Marcel Pagnol passe ses premières années dans le monde de l'école où il se montre naturellement bon élève. Jeune adolescent, durant les grandes vacances de l'été 1904, il découvre les garrigues environnant Marseille et le Garlaban, auxquels il restera attaché toute sa vie. La vieille bastide louée par la famille devient le centre d'une sorte de paradis peuplé de personnages pittoresques dont Lili des Bellons, un jeune paysan qui deviendra son ami et l'initiera aux mystères des collines. Son père et son oncle s'adonnent à la chasse et c'est un exploit de chasseur, un doublé de bartavelles, qui deviendra la gloire de son père. Le film est très proche du duo de films "Jean de Florette - Manon des Sources", on y retrouve l'esprit du sud, des garrigues, le soleil, les cigales et l'accent marseillais, bref du Pagnol dans toute sa contrairement aux 2 films de 1986, celui-là est beaucoup plus tendre et beaucoup plus naïf. Pas un personnage ici pour faire un coup tordu comme le Papet ou Ugolin mais la joie et la naïveté d'un Marcel qui découvre l'amour des collines. Curieux que l'acteur qui joue Marcel Julien Ciamaca n'ait pas poursuivi sa carrière après ce duo à succès, il avait quand même un vrai talent qui restera noter également la présence puissante du duo Joseph-Augustine Philippe Caubert et Nathalie Roussel. J'ai d'ailleurs eu un vrai coup de cœur pour la beauté naturelle de cette dernière, 34 ans à l'époque du film mais qui sans être une pin-up dégage un charisme et un charme qui ne laisse pas indifférent. Un autre coup de cœur pour le jeune frère de Marcel, Paul, joué par Victorien Delamare. Lui a aussi a eu une carrière très courte mais ce jeune garçon m'a vraiment enthousiasmé par ces répliques et ces tirades très à propos. 7 ans à l'époque mais une verve peu Gloire de mon Père est un film qui nous parle du bonheur simple, de la famille, de l'opposition tout en respect entre laïcité et religion oncle Jules, de la nature, il nous rappelle aussi un temps où télévision, internet, et consoles de jeux ne venaient pas forcément polluer notre vie commune et où les gens n'étaient pas moins heureux et sans doute plus... Très fidèle au livre de Pagnol. Bons acteurs, belle reconstitution, beaux paysages. Tout y est, nostalgie incluse. Les souvenirs d'enfance en Provence! L'univers ensoleillè de Marcel Pagnol, filmè par Yves Robert. "La gloire de mon père" est un film nostalgique! L'ambiance chaleureuse de la garrigue, les cigales, les lapins, les bartavelles et la musique de Vladimir Cosma! Le rèalisateur de "La guerre des boutons" sait faire monter la douceur d'un souvenir en tirant le meilleur parti de son dècor naturel et des visages de Philippe Caubère et Nathalie Roussel! Ce sont les 400 coups, la recherche du temps perdu et les expèriences passèes qui passionnent Yves Robert! Ne surpasse pas cependant le très èmouvant "Le château de ma mère", sorti en salle en 1990 à quelques mois d'intervalle du premier volet! Dèjà un classique... C'est beau, simple. On y voit les couleurs de la Provence le bleu, le jaune orangé, le vert, ... on y entend les chants le vent, les cours d'eau, et LES CYGALES...Les joies du quotidien, des plaisirs simples... ce film est beau, simple mais beau. Aaaaah les romans de Marcel Pagnol ! Lui savait conter sa Provence natale ! Sa prose permettait au lecteur de presque sentir les senteurs des champs de lavande, d’humer les bonnes odeurs des plantes aromatiques, d’être bercé par l’accent du sud… et d’entendre le chant des cigales. Ben tiens, ça tombe bien, c’est justement sous le chant des cigales que s’ouvre le générique de "La gloire de mon père", adaptation cinématographique du roman éponyme de l’enfant d’Aubagne. Ce film est plaisant dans son ensemble, mais ce n’est selon moi la meilleure adaptation qui ait été faite. Pourtant, c’est la première fois que le 7ème art s’attaque au premier volet des Souvenirs d’enfance », déclinés non pas en trois mais quatre volumes. La première surprise réside en la personne venue occuper le fauteuil du réalisateur Yves Robert. Lui qui s’était surtout illustré dans la comédie, le voir ici à la baguette était pour ainsi dire impossible à prévoir. D’autant que le challenge était de taille à relever, surtout après le passage quatre ans plus tôt de Claude Berri avec son diptyque "Jean de Florette" et "Manon des sources", autres adaptations des romans de Pagnol. Le style est différent. Forcément, les Souvenirs d’enfance » est sans doute l’œuvre la plus personnelle de l’écrivain, puisque ces écrits ne sont ni plus ni moins qu’une œuvre autobiographique. En cela, on retrouve dans le film cette marque personnelle grâce à la narration en voix off du jeune Marcel. Yves Robert a essayé de retranscrire à l’écran tout ce qui a pu fasciner le jeune Marcel, jusqu’à l’en faire tomber amoureux la garrigue constituée par les grands espaces arides et escarpés, le chant des cigales, les oiseaux… Il s’est également efforcé de retranscrire au mieux la nostalgie d’une époque révolue, l’admiration que le futur auteur avait envers son père, avec toute l’émotion qui allait de pair. Malheureusement, l’émotion ne parvient pas à sortir de l’écran pour submerger le spectateur, et ce en dépit du respect quasi chirurgical de l’œuvre littéraire. Les différents plans effectués sur la nature ont beau avoir été réussis, il manque ce petit quelque chose d’indéfinissable qui aurait pu donner au film toute la puissance émotionnelle des écrits. Autrement dit, Yves Robert a échoué là où Claude Berri a réussi. Nous avons pourtant des personnages hauts en couleur et criants de vérité je pense au brocanteur Jean Rougerie, au facteur Michel Modo, et à François Pierre Maguelon. D’ailleurs, vous demanderez à ce dernier comment voit un aveugle qui met des lunettes de soleil trop drôle ! Ah ces expressions imagées marseillaises. Personnellement, j’adore ! J’en suis friand et je trouve même qu’il n’y en a pas assez. Pour une partie du casting, mon avis est que c’est un peu surjoué à commencer par Philippe Caubère dans la peau du père de Marcel. De même que Didier Pain dans le rôle de l’oncle Jules. Encore que je l’ai trouvé nettement plus à son avantage dès que tout ce petit monde s’est retrouvé réuni en vacances pour un séjour inoubliable surtout pour Marcel. Mais au moins, l’oncle Jules et Joseph Pagnol nous ont offert auparavant une confrontation savoureuse qui nous promettait quelques menues étincelles… restées en l’état. A côté de ça, d’autres personnages auraient pu être plus emblématiques qu’ils ne le sont cette fois je pense à Edmond des papillons dit Mond des Parpaillouns » interprété par Paul Crauchet, ou à Lili des Bellons joué par Joris Molinas. Comme pour preuve de ce manque de conviction, on ne retrouvera ce dernier que dans la suite donnée, à savoir le "Le château de ma mère". "La gloire de mon père" n’en demeure pas moins une œuvre assez agréable à suivre, mais on est loin de l’excellence des adaptations antérieures, qu’elles datent de quatre ans plus tôt, ou bien plus anciennes encore, notamment avec la bande à Raimu ou Fernandel. A noter aussi quelques petites erreurs, en particulier concernant les cigales celles-ci ne sont pas si faciles à attraper il faut déjà les voir, ce qui n'est déjà pas si évident tant elles se confondent avec le décor, et je doute qu’elles se mettent à chanter quand elles sont enfermées dans une poche. Il faudrait le vérifier dans le roman. Mais reconnaissons tout de même qu’Yves Robert s’en est tiré honorablement. Une chose est sûre, cela m’a donné envie de redécouvrir d'une part l’œuvre littéraire originelle, et le diptyque de Claude Berri d’autre part. Acting,Décor,Ambiance tout y est ces une pépite du cinéma voir absolument,cette œuvre est fide au livre de Marcel Pagnol. Que ce soit "La Gloire de mon père" ou "Le château de ma mère", chef d’œuvre absolu pour le diptyque. Déjà, les personnages sont super bien choisis. Chacun dans son rôle est parfait du jeune Marcel, à Joseph, père instituteur laïque, Augustine lumineuse, telle que Marcel pouvait la décrire dans ses livres, l'oncle Jules qui roule les "R" avec délectation, truculent à souhait, Lili le frère de cœur de Marcel, Isabelle, premier amour de Marcel. Les paysages de la garrigue sont merveilleux, ces deux films respirent le le bonheur absolu, le bruit des cigales. Yves Robert a réussi son pari qui est de garder l'esprit des deux livres, et une des choses les plus difficiles, de parler du bonheur de l'enfance. Un diptyque sans drame; un drame qui est juste effleuré à la fin du Château de ma mère, mais juste suggéré pas besoin d'en faire des caisses avec la mort de cette dernière, la mort de Paul et celle de Lili. Cette parenthèse de la fin montre cette idée que le bonheur est une chose fragile. Deux films à voir et revoir sans modération. Très peu de films adaptés sont des réussites par rapport aux livres d'origine. Et bien ces deux là sont plus qu'à la hauteur. Une petite madelaine de Proust ! J’ai vu ce film plusieurs fois étant gamin et il m’a fait rêver ! Je l’ai revu hier et c’était un vrai régal de me retrouver plongé dans les superbes paysages de garrigue d’Aubagne, en compagnie de Lili, ce garçon qui va faire découvrir à Marcel les joies de la vie à la campagne. Et puis c’est tellement bien écrit, et cette captivante voix narrative, ces accents chantants, ces attitudes théâtrales, cette époque où tout était plus simple, plus lent, plus authentique. Un petit bonheur simple, à déguster régulièrement. Proche de Jean de florette et de Marius, une bonne adaptation du roman parue en 1990. Film sympathique et qui nous immerge dans cette vieille et belle époque. On filme parfaitement la Provence. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5 Yves Robert a réalisé deux films sur la jeunesse de Marcel Pagnol, tout deux sortis en 1990 et adaptés de romans de Pagnol lui-même. Premier du diptyque, "La Gloire de Mon Père", évoquant les premières années d'école du jeune Marcel, la naissance de ses frères & sœurs, et ses inoubliables vacances au fin fond de la campagne provençal. Outre le cadre idyllique fort bien reconstitué au passage ! et les accents chantant des personnages, le film se révèle fort attachant, grâce à des personnages haut en couleur et bonhommes. En particulier, le jeune Marcel touchant Julien Ciamaca, curieux, avide de lecture et d'aventure, et son père amusant Philippe Caubère, enseignant citadin, cultivé, politisé, anti-religieux, et moraliste à très bon fond, qui sa se retrouver confronté à ses propres valeurs en pleine campagne. Ceci donnera lieu à des situations décrites avec humour, nostalgie et tendresse, mais aussi une certaine intelligence qui est devenue trop rare dans le cinéma populaire. Très bon film sur l'enfance de Marcel Pagnol la bastide neuve la garrigue le tahoume tête rouge film très émouvant a voir pour les petits et les grands. Marcel Pagnol raconte dans 3 romans dont le premier opus est celui-ci. Tout est une incitation à un périple dans le Sud soleil, garrigue, accent chantant,… On pénètre en douceur dans le monde de Pagnol, fidèle à son roman. Insonciance de l’enfance, quête d’aventures, amitié ; le récit est simple ; très narratif dans sa première moitié pour mieux intégrer des personnages hauts en couleurs dans la seconde moitié. Loin d’être une œuvre majeure du cinéma français, c’est rafraichissant et superficiel. Mais c’est surtout un beau film d’été à voir en famille avec des enfants de l’âge de Marcel ; la magie fonctionne à plein. Mon fils de 10 ans était déçu que ce soit déjà terminé ; Le château de ma mère » est donc programmé très Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Ily incarne le petit Marcel ainsi que toute une galerie de personnages pittoresques croisés au fil des pages, Augustine, sa mère, son petit frère Paul, l'oncle Jules, la tante Rose, Lili des Bellons, Bouzigue, et bien d'autres encore. Ici, la magie du théâtre permet aux spectateurs de tous âges d'entrer dans l'univers enchanteur de ce grand texte. Marcel Pagnol retrouve son grand ami Lili des Bellons dans "Le Château de ma mère", la suite de "La Gloire de mon père" toujours réalisé par Yves Robert. Mais connaissez-vous la véritable histoire de Lili ?Le Château de ma mère retour dans les collines Après avoir goûté à la liberté des collines de Provence dans La Gloire de mon père, le jeune Marcel Pagnol est de retour à la Bastide Neuve dans Le Château de ma mère. Toujours mis en scène par Yves Robert, le film est adapté du deuxième volet des souvenirs d'enfance de Pagnol, et empiète également sur le troisième Le temps des secrets. En effet, au gré de ses promenades dans les collines, il fait la connaissance d'Isabelle, son premier amour. Une rencontre que son ami Lili des Bellons ne voit pas d'un très bon oeil. Lili des Bellons et Marcel Pagnol - La Gloire de mon père © Gaumont Le film se termine par un épilogue douloureux, dans lequel on apprend que son grand ami Lili est mort au combat, pendant la Première Guerre mondiale. Sur des touffes de plantes froides dont il ne savait pas les noms. La vraie histoire de Lili des Bellons Lili des Bellons s'appelait en réalité David Magnan ou plus exactement Baptiste Joseph David Magnan. Son surnom lui venait du fait que, petit, il ne parvenait pas à prononcer correctement son prénom et les gens comprenaient "Lili". Il vivait avec ses parents au nord du village de la Treille, au lieu-dit des Bellons, non loin de la Bastide Neuve des Pagnol. Rare photo de David Magnan dit Lili des Bellons enfant C'est d'ailleurs son père, François Magnan que l'on voit dans les films d'Yves Robert, interprété par Pierre Maguelon, qui aida les parents de Marcel à aménager sur leur lieu de vacances, avec sa charrette. Dans ses souvenirs, Pagnol décrit Lili des Bellons comme ceci C'était un petit paysan. Il était brun, avec un fin visage provençal, des yeux noirs, et de longs cils de fille. Il portait, sous un vieux gilet de laine grise, une chemise brune à manches longues qu'il avait roulées jusqu'au-dessus des coudes, une culotte courte, et des espadrilles de corde comme les miennes, mais il n'avait pas de chaussettes. Né le 18 avril 1898 à Allauch, il fut l'ami des vacances de Marcel, celui qui lui appris les secrets des collines. Il avait trois ans de moins que ce dernier et le même âge que Paul Pagnol. Pendant la Première guerre mondiale, David Magnan rejoint le 43e Régiment d'Infanterie Coloniale. Il meurt au combat le 23 juillet 1918 près du village de Vrigny en Champagne-Ardenne, pendant l'opération "Friedensturm". Il était âgé de vingt ans. Lili des Bellons repose au cimetière de la Treille, non loin de la tombe de Marcel Pagnol. Voici sa pierre tombale Pierre tombale de David Magnan dit Lili des Bellons On retrouvera Lili dans Le Temps des secrets de Christophe Barratier le 23 mars 2022.- ሊтреν всоյ хεсяπаж
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