Cequi porte le numéro cent dans une série. Il habite au cent de l’avenue. Orthographe Peut s'écrire cent-deux, deux-cents, deux-cent-trente-et-un, l’emploi du trait d’union étant étendu à tous les numéraux qui forment un nombre complexe inférieur ou supérieur à cent, selon les rectifications orthographiques de 1990. [règle §1] Soudure des mots composés •
La modification de cette page a été protégée par le Staff. Pour plus d'information ou pour demander un déblocage, rendez-vous sur ce lien. Note Ener est nommé Enel dans la version japonaise. La popularisation d'ENER étant cependant importante, les articles du wikia comportent les deux écritures. “ Je suis Dieu, ne l'oublie pas. ” — Ener s'adressant à Luffy Enel[4][3] エネル, Eneru, surnommé Dieu Enel 神(ゴッド)・エネル, Goddo Eneru est l'antagoniste principal de l'Arc Skypiea. Il est l'ancien "Dieu" de Skypiéa. Après sa défaite face à Luffy, il est parti sur la Lune lors des Mini-Aventures d'Ener où il rencontre les Spaceys. Apparence Enel est un homme grand et musclé, mesurant 2m66.[3] Ses cheveux sont couverts par un simple foulard blanc, qui cache des cheveux mi-court blonds. Il a de longs lobes d'oreilles avec des boucles d'oreilles. Il porte un pantalon bouffant orange avec un motif noir sur les jambes, et autour de sa taille un voile bleu clair tenu par une ceinture plus foncée. Il porte des bracelets en or sur ses bras et ses jambes. Ener a aussi des boucles d'oreilles en or et 2 anneaux en or sur ses 2 gros orteils. Il est toujours vu pieds nus. Il tient constamment à la main son bâton en or, Nonosama Bo. Son nez porte des rayure horizontales comme celui de Robin. Sur son dos, il a mis 4 tambours les signes noirs sont identiques à une partie du symbole sur la tenue de Sentomaru reliés ensemble sur un anneau à la place des ailes standards des Bilcans et des Skypiéns. Il dit se les être arraché. Ses tambours libèrent chacun 50 Millions de volts lorsqu'ils sont touchés. Quand les 4 sont touchés, Ener prend sa forme la plus puissante et brille d'une lueur bleue. En utilisant ses pouvoirs du Fruit du Démon, Ener peut se transformer en une représentation du dieu, Raijin. Galerie Ener en couleur dans le manga Visage d'Ener Ener sans bandana Ener dans l'opening We Are Remix TVXQ Figuarts Zero Ener Ener Gotton, le robot d'Ener dans Chopperman. Figurine d'Ener One Piece Real Collection One Piece Figure Collection 1 One Piece Figure Collection 2 One Piece Collection - Route to the 10th Anniversary Piece Collection Pirate King One Piece Full Color R Gashapon One Piece Gashapon Grand Battle 5 One Piece Gashapon Grand Battle 6 Concept Art d'Ener dans l'anime Croquis Enel 2 Croquis Enel 1 Personnalité “ Les gens n'ont pas peur de Dieu, mais de la peur qu'il leur inspire. ” — Ener Enel étant en général décontracté et confiant Même si le titre de Dieu ne reflète que le statut de chef de l'île, Ener se prend vraiment pour une divinité. Ceci est en grande partie dû à sa formidable puissance. En effet, depuis qu'il a mangé le Fruit du Démon Goro Goro no Mi, il peut produire de la foudre et se transformer à volonté en foudre. Il est également intangible et intouchable, comme tout les mangeurs de fruits du démon de type Logia. Il n'a aucun ressentiment à l'idée de tuer des centaines de personnes et prend cela comme un acte de bienveillance de la part de Dieu. Il ira même jusqu'à vouloir faire "redescendre" Skypiéa sur la mer bleue car, pour lui, le ciel n'était pas digne des anges. Autre fait de son arrogance sans limite, il estime que la Lune est l'endroit rêvé pour un Dieu. Il l'appelle Fairy Vearth. Son fruit, l'un des rares considéré comme invincible, additionné au fait qu'il est un Logia il dira en voyant Luffy la première fois "Un vulgaire Paramecia..." le rend très puissant et à cause de cela, il est amené à se croire invincible. Il est d'ailleurs le premier personnage à expliquer les différences Logia/Zoan/Paramecia à Luffy. Il prend les autres de haut et rit souvent d'une manière arrogante. Enel choqué par Luffy Il a l'habitude de voir chacun de ses adversaire déstabilisés face à son pouvoir, mais lorsque Luffy se révéla à être immunisé contre la foudre, il sera profondément choqué. Malgré le fait qu'il ait trouvé une parade au fait que Luffy ne ressente pas la foudre, il ne semblait pas enthousiaste à l'idée d'affronter le pirate à plusieurs reprises. Dans son palais, il avait pour habitude de resté allongé en mangeant des fruits, tout en surveillant ses citoyens. Cette attitude nonchalante se retrouve dans les combats où il s'amuse à torturer ses adversaires en les obligeant à attaquer les premiers et ainsi réduire leurs espoirs à néant. Néanmoins, il donne également de la reconnaissance notamment lorsqu'il a été impressionné par Robin et sa connaissance de la cité d'or ou encore quand Luffy est monté sur son arche. Rire unique Beaucoup des personnages de One Piece ont un rire unique. Ener en possède un également "Yahahahaha...". Relations Garde Sacrée Ener n'a aucun problème à tuer des gens, que ce soit ses disciples ou non. En outre, tout en prédisant les victimes du jeu de la survie grâce à son Mantra, ou plus communément le Haki de l'observation, il n'avait aucune pitié pour ses hommes déchus. Les prélats sont les quatre hommes qui servent directement Ener. Ils sont ses meilleurs disciples et la plus grande menace pour Luffy et son équipage pendant l'Arc Skypiea. Ener semblait posséder peu d'affection pour eux, alors qu'eux semblent vraiment respecter leur chef. Néanmoins, Ener a été surpris quand il a appris qu'ils avaient été vaincus, mais a affirmé que leur présence à ses côtés polluerait son nouvel empire sur Fairy Vearth. Outre les prélats, Ener dispose de 50 guerriers appelés la Garde sacrée sous son commandement. Yama est le leader, tandis que Hotori et Kotori sont les lieutenants du groupe. Même s'ils semblent prendre les croyances de leur chef au sérieux, Ener ne semble pas avoir les mêmes sentiments. Les Bérets Blancs sont similaires à la police de la Mer Bleue. Ils appliquent les règles de Skypiea sous la domination d'Ener, bien qu'en vérité, ils le méprisent mais ils sont obligés d'appliquer les ordres d'Ener et font tout pour le bien des citoyens de Skypiea. Après avoir appris son intention de décimer toute la population de Skypiea, les Bérets blancs se sont retournés contre lui ou du moins ont aidé la population à s'enfuir. Spaceys Ce sont les premières créatures que rencontre Ener à son arrivé sur la lune. ces petits bonshommes ont été récemment attaqués par les pirates de l'espace, la plupart d'entre eux sont morts et n'ont eu d'autres choix que de donner leur vie à Ener. Il en profitera pour former une nouvelle armée uniquement constitué de spaceys. Ennemis Shandias Les Shandias détestent Ener. Wiper a une haine profonde envers lui, il était même prêt à sacrifier sa propre vie pour le vaincre. Cependant, il ne pu le faire. Après la défaite de Satori, le guerrier vit un opportunité sans précédent et décida d'attaquer plus fermement même si pour cela, il fallait accepter de voir ses camarades mourir sous leurs yeux. Apprenant que le dieu avait des plans pour détruire tout Skypiéa, Wiper était plus que jamais décidé a le vaincre. Cependant, malgré tous leurs efforts, les pouvoirs d'Ener étaient de trop pour eux. Même avec l'aide du Granit Marin et d'un Reject-Dial, Ener a simplement redémarrer son cœur à l'aide de son fruit du démon. Peu importe la situation, le Shandia a refusé de faire machine arrière. En dépit d'être choqué par les attaques d'Ener, Wiper se releva pour ses ancêtres, pour son peuple, sa patrie, et pour Norland. Quand le Giant Jack est tombé, Wiper se tenait fièrement debout au milieu des ruines de ses ancêtres et a encouragé Luffy. Gan Forr Ener a l'habitude de se moquer de l'Ancien Dieu de Skypiea. Il l'a montré en ce qui concerne son visage ou son âge. Il l'a même laissé paralysé avec un de ses orages chocs. Gan Forr possède également une profonde colère pour Ener et il le considère comme un être brutal et inhumain. Dans le passé, Ener a attaqué avec son armée et battu à plat de couture Gan Forr et les Shandia en même temps. Ener a ensuite pris la place de Dieu de Skypiea. Gan Forr est redevenu le Dieu après la défaite d'Ener. Pirates du Chapeau de Paille Sur Skypiea, les Chapeaux de Paille deviennent les cibles d'Ener et ses prêtres pour avoir enfreint leurs lois. Pendant le jeu de survie, il a fait face à Sanji, Usopp, Robin et Zoro. Il a fini par tous les vaincre, en leur infligeant de sérieux dégâts avec ses pouvoirs. Cependant, leur capitaine Monkey D. Luffy, s'est révélé être tout à fait à l'abri de ces pouvoirs électriques grâce à son corps en caoutchouc, ce qui fait de lui l'opposé naturel de la foudre. Enfin, Luffy a vaincu Ener et mis un terme à ses plans diaboliques, restaurant ainsi la paix. Bérets Blancs Les Bérets Blancs étaient à l'origine tous membres des Enforcers au service de Gan Forr. Il prêtèrent allégeance à Ener lorsqu'il prit la place de Gan Forr. Ils croyaient qu'en restant sur l'île pour tenter de protéger quiconque de la colère de Dieu, ils pourraient protéger les citoyens. Mais c'était sans compter sur les plans d'Ener. Quand ils ont découvert qu'Ener prévoyait de détruire tout Skypiea, ils se retournèrent contre lui et aidèrent les gens d'Angel Island à se mettre en sécurité. McKinley, leur chef, semblait être très dévoué à Ener, jusqu'à ce qu'il apprenne que ce dernier a prévu de détruire Skypiea avec ses pouvoirs. Le chef des bérets blancs a ensuite dit qu'il ferait tout pour assurer la sécurité des citoyens de l'île de Skypiea, montrant son amour pour sa patrie. McKinley, avec le reste des Bérets Blancs, décide d'aider Conis à évacuer la population de Skypiea. Conis Conis avait peur des pouvoirs d'Ener. Même s'il ne la considérait pas comme une menace, il a décidé de la punir avec un El Thor, car elle a révélé à Luffy que ses amis et ce dernier fonçaient droit dans un piège en se rendant à Upper Yard. Conis a échappé de peu à l'attaque grâce à l'intervention de Gan Forr. Un des hommes qui faisait partie des Enforcers au service d'Ener a révélé la vérité sur le plan d'Ener qui visait à détruire Skypiea. Suite à quoi, Ener a décidé de les attaquer avec un El Thor. Conis n'a pas été prise dans l'attaque grâce à son père, qui réussit à l'en écarter. Ce dernier n'a toutefois pas pu s'échapper à temps. En dépit de ce qui s'était passé, Conis a décidé de mettre en garde son peuple à Angel Island en révélant le plan d'Ener. Ener créa une gigantesque sphère noire très concentrée en décharges électriques dans le but de détruire définitivement Skypiea. Conis a commencé à prier pour un miracle avec le reste des habitants de Skypiea. Finalement, Luffy réussit à vaincre Ener en lui assénant un coup dont la puissance est décuplée par la boule en or coincée dans sa main. La cloche d'or a été touchée par l'impact et le son qui en émana fût entendu par les habitants de Skypiea ainsi que ceux de la mer bleue. Selon la prophétie, le jour où ce son retentirait, cela signifierait que la guerre serait finie. Le son produit fût d'une telle puissance qu'il fût entendu par Montblanc Cricket, qui se trouva sur Jaya. Pirates de l'Espace Sur la Lune, Ener trouve un mini-soldat à l'intérieur d'un cratère et l'attaque avec ses pouvoirs, ce qui a pour effet de le réveiller. C'est alors qu'un pirate de l'espace ayant l'apparence d'un renard géant embroche le mini-soldat et essaye d'embrocher Ener à son tour, qui est protégé par ses pouvoirs de Logia lui permettant de devenir intangible. Il attaque ensuite le pirate de l'espace et le défait sans difficulté. Juste après, une grande explosion retentit et Ener se rend compte que son vaisseau a été détruit, ce qui le plonge dans une colère noire. Il s'aperçoit que les pirates de l'espace ont une réunion d'affaires là où leur base et leur vaisseau se trouvent. Ener apparaît instantanément sur le dessus de leur navire et les pirates de l'espace réagissent rapidement en essayant de l'attaquer. Ener lance une attaque sur tous les pirates de l'espace pour leur faire payer la destruction de son arche. Les pirates de l'espace sont incapables de l'arrêter et sont facilement vaincus. Aptitudes et Compétences “ Ce n'est pas dieu que les gens craignent... Mais la terreur qu'il incarne. ” — Ener à Wiper Etant le "Dieu" de Skypiéa, Ener avait le plein contrôle de l'île grâce notamment à son Mantra. Il a pris ce titre trop au sérieux d'ailleurs. Ener est extrêmement puissant, et a donné l'impression d'être plus faible que beaucoup d'autres en raison du fait que Luffy était immunisé naturellement au pouvoirs du Goro Goro no Mi. La force d'Ener a été démontré quand il a vaincu facilement Robin, Gan Forr, Wiper et Zoro très rapidement sans que ses adversaires n'aient eu le temps de faire quoi se soit. Ener a une grande connaissance et conscience des objets que de nombreux habitants n'ont pas, notamment sur la valeur de l'or et ses propriétés. Cette prise de conscience lui permet de garder ces éléments pour lui. Toutefois, avant l'arrivée de Luffy, il n'était pas au courant de l'existence du caoutchouc. Il est aussi très perspicace et a une capacité d'adaptation étonnante. Malgré sa confiance, la prédiction d'Ener que le jeu de survie finirait avec lui-même et quatre autres s'est avérée être fausse, puisqu'il n'a pas ressenti Luffy dans le ventre de Nola, mais il a éliminé l'ancien dieu, Gan Forr pensant rétablir sa prédiction. En raison de sa vaste étude des ruines de Shandora, Ener a également une compréhension profonde de l'histoire notamment des 400 ans de guerres précédant son arrivée. Il est également manipulateur et très intelligent, prenant Robin a son propre piège et la perçant a jour alors qu'elle est la membre la plus intelligente des Pirates du Chapeau de Paille. Ener possède aussi une force physique incroyable et est un génie du combat au corps a corps. Bien que ne pratiquant aucun art martial reconnu, il est très agile et a une endurance supérieure à la moyenne comme en témoigne sa résistance au coups multiples de Luffy. Mantra Fluide Le Haki de l'Observation est appelé Mantra sur Skypiea. Celui d'Ener est plus évolué car grâce à l'électricité statique, il peut entendre les paroles de tous les habitants de l'île céleste, et les châtier s'ils ont des propos "blasphématoires". Il peut utiliser ce Haki pour prévoir les mouvements de l'adversaire, ce qui rend l'attaque beaucoup plus facile à contrer. Cette prévision apparaît à l'utilisateur comme une image ou une brève prémonition » de ce que l'adversaire va faire, permettant ainsi au possesseur du Haki de l'observation d'esquiver facilement. Il ne peut pas prédire les attaques par nature aléatoires, comme lorsque Luffy a réussi à contourner le Mantra d'Ener en faisant rebondir ses poings sur un mur. Ener n'a pas réussi à discerner la présence de Luffy à l'intérieur du serpent géant Nola. Expertise Mécanique Ener semble posséder de vaste connaissance dans la mécanique et la technologie, ainsi, il a personnellement conçu son arche volante, Maxim, et connaît tout ses rouages intérieurs et extérieurs. Si des dommages sont causés à l'intérieur, il est en mesure de le réparer. Il a même été en mesure de concevoir un système de production de nuages d'éclairs, un système d'alimentation électrique, et une propulsion de secours au cas où les moteurs principaux seraient endommagés. En outre, il possède une connaissance approfondie sur la multitude de Dials dispersés à travers les îles céleste. Arme Pour plus d'informations Nonosama Bo Ener manie un grand bâton en or, nommé Nonosama Bo, qu'il ne quitte jamais. Ce dernier peut être déformé, et même être transformé en n'importe quoi ex trident, une épée.... Fruit du Démon Le Goro Goro no Mi Pour plus d'informations Goro Goro no Mi Ener a mangé un Fruit du Démon de type Logia, le Goro Goro no Mi, qui est l'un des fruits les plus puissants selon Robin, puisqu'il rendrait quasi-invincible son possesseur. Ce fruit lui permet de transformer son corps en foudre, ce qui permet d'éviter d'être blessé suite à des attaques physiques. Il lui permet de se déplacer à la vitesse de la foudre . Il peut également se déplacer dans les courants électriques, changer la forme des métaux en utilisant la chaleur produite par l'électricité, ou électrocuter les gens. A noter qu'il peut utiliser son pouvoir pour se réanimer comme le fait un défibrillateur, ce qu'il fera quand Wiper neutralisera ses pouvoirs avec ses chaussures faites en granit marin avant de l'attaquer avec un Reject Dial. Ce pouvoir possède aussi une puissance démentielle et destructrice. Il allie son pouvoir à son Mantra Haki / Fluide de l'observation pour anticiper les coups de son adversaire et les esquiver. Il utilise aussi son pouvoir pour entendre toutes les conversations sur l'île et châtier les personnes le dénigrant. Il s'est fait battre par Luffy car ce dernier a mangé un Fruit du Démon opposé au sien le caoutchouc est un très mauvais conducteur. Le fait de se prendre 100 millions de volts à bout portant ne fera pas broncher Luffy et énervera le Dieu, puisqu'il demandera à Ener s'il avait fini de le chatouiller. Histoire Passé L'arrivée d'Ener et ses guerriers Ener est né et a grandi sur Bilca, mais 8 ans avant le scénario actuel, après avoir trouvé et mangé le Goro Goro no Mi, il a détruit son pays et est venu à Skypiéa avec ses disciples. Bilca est dit être la patrie de beaucoup de puissants guerriers, ils étaient cependant, impuissant devant Ener. Bien qu'étant son île natale il n'a pas hésité a la détruire. Par la suite, Ener et ses guerriers sont arrivés a Skypiéa et ont renversé Gan Forr facilement. A noter que Urouge est originaire de Bilca. Ener et ses guerriers dominèrent Skypiea pendant six ans. Alors que "Dieu" ne désigne que le chef de l'île, lui, l'a réellement pris au sérieux. Bien qu'ayant un aspect paradisiaque, Skypiéa était en proie à la tourmente. Si quelqu'un osait défier Ener tant par les actes que par la parole, il les tuait d'un "El Thor". Parallèlement à cela, il a forcé les autorités qui ont travaillé sous Gan Forr à lui construire une gigantesque arche appelé Arche Maxime. Ener, après avoir étudié l'histoire des 3 races du ciel a fait la découverte d'un monde pur, "Fairy Vearth" La Lune. C'est la raison pour laquelle il a construit l'Arche Maxime. Arc Skypiea Le Dieu de Skypiea Le bateau des chapeaux de paille a atteint le rivage de l'île d'ange, la partie principale de Skypiéa, où ils rencontrèrent une jeune fille nommée Conis et son père, Pagaya. Ils ont laissé l'équipage venir dans leur maison afin qu'ils puissent leur faire visiter l'île, mais Nami décide de rester sur la côte pour tester un Waver, un engin à Dial pouvant naviguer sans vent. Alors que Conis explique l'utilisation de dials, Nami se retrouve sur une île voisine avec une immense forêt. Lorsque Sanji souligne qu'elle a disparu, Conis et Pagaya expliquent que l'île voisine est connue étant la "Terre de Dieu". Upper Yard est une terre sacrée où Dieu seul et ses prêtres résident. Cela suscite immédiatement l'intérêt de Luffy, et il ordonne de se diriger là-bas pour "sauver Nami", en réalité seule l'aventure l’intéressait. Pendant ce temps, Nami fût témoin d'une exécution d'un homme par les prélats. Cependant, avant que les prêtres ne puissent en finir avec lui, Ener décide d'agir de sa propre volonté et le tue avec un "El Thor". Gedatsu informe ensuite les autres qu'un groupe de 7 individus étaient arrivés illégalement sur l'île. Nami comprit de suite qu'ils parlaient d'elle et de ses compagnons. Ener sur son trône Après l'insubordination des Pirates aux Bérets Blancs et la confiscation du Vogue Merry, Luffy, Sanji et Usopp se sont fait emmenés par Conis afin de prendre un bateau pour les sauver. Conis leur prête son bateau, le Corbeau, mais avant qu'ils ne quittent le port, Luffy note qu'elle tremblait depuis qu'ils avaient tenu tête aux Bérets Blancs. Conis révèle qu'elle a été celle qui a convoqué le Homars Super Express qui a emmené le Vogue Merry à Upper Yard pour y subir le Jugement Divin. En entendant cela, Ener attaqua avec "El Thor" mais Gan Forr la sauva de justesse. Il explique que depuis lors elle et son père seraient considérés comme des criminels. Il les emmena donc chez lui, hors de portée du Mantra d'Ener. Malgré cette démonstration de force, les 3 pirates n'ont pas flanché et décidèrent de récupérer leur bateau et leurs amis, coûte que coûte. Par la suite, Ener informe ses 4 prélats que les restrictions de territoire ne sont plus et qu'ils peuvent aller là ou bon leur semble. Il leur a aussi dit que le Maxim était prêt. Jeu de Survie d'Ener Kamakiri attaquant Ener La bataille finale, qu'il a appelé Jeu de survie, avait pour but de confronter tout les combattants dans le but de sélectionner les plus fort qui pourront par la même occasion, l'accompagner sur "Fairy Vearth". Au début de la lutte, Ener a prédit qu'il y aurait seulement cinq survivants y compris lui-même. Cependant, la prédiction d'Ener s'est avérée fausse, car il y avait un combattant non "senti" par Ener Monkey D. Luffy. Lors de ce "Jeu", Ener lança ses 50 guerriers de la Garde Sacrée, dirigés par Yama, pour combattre. Sur le Vogue Merry, Ener semble dire a son prédécesseur qu'il était sur le point de quitter l'île. Lorsque Sanji et Usopp l'attaquent, il utilise sa capacité du Fruit du Démon pour les électrocuter, les plongeant dans l'inconscience. Immédiatement après, les frères cadets de Satori, Hotori et Kotori arrivent pour se venger, mais sont vaincus par Nami et Gan Forr. Au cours de ses événements mineurs le nombre de guerriers encore en lice dans son jeu perfide ne faisait que baisser. Ener attaquant Kamakiri Ener, s'ennuyant, décida de participer à son jeu» et attaqua le guerrier Shandia, Kamakiri. A l'aide de son mantra il pu savoir ce que le guerrier pensait à ce moment précis et le déstabilisa. Kamakiri lui dit que son mantra ne pouvait rien lui cacher. Ener réfute en disant que c'était écrit sur son visage, et que normalement il ne devait pas participer à son jeu. Par le suite, Ener décida d'accorder 5 minutes a Kamakiri pour essayer de le tuer, et que pendant ce laps de temps, il ne bougera pas. Cependant, une fois les cinq minutes écoulées, il se battrait. Sur ce, Kamakiri commença à attaquer le Dieu. Kamakiri, toujours dans les 5 minutes de temps autorisées pour lutter contre Ener, réalise alors que personne ne peut vaincre la foudre. Kamakiri au dernier moment décida de fuir et d'avertir Wiper sur les capacités incroyables de leur ennemi, cependant, Ener lui indiquant que les 5 minutes sont écoulées contre-attaque. Ener bat alors Kamakiri en utilisant 1 000 000 de volts Vari. L'attaque se transmet à travers la Milky Road et tue 20 autres combattants présent sur cette route au moment de l'attaque, des guerriers Shandia et des soldats de la Garde Sacrée. Ener résume ensuite que, après deux heures de combat et avec 81 personnes qui ont débuté le combat, 56 ont été vaincues. Il en reste 13 de son armée, cinq de l'équipage de chapeau de paille et 7 guerriers Shandia soit un total de 25 personnes restantes. Il se demande alors qui l'accompagnera. Ener, toujours dans le jeu de survie, est déterminé à accomplir sa prédiction. Laki est vue parcourant la Milky Road en se demandant pourquoi chaque personnes près de cette route étaient brûlées comme si ils avaient été touchés par la foudre. Elle trouve Kamakiri qui lui dit à son tour de trouver Wiper et l'aviser qu'Ener n'est pas au sanctuaire de Dieu et que personne ne peut le battre. Kamakiri dit qu'Ener est l'électricité elle même et qu'il est invincible. Laki se dit alors que le Goro Goro no Mi, étant considéré comme invincible, signifie que Wiper ne pourra pas le battre. Wiper arrive alors au pied du Giant Jack et tente de monter, mais Ohm l'intercepte. Gan Forr semble dire qu'Ener n'est plus au sanctuaire divin. Le Shandia attaque alors l'ancien dieu, disant que pour lui, Ener et lui sont de la même nature. Laki atteignant bientôt le lieu ou se situe Wiper se fait soudainement arrêter par Ener. Paralysée par la peur, Wiper lui crie de partir. Elle se reprend, et tente d'attaquer Ener en lui tirant dessus, sans aucun effet notable. Wiper est alors témoin privilégié de l'attaque d'Ener sur l'une de ses meilleures combattantes et amie. Il jure alors de lui faire payer cet affront. Les 5 "Finalistes" refusant d'accompagner Ener Zoro, après avoir battu Ohm, rencontre Gan Forr et Wiper. Robin arrive peut de temps après des ruines en dessous. Ener reconnaît Robin comme étant une archéologue brillante et lui dit qu'elle a quelques années de retard pour la recherche de l'or que contenait cette cité. Robin lui demande s'il a également la cloche d'or, mais elle réalise alors qu'il ne l'a pas encore trouvé. Robin rejette l'idée comme quoi, si Ener ne l'a pas trouvé, alors elle n'est jamais arrivée dans le ciel. Ener "sent" alors 3 présences sur Upper Yard. Voyant qu'il s'agissait de Pagaya, Conis et Moyle, un soldat de l'ancienne garde de Gan Forr qu'il avait annihilé, il utilise le jugement divin. Ener utilise ensuite l'attaque Sango qui anéanti le palais divin et ses occupants. Gan Forr et Nami parviennent à échapper au serpent, laissant accidentellement derrière Luffy, Aisa, et Pierre. Par la suite Ener électrocute le python mettant fin au temps imparti du jeu de survie. Wiper a été stupéfait de voir qu'en une seule attaque Ener a réussi à battre le python que lui et Zoro réunis n'ont même pas réussi à blesser. Ener apparaît alors devant Wiper en lui disant que le jeu n'est pas terminé. Ener informe les survivants du jeu de survie, au nombre de 6, y compris lui même. Il leur offre la possibilité de se battre entre eux pour savoir qui l'accompagnera. Tous les quatre refusent le choix d'Ener mais pointent tous leurs armes sur lui. Ener, amusé, les traitent d'insolents. À ce stade, Ener explique pourquoi il veut détruire Skypiéa. Il dit que des personnes vivants dans le ciel est contre nature, et que en tant que Dieu c'est son travail de garder l'ordre naturel. Il dit ensuite à Gan Forr qu'il compte quitter cette île et partir pour "Fairy Vearth", un endroit ou une terre neutre s'étant à perte de vue, un monde où seul Dieu mérite d'y vivre. Gan Forr, irrité, dit à Ener que "Dieu" est seulement un titre donné au gouverneur de Skypiéa. Ensuite Ener donne la raison de la mort des anciens subordonnés de son prédécesseur. Le "Chevalier du Ciel" fou de rage attaqua Ener, mais ce dernier riposta en utilisant 20 000 000 de Volts Vari mettant hors course le vieil homme. Ener après avoir battu Gan Forr invite les cinq autres à se joindre à lui et se lancer vers "Fairy Vearth". Robin demande se qu'il se passerait si ils refusent auquel il répond qu'il a déjà décidé de détruire l'île et eux avec si ils ne viennent pas. Toutefois, Ener l'informe qu'il ne partira pas avant d'avoir retrouvé la cloche d'or, un objet à la mesure d'un "Dieu" comme lui. En suivant les déductions de Robin, Ener est en mesure de dire que le beffroi en or est situé au sommet du Giant Jack. Wiper frappant Ener avec un Reject-Dial Tandis qu'Ener se concentre sur Zoro et Robin, Wiper y voit une ouverture. Ayant du Granit Marin dans ses patins Ener ne possède plus son intangibilité et faiblit. Ener lui demande alors si il voulait le rejoindre mais le guerrier répondit que ce qu'il voulait c'était sa mort, même si il devait de sacrifier. Il utilise alors un Reject-Dial, une arme 10 fois plus puissante qu'un simple Impact-Dial. Ener tombe sur le sol, inconscient. Cependant, quelques instants plus tard, Ener inconsciemment utilise son pouvoir pour faire repartir son coeur, comme des électro-chocs. Le Dieu indique qu'il a mis en garde Wiper mais que lui, avait choisi un mauvais adversaire. Sur cette phrase, Ener a frappé un de ses tambours avec son bâton, et libère une décharge électrique de 30 000 000 de Volts, qui apparaît sous la forme d'un oiseau. Zoro profite de l'occasion, prend le patins de Wiper et essaye d'attaquer Ener, cependant, Ener le voit arrivé et le défait également. Ener se dirige alors vers Nami qui est la seule personne indemne et il se rend compte que Wiper a décidé de se relever. Il se demande pourquoi il veut encore se battre. Le shandia répond qu'il se bat pour ses ancêtres. Ener le frappa à nouveau à l'aide d'"El Thor. Nami, prise de panique affirma qu'elle le suivrait où il ira. Après avoir marché pendant un moment, Nami est stupéfaite devant l'arche d'Ener. Il affirme qu'il a utilisé tout l'or de la cité d'or pour l'achever. Pendant ce temps, le groupe de Luffy qui est parvenu à s'échapper du python aperçoit les victimes d'Ener. Robin à peine consciente explique la situation. Aisa explique à son tour qu'elle peut utiliser son mantra pour mener Luffy jusqu'à lui. A Angel Beach, Conis essaye de convaincre tout le monde de quitter l'île, mais elle est considérée comme une hérétique. Pour prouver ce qu'elle affirme, elle crie haut et fort qu'elle ne considère pas Ener comme un Dieu et tout le monde s'enfuit pour échapper au jugement de Dieu. Cependant, quand rien ne lui arrive, ils se rendent compte qu'elle a raison, après tout, Ener détruira bientôt le pays tout entier, pourquoi tuer une seule personne maintenant dit Conis. Ils paniquent alors et s'enfuient, mais les Bérets Blancs réussissent à mettre de l'ordre dans l'évacuation, permettant ainsi à tout le monde de s'échapper. Ener vs Luffy ! Ener Le Roi des Pirates ? Sur quel territoire règne ce souverain ? Luffy Sur toutes les Mers du Monde ! Ener Très bien... Voyons voir si tes Mers peuvent faire face au Cieux que je gouverne ! Luffy donnant un coup de pied a Ener Enfin, Luffy rencontre Ener et le "Dieu" se rend compte qu'il ne peut pas infliger des dégâts à Luffy parce que ce dernier est fait de caoutchouc. Dans la grande bataille entre le capitaine des chapeaux de paille et Ener, il est évident que Luffy est plus qu'un challenger pour Ener en raison de l'insensibilité du caoutchouc à la foudre, même aux décharges les plus puissantes du Dieu, et Ener est momentanément incapable de réagir étant sous le choc. Le Dieu n'avait jamais entendu parler du caoutchouc car cette matière n'existe pas sur les îles célestes. Il utilisa son Mantra afin de prévoir les mouvements et les attaques de Luffy. Il changea d'ailleurs son bâton en un trident brûlant pour enfin faire mal à Luffy. Il dit alors à notre Capitaine qu'il n'est qu'un "Simple" Paramecia et que même si il peut étirer ses membres la structure de son corps ne lui empêche pas de ressentir la chaleur. Luffy continue de se battre contre Ener en réfléchissant à des moyens de contourner la capacité à prévoir ses mouvements. Son ego meurtri, et effrayé d'avoir trouvé son ennemi naturel, Ener parvient tout de même à se débarrasser de Luffy temporairement en utilisant ses pouvoirs pour chauffer l'or de son arche et en modelant une énorme boule d'or au bras droit du pirate comme une "récompense" pour une lutte vaillante. Ener dit alors à Luffy qu'il ne serait plus en mesure de le vaincre. Luffy lui dit simplement qu'il y a beaucoup de gars dans la mer bleue qui rêve de lui "faire sa fête". Insatisfait, le dieu frappa Luffy ce qui le fit chuter. La chaleur de la boule brûle Luffy, tandis que son poids énorme le conduit inexorablement vers le sol. Ener dit à Nami que deux de ses coéquipiers se sont glissés à bord mais qu'il serait insensé de tenter de la sauver. Nami essaya tant bien que mal d'attaquer Ener sans succès. Elle réussi à utiliser des Thunder Ball afin de dévier les attaques les plus faibles d'Ener. Sanji et Usopp arrive enfin. Usopp distrait Ener tandis que Nami prépare le Waver pour sauter dans les nuages autour du pied du Giant Jack, mais comme Ener se prépare à les tuer tous les deux, Sanji se sacrifie ce qui leur permet de s'échapper. Immédiatement après, le navire commence à perdre de l'altitude et une explosion retentit, révélant à Ener que Sanji a frappé les machines permettant à l'arche Maxim de voler. Ener réussit à résoudre le problème, Usopp, qui a utilisé l'un de ses appareils pour se coller sur le côté du navire, remonte et saute avec Sanji. Avec Luffy hors de portée, Ener continue son plan visant à détruire tout Skypiéa. Ener déclenche une machine créatrice de nuages d'orages et avec une petite sphère de ses nuages parvient à détruire une petite île accolé à Angel Island. Le reste des nuages couvrent Upper Yard et des centaines d'éclairs s'abattent alors sur la "Terre Sacrée". Ener atteint finalement le sommet du Giant Jack et ne trouve rien, mais parvient à voir Luffy juste en dessous de lui. Ener l'attaque alors en utilisant son pouvoir et le fait tomber beaucoup plus bas. En dépit d'être revenu au point de départ Luffy persévère. Le pirate tente de monter à bord de l'Arche Maxime d'Ener, mais le dieu ne lui permet pas de monter à bord et le fait tomber à nouveau. Il trouve alors la Cloche d'or de Shandora. Luffy et Nami ont de leur côté envoyé un message à ceux au pied du haricot géant, "Faites tomber le Giant Jack a l'Ouest". Les chapeaux de paille, Wiper et Gan Forr commencèrent à attaquer la tige de sorte que le Giant Jack tombe comme prévu. Nami remarqua l'inclinaison du haricot, puis mis les gaz avec son Waver possédant un Jet-Dial Dial rare et puissant sans savoir si elle allait le contrôler. Luffy, également sur le Waver, l'encourage alors. En voyant le duo monter, Gan Forr et les autres ne purent que les encourager, eux aussi. Ener en ricanant décide alors d'attaquer lui aussi le haricot et le faire tomber dans la mauvaise direction pour ne pas se battre. Ener crie alors à Luffy que, bien qu'il soit à l'abri de l'électricité, il ne sera pas en mesure de l'atteindre. Alors que le haricot commence à vaciller, le Waver bondit vers l'arche Maxim, avec Luffy criant "Je suis venu sonner la cloche d'or, Ener !". Le "Dieu" dit que c'est trop tard, déclarant que la dernière sphère de nuages d'orages est assez grande pour détruire l'île. Luffy grâce à Nami, saute du Waver vers le nuage d'orage lui-même, à la grande surprise d'Ener, tandis que Nami dit à Luffy qu'il va mourir, en raison de la pression d'air élevée et du courant électrique trop important. Ener riant se demanda comment il allait venir à bout de son arme ultime, tandis que la tige du haricot s'écrase au sol. Luffy attaque "Gomu Gomu no Storm", tout lançant la grande boule d'or attachée à son bras dans le nuage d'orage, déterminé à ne pas laisser quelqu'un mourir. Tandis qu'Ener est choqué, se rendant compte que Luffy utilise la boule d'or comme conducteur électrique, "aspirant" toute l’électricité du "Raigo". Ener dans sa forme finale Avec la menace neutralisé, Luffy enroule son bras avec la boule d'or attachée à lui pour une attaque finale sur Ener. En représailles à son attaque contrecarrée, Ener utilise le plein potentiel de ses pouvoirs et se transforme en un Dieu géant du tonnerre. Son attaque montre toute sa puissance. Cela ne décourage pas Luffy, car même sous cette forme, il fait de lui-même une cible facile. Ener attrape Luffy avec son trident, pensant qu'il a gagné car Luffy sera soit brûlé par la chaleur du trident soit chutera. Luffy décide de tomber mais, au grand dam d'Ener, il parvient à saisir un nuage solide et repart dans les airs, en position idéale pour frapper Ener. Il lance sont attaque finale, le "Gomu Gomu no Rifle Ougon". Ener dans une dernière tentative lance une décharge de 200 000 000 de Volts sans succès. Il contemple ensuite l'attaque de Luffy, la qualifiant de trop rapide pour être esquiver et trop puissante pour être contrée. En plus de terrasser Ener, Luffy cassa la boule d'or en la percutant sur la Cloche d'or. Comme la légende l'avait prédit, lorsque le timbre de cette cloche sonnera à nouveau, la guerre sera terminée. Le Maxime étant alimenté par l'énergie d'Ener, il sombra lui aussi. Bien qu'il tombe dans la Mer Blanche, Ener a réussi à remonter sur son navire et a se dirigé vers "Fairy Vearth". Mini-Aventures d'Ener Ener rejoint la "Fairy Vearth" Après avoir voyagé dans l'espace à bord du Maxime, Ener a finalement atteint la lune. Après avoir exploré un cratère, il découvre un être fait de fer. Ce petit être survit à un choc électrique d'Ener. On apprend par la suite qu'il s'agissait du Premier lieutenant Spacey, et que lui et ses camarades, se battaient contre des Pirates de l'Espace. Après une brève scène où le Spacey est en deuil, Ener devient témoin d'une attaque sur le Spacey par un pirate de l'espace. Le pirate tente alors d'attaquer Ener mais est rapidement battu. Le "Dieu" entend alors une grande explosion sur la surface de la lune. Les Pirates de l'Espace ayant détruit son arche, Ener furieux, les a "puni". Après qu'Ener ait fini de punir les pirates, le Premier Lieutenant Spacey le remercie d'avoir vengé ses camarades et Tsukumi. Ener est alors descendu dans le cratère créé par les Pirates de l'espace et est entré dans une caverne. A l'intérieur, il a trouvé une ville apparemment abandonnée cachée profondément sous la surface lunaire. En voyant ces ruines, Ener a décidé de les détruire. Son attaque électrique sur les ruines a cependant parcouru ces dernières et a activé plusieurs autres robots en sommeil. Ener et quelques Spaceys Ener et 4 Spaceys ont étudié ensuite quelques peintures murales du passé de la lune. La fresque représentait une civilisation ancienne avec des ailes qui vivaient sur la lune. Ces gens qui ont créé les Spaceys de lune vivaient dans une ville nommé "Bilca", comme le pays natal d'Ener. La civilisation, technologiquement avancée, a manqué de ressources sur la lune. A cause de cela, ils ont volé vers une "étoile de couleur bleue", la terre, avec des ballons afin de trouver plus de ressources. Après avoir étudié les peintures et contempler les innombrables robots toujours en sommeil, Ener a réalisé qu'il avait une abondance de terres et beaucoup de disciples. Avec ceux-ci, Ener créa un nouvel empire sur la lune avec les Spaceys comme disciples. Enjeux Doublages et Traductions Le nom romanisé d'Ener est Enel dans la version japonaise, comme indiqué sur la couverture du 25ème volume du Shonen Jump de 2003.[4] Le nom d'Ener pourrait très bien être un clin d'œil à d'anciens dieux mésopotamiens, comme En- lil. Certains croient que son nom est un jeu de mots sur le mot énergie». Enel est également le nom de la compagnie italienne d'électricité. En raison de sa position de Dieu et les diverses connotations religieuses qui lui sont associés, le terme est traduit et censuré sur différents niveaux entre les diverses adaptations anglaises officielles. Dans le jeu One Piece Pirates Carnival renommé par 4Kids, le titre d'Ener est censuré et remplacé par "Seigneur de Skypiéa". Batailles principales Batailles Principales Ener vs. Prélats = Interrompu Ener vs. Kamakiri = Victoire rapide Ener vs. Laki = Victoire éclair Ener vs. Wiper = Défaite le granit marin neutralise ses pouvoirs Ener vs. Wiper, Gan Forr, Zoro & Nico Robin = Victoire Ener vs. Luffy = Victoire Ener vs. Nami, Usopp & Sanji = Victoire Ener vs. Luffy = Défaite Ener vs. Pirates de l'Espace = Victoire Caméos et Crossovers Ener est apparu dans Shonen Jump spécial, où il a attaqué Tokyo et Odaiba. C'est alors qu'un Saiyan, Son Goku, intervient et combat Ener, mais en dépit des nombreux coups qu'il inflige à Ener, a du mal à le battre en raison de ses capacités de Logia. Goku transformé en Super Saiyan, avec l'aide de Luffy, font une attaque combinée appelée "Gomu Gomu no Kame Hame Ha" et réussissent à le vaincre. Après la défaite d'Ener, les amis de Son Goku réunissent les Dragon Balls pour faire apparaître le dragon Shenron, pour qu'il exauce le vœu de ressusciter les victimes d'Ener. Marchandise Ener est en vedette dans le One Piece Full Color R Gashadon série. Sa tête est disponible en deux versions. Jeux vidéo Jouable One Piece Going Baseball One Piece Grand Battle ! Rush ! One Piece Grand Battle ! 3 Fighting For One Piece One Piece Grand Adventure One Piece Unlimited Cruise One Piece Unlimited Adventure One Piece Gear Spirit One Piece Unlimited Cruise SP One Piece Gigant Battle! 2 New World One Piece Pirate Warriors 3 One Piece Pirate Warriors 2 One Piece Treasure Cruise One Py Berry Match One Piece Thousand Storm One Piece Burning Blood One Piece Unlimited Cruise 2 L'Éveil d'un Héros Synchroniser un fichier du 1 ou le battre en Boss Rush One Piece Unlimited Cruise 1 Le Trésor sous les Flots Ennemi One Piece Unlimited World Red One Piece Ocean's Dream One Piece Pirates Carnival One Piece Round the Land ! Support One Piece Gigant Battle! One Piece Dance Battle One Piece Great Pirate Colosseum One Piece Super Grand Battle! X Influences Manga et Anime Ses pouvoirs et les tambours attachés à son dos sont ceux du dieu du tonnerre du Japon, Raijin. Il se présente même en tant que "Je suis la foudre" ou "Je suis Dieu". En outre, l'une de ses poses inclinables de son côté et ses lobes d'oreilles allongées rappellent des statues de Bouddha. Futilités Dans un sondage Japonais, Ener fut déclaré le 22e personnage le plus populaire, faisant de lui le vilain le plus populaire de One Piece, en dehors des membres du CP9. Ener a coupé ses ailes de bilcan personne originaire de l'île céleste "Bilca" et a placé le cercle dans son dos à l'endroit exact où elles étaient auparavant situées. Oda a déclaré que s'il avait vécu sur la Mer Bleue et était un pirate, Ener aurait eu une prime d'au moins 500 000 000.[5] Luffy est le seul personnage de One Piece qui est capable de toucher le "vrai corps" d'Ener sans pour autant utiliser le Haki Fluide grâce à son Fruit du Démon. Il est le premier antagoniste à utiliser le Haki. Il est de plus le premier antagoniste à n'être ni un pirate ni un membre du Gouvernement Mondial. Ener serait inspiré du rappeur Eminem, au niveau de l'apparence. Il est un des ennemis principaux de One Piece Unlimited Cruise Il est un des personnages jouables du jeux vidéo One Piece Unlimited Cruise 2 L'Eveil d'un Héros, One Piece Grand Adventure, One Piece Gigant Battle! 2 New World, One Piece Pirate Warriors 2, One Piece Pirate Warriors 3 et One Piece Burning Blood. Alors que dans le manga, la foudre du Goro Goro no Mi est de couleur jaune, dans l'anime, elle est de couleur bleue. Selon Oda, le fruit préféré d'Ener est la pomme. Coïncidence, dans One Piece Grand Battle Rush, il mange l'un de ces fruits. Il est le seul antagoniste de One Piece à avoir combattu Son Goku le personnage principal de Dragon Ball dans un crossover. Dans le sixième sondage japonais, Ener s’est classé 44e. Les tambours sur le dos d'Enel sont un clin d'œil à Raijin, le dieu de la foudre et du tonnerre. Comme Ener, Raijin pouvait produire des éclairs, et quand il jouait des tambours taiko, cela évoquait le tonnerre. Les longs lobes des oreilles, comme ceux d'Enel, sont l'une des 32 caractéristiques du Bouddha. Ener serait inspiré de Xuanzang, moine bouddhiste chinois. L'un des quatre plus grands traducteurs des soutras bouddhiques de l'histoire de la Chine. Dans l'original, il dit qu'il est kaminari , ce qui peut signifier dieu ou foudre. Un autre élément intéressant dans la dénomination d'Enel trouve son origine dans l'hébreu. Ici, de nombreux dieux portent la syllabe El » dans leur nom. La syllabe peut également être trouvée dans les noms qui ont une origine religieuse, par exemple Dani el , El ijah, Isra el, Micha el ou El isabeth. L'hébreu a aussi la syllabe "En". Cela exprime une négation ou le contraire. Ainsi, on peut interpréter le nom d'Enel de l'hébreu comme "Pas Dieu"à traduire. Sur ce, Oda a indiqué qu'il n'était pas un vrai dieu. Par exemple, dans le célèbre roman Finnegans Wake du grand James Joyce , il y a un personnage nommé Enel-Rah. Ener et Octy partagent le même acteur japonais, Toshiyuki Morikawa. Ses fruits préférés sont les pommes et les bananes.[6] Ener n'a pas hésité à tuer des femmes ou des enfants.[3] Si Ener était un pirate, il aurait son propre Jolly Roger. [7] Jolly Roger d'Ener Liens Externes Culte de la Personnalité - Article sur la société créée par Ener autour de lui. Sondage du site Références ↑ One Piece Databook - Blue Deep Characters World p. 37 - L'anniversaire d'Enel est donné. ↑ One Piece SBS - SBS Tome 79 - L'anniversaire d'Enel est listé. ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 One Piece Databook - Vivre Card - One Piece Visual Dictionary p. 0302 - Des informations sur Enel sont révélées et son nom est romanisé. ↑ 4,0 et 4,1 One Piece Manga — Weekly Jump 2003 Issue No. 25 ↑ One Piece Manga SBS — Tome 43 p. 128, question de fan Ener serait-il fort si il était sur Terre ? ↑ One Piece - Vivre Card - One Piece Visual Dictionary - On apprend sa nourriture préférée. ↑ One Piece SBS - SBS Tome 102. Navigation du Site Utilisateurs de Fruits du Démon Paramecia Canon Monkey D. Luffy • Baggy • Alvida • Mikita • Gem • Nico Robin • Galdino • Wapol • Bentham • Daz Bonez • Paula • Hina • Bellamy • Don Quichotte Doflamingo • Foxy • Blueno • Kalifa • Very Good • Shûu • Sharinguru • Brook • Gecko Moria • Perona • Absalom Décédé • Bartholomew Kuma • Jewelry Bonney • Eustass Kid • Trafalgar D. 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Clintonet Bush, symboles du népotisme à l'américaine. Jeb Bush, à la fois frère et fils d'un ancien président, pourrait affronter l'an prochain Hillary Clinton, l'épouse de
PRÉAMBULE 1Je n’aborderai pas frontalement cette question, posée dans les termes des média populaires. La réponse que j’en donnerai découle de mon expérience j’ai expertisé une dizaine de tueurs en série. Le premier d’entre eux fut Julien, âgé d’une vingtaine d’années. Il avait tué trois personnes dans des contextes et selon des modalités peu superposables. Son premier meurtre, celui d’une femme domiciliée à quelques pâtés de maison de sa propre mère, avait débuté comme un banal cambriolage, pour finir dans l’horreur. Le deuxième visait un homme estimé de lui, annonçant le troisième marqué par une impulsivité majeure. 2Ma rencontre avec Julien fut traumatique. J’en étais sorti détruit. J’avais eu l’impression de parler avec le diable en personne. Cela ne ressemblait à rien de ce que j’avais pu observer et ressentir jusque-là. Pourtant, comme tous ceux qui acceptent de pratiquer l’expertise pénale, j’avais été confronté à mon lot d’horreurs et d’atrocités lorsqu’un père tue sa fille dans une efflorescence délirante paroxystique à thématique démonopathique, pour annihiler le démon qui l’a remplacée, ou lorsqu’une infirmière dépèce sa malade parce que son corps est parasité par le mal, au moins le clinicien retrouve-t-il la marque sémiologique et psychopathologique du paroxysme délirant et de ce sursaut de survie au bord du gouffre qui caractérise ces actes commis dans l’urgence d’une défense vitale. Apparemment, il n’y avait rien de tel chez Julien. Ce qu’il m’a transmis jusqu’à la nausée, au bord du malaise physique, c’est son calme, sa tranquillité, sa froideur et sa délectation face à mon désarroi. 3En sortant de la prison, j’avais éprouvé le besoin de téléphoner dans l’urgence à mes amis, de partager mon effroi et de me rassurer. À l’impact traumatique intime devait s’ajouter un peu plus tard le traumatisme professionnel. Je fus désavoué par d’autres experts et ce qui était hélas prévisible se produisit Julien tua à l’intérieur même de la prison, faute d’avoir reçu les soins psychiatriques dont il relevait à l’évidence. Il fut jugé dans une cage de verre et la justice ne m’en parut pas grandie. 4À partir de là, je crus comprendre que je n’avais pas le choix, pour échapper au poids de l’enfouissement traumatique avec sa cohorte de ressentiment, d’amertume, d’échec, d’incompréhension, de ressassement, de pessimisme... et d’insatisfaction théorico-clinique. L’élaboration dans de telles zones n’est pas un plaisir. C’est une nécessité et un sauvetage. 5J’épargnerai au lecteur les multiples origines de cette bascule entre un avant et un après qui ne sera jamais plus pareil. Comme clinicien, j’étais déjà sensible à cet effet de l’effraction traumatique la perte du sentiment diffus de confiance et d’insouciance dans l’existence. C’était mon tour. À chacun son virage. Le mien fut brutal, quasiment minutable. 6Mes échanges avec mes amis psychanalystes me laissaient le plus souvent frustré. Tantôt c’était l’invocation de la pulsion de mort comme un deus ex machina conceptuel clôturant toute avancée élaborative ; tantôt c’était celle de la psychose, laissant de côté la majorité des cas, dans un court-circuit de la complexité clinique ; quant au sadisme, son recours me semblait problématique, à tort ou à raison, face à l’absence d’un authentique scénario psychique sous-tendant les actes criminels. 7Ces préoccupations orientèrent mes relectures et mes découvertes. J’ai détaillé ce parcours dans trois articles [1]. Je ne le reprendrai pas ici, mais j’en résumerai l’essentiel. 8J’eus la chance de pouvoir en parler avec deux psychanalystes dégagés de cette honte si commune d’être également psychiatre d’abord avec Paul-Claude Racamier, puis avec mon ami Claude Balier. Tous deux me firent l’honneur de m’encourager. Plus récemment, j’ai découvert les travaux de René Roussillon qui m’ont aidé à comprendre les liens complexes qui unissent la zone traumatique et les actes criminels. 9Je les ai éhontément pillés, comme j’ai pillé bien d’autres psychanalystes qui seront sans doute surpris du destin de leurs travaux. Qu’ils ne m’en veuillent pas trop. Sans eux, je serais resté dans l’impensé de l’effroi traumatique. J’ai même contribué, sans le vouloir, à la médiatisation réductrice de quelques concepts, comme celui de perversion narcissique. C’est un pervers narcissique », titre la presse à propos de tueurs qui défraient la chronique. I. JULIEN 10L’observation de Julien me paraît montrer de façon exemplaire comment le mouvement pervers narcissique peut être utilisé pour lutter contre l’envahissement psychotique, sans y parvenir. Julien voulait donner de lui-même l’image d’un sujet serein, parfaitement maître de ses décisions. C’était lui qui menait la danse macabre du déroulement de l’examen, en dehors de quelques moments de désarroi et de perplexité quand il abordait ce qui avait échappé à son emprise il n’avait pas atteint les bonnes cibles » ; quand l’autre ne lui semblait pas adhérer à son système d’explications rationalisées ; quand il se disait rassuré d’avoir été interrompu dans ce qui aurait pu être une série plus longue ; quand la question de la folie surgissait, à l’abord allusif d’un parasitisme psychosensoriel. 11Dans une première approximation, c’était comme un psychopathe pervers qu’il se présentait à moi, avec son lot d’instabilité précoce, de polycarences, de falsifications mythomaniaques, de vols, de conduites sexuelles d’allure perverse décrites par les éducateurs... Et Julien exhibait à l’envi sa perversité, se montrant infiniment plus réticent pour livrer l’angoisse et le processus de déstructuration psychotique sous-jacents. En deçà de ce masque, la clinique était pourtant singulièrement évocatrice 12— C’était l’envahissement par une crudité fantasmatique engendrant l’action. Sa conscience était submergée par des idées bizarres, cruelles, saugrenues, insolites, marquées de démesure, auxquelles il adhérait sans réserve, sans distance, en les intégrant dans son système démonopathique. Les thèmes de mort et de destruction y étaient omniprésents. 13— C’était l’absence de cohérence interne, le caractère chaotique des conduites et leur improvisation. La rationalisation froide et la prétention de maîtrise ne relevaient que d’un mouvement secondaire. Il y avait constamment chez lui ce double niveau les agir semblaient répondre à une systématisation démonopathique, alors que l’acte précédait les justifications qu’il en donnait plus qu’il ne les suivait, et on était dans un registre proche des actes immotivés ou paradoxaux décrits par la psychiatrie légale. On retrouvait le critère différenciel classique des aliénistes entre démence précoce et folie morale, cette dernière impliquant organisation, préméditation, choix des situations, anonymat des victimes, maintien d’une certaine adaptation à la réalité... Autant de paramètres absents chez Julien. 14— Il en était de même du vécu persécutif, allusivement exprimé, de la dépersonnalisation et du sentiment de dévitalisation. La bipartition du corps, du cœur et de l’âme, dominée par le manichéisme bien/mal, dieu/diable, droite/gauche, vivant/mort..., apparaissait comme un effort pour mettre un peu d’ordre au chaos pulsionnel et pour endiguer l’envahissement par une problématique archa ïque des plus crues. 15— Chez Julien, tout était pris à la lettre, selon une démétaphorisation et une désymbolisation archétypiques. La lecture d’un ouvrage de démonologie l’avait conduit à agir cette confusion du symbole et de l’acte il avait questionné le cadavre de sa première victime et la tête décapitée de la seconde, mais ses interrogations étaient demeurées sans réponse, le laissant désemparé lorsque la tête avait définitivement cligné des yeux. Hamlet de boucherie, il interpellait réellement l’au-delà, sans le détour de la métaphore ou du symbole Je parlais avec la tête pareil qu’avec la femme... Je demandais comment c’était l’enfer... » Mais pour évoquer le moment où il avait l’impression que Satan lui disait des choses dans sa tête », il se montrait seulement allusif, repoussant l’idée qu’il devenait fou. Il avait été le théâtre d’un travail mental psychotique qui, trop affleurant, lui avait commandé des actes criminels. 16— Ce même effort de mise en ordre pour assurer un semblant de cohésion se retrouvait dans la reconstruction de son passé, à partir du choc éprouvé à la lecture d’un ouvrage de démonologie. Il découpait sa biographie en cinq périodes d’enfer et se projetait un avenir entièrement centré sur l’horizon de la vengeance. C’est la classique illusion rétrospective à travers laquelle le délirant croit avoir trouvé la clé de son destin. 17Chez Julien, le mouvement pervers narcissique tentait de prendre le relais d’un vécu de bouleversement interne et de destruction. Il s’agissait de nier toute émotion, tout affect, en agissant sur autrui la dévitalisation qu’il percevait en lui-même... mais aussi en revendiquant cette déshumanisation comme un choix d’existence. C’était d’ailleurs son leitmotiv lui, le laissé pour compte, rejeté par sa mère, objet des manipulations perverses de cette dernière, carencé, passif, sodomisé dans les foyers, victime d’humiliations, ballotté, serait désormais dans un renversement radical des perspectives, un être insensible, actif, vengeur, froid, un tueur machinal. 18Après s’être exercé sur son propre animal pour extirper de lui tout attachement, puis sur les chats et les chiens du quartier, il était passé au stade de la victime humaine. Plus rien ne pouvait l’atteindre, du moins s’en donnait-il l’illusion, dans un autodéfi permanent. Au début, il avait rencontré ce qu’il appelait des défaillances il s’était réfugié vers Dieu, il était en colère d’avoir tué quelque chose » qu’il aimait bien... Mais Julien ratait ses cibles, jusqu’à la prochaine fois, présumée la bonne. 19Si l’imago maternelle se dessinait comme monstrueuse et toute-puissante, elle était conjointement protégée. Julien ne voulait pas faire le procès de sa mère ». 20Chez Julien, le mouvement pervers narcissique était impuissant à maintenir le contact avec le réel, à contenir et compartimenter l’envahissement, à préserver par ailleurs des liens humanisés. En interrogeant avec angoisse ses victimes sur l’enfer, il repoussait et différait sans y parvenir ce qu’il pressentait de sa propre existence de mort-vivant. Julien illustrait sinistrement le commentaire de Denis Duclos [2] Ce qui agite, depuis le fond des âges, la lamie, la goule, l’ankou, le revenant, le robot, c’est qu’ils ne savent pas qu’ils sont morts. Ils cherchent. Comme les quêteurs du Saint-Graal, ce sont des chercheurs. L’ennui est qu’ils cherchent non pas avec des symboles, mais avec des corps. » II. JÉRÔME 21Dans ce trajet qui va du clivage colmaté à la béance hémorragique, Jérôme n’occupe pas du tout la même place que Julien. Jérôme, la vingtaine, avait assassiné plusieurs femmes âgées. Le malaise qu’il m’a transmis était beaucoup plus subtil que celui du témoin sidéré de l’horreur détaillée. D’emblée, je me suis senti englobé, capté, par l’extrême avidité de son regard, dans le mouvement aspirant d’une séduction narcissique. C’est peu de dire que Jérôme se prêtait à l’examen ; il faisait même un effort constant pour rendre compte, avec la plus grande précision possible, des mouvements qui l’avaient animé, d’une façon que j’ai perçue comme totalement sincère. Face à Jérôme, on ressentait ce trouble et ce vacillement si particulier qui accompagnent la coexistence d’une attitude angélique, de pure ingénuité, et de l’aveu le plus cru. Jérôme se définissait à la fois comme innocent et monstrueux, désolé », mais en paix avec sa conscience Le moi conscient devant vous ne se reproche rien, bien que je sache que c’est moi qui l’ai fait. » Plus tard, il dira à la thérapeute qui s’est courageusement engagée dans un travail psychothérapique Je l’ai fait, mais ce n’est pas moi. » [3] 22Durant l’expertise, lorsque la violence lui apparaissait comme telle, le déni surgissait dans toute sa force Je ne les ai pas tuées » ; puis il rebondissait sur ses souvenirs filmiques des images sans le son. Il les avait donc bien tuées et, s’il acceptait alors d’être un monstre pour les autres, il demeurait innocent pour lui-même. 23Un autre malaise me saisira en fin d’examen, lorsque explorant son mode de vie, le maintien de ses intérêts ou investissements, je me surprendrai à bavarder avec lui comme nous aurions pu le faire au café du commerce, en évoquant l’actualité de notre passion sportive favorite, à lui comme à moi. J’en aurais presque oublié pourquoi j’étais là. On clive avec le cliveur, comme l’a bien montré Jean Guillaumin [4]. Jérôme s’avérait tout à fait performant dans sa connaissance des derniers résultats et subtil dans ses analyses sportives, témoignant dans ce domaine, comme dans d’autres, qu’il était loin de s’être retiré du monde à la période où il commettait ses crimes. Sur ce point également, Jérôme était bien différent de Julien. 24De sa biographie, celle d’un sujet qui n’a pas connu son père, je retiendrai essentiellement ce moment de bascule à la préadolescence, que Jérôme mettait en avant, lorsque sa mère s’était mariée avec un homme plus jeune qu’elle. Dans l’après-coup, chassé du paradis, il reconstruisait ce passé merveilleux C’était Byzance... » Il s’était alors occupé de ses demi-frères et sœurs comme si c’était les siens », aidant sa mère au ménage, au repassage ; mais il avait refusé les prétentions éducatives de ce jeune beau-père auquel il vouait une haine tenace. D’ailleurs, Jérôme n’avait pas besoin d’un père »... À travers cette destitution, cette trahison de sa mère, coupable d’aimer son mari, on repérait une multitude d’indices le positionnant dans une relation fantasmatique incestuelle de comblement maternel et de quête fusionnelle, expulsant tout tiers, déniant la différence des générations, coupant net tout élan maturatif, tout idéal projeté vers l’avenir. Plus tard, Jérôme aura quelques relations ambiguës avec des femmes âgées, entre l’utilitarisme du gigolo et l’attirance. 25Évidemment, la reconstruction que livrait Jérôme était à considérer comme telle et ne pouvait être prise à la lettre, ne serait-ce que, entre autre, parce qu’elle masquait un autre abandon maternel, de sa naissance à l’âge de deux ans. Mais la façon même dont Jérôme ordonnait le fil de son parcours me semblait caractéristique du fonctionnement mental pervers, tel qu’il se donne à voir avec régularité. Jérôme me livrait clé en main la cause et les conséquences de ses actes. Je rejoins A. Costes [5] lorsqu’il écrit qu’aux sources de la position perverse, en réponse à une situation désorganisante d’abandon, il y a un moment décisionnel fondé sur un noyau de réalité alléguée et interprétée une fois pour toutes comme insupportable, lavant désormais la victime du préjudice de toute culpabilité tout lui sera permis. La plupart des tueurs en série que j’ai expertisés formulent de telles rationalisations fondées sur leur parcours biographique. 26À l’adolescence, Jérôme avait bien cherché à s’extraire du domicile parental, à se faire épauler par sa famille maternelle ; mais sa pseudo-autonomisation précaire avait bien vite échoué sur des moments de défaillance narcissique accompagnés de tentatives de suicide, suivis de rétablissements dans l’agir. Il allait progressivement acquérir une sorte d’aisance dans la marginalité, prenant le parti de son instabilité, de son pouvoir de séduction, de son aptitude à vivre d’expédients et de petits trafics. 27C’est dans ce contexte de marginalité psychopathique que Jérôme allait commettre son premier homicide. Cela avait commencé comme l’agression crapuleuse d’une femme âgée qui lui résistait et qu’il avait asphyxiée. C’était le seul crime dont il se souvenait précisément ; les autres, dans leur déroulement et leur nombre, étaient plus ou moins confondus tout se passait comme si la dimension utilitaire devenait contingente, au profit de vécus émotionnels, d’abord surprenants, puis activement recherchés, la première expérience criminelle » se révélant la matrice des suivantes. 28Encore une fois, Jérôme était précis, avec le pointillisme du sémiologue quand c’était pour l’argent, il le disait ; quand c’était pour autre chose, il le disait également, ou du moins il essayait, car ce n’est pas si simple de caractériser de tels affects ». Le plaisir ? Pas exactement, plutôt l’apaisement des tensions et le soulagement. S’y ajoutait un vécu élationnel Comme si j’avais pu voler comme un oiseau... Comme dans un rêve... » S’y ajoutait également une sensation physique qui n’était pas l’orgasme mais une sorte de spasme », un peu comparable selon lui à une jouissance physique. 29Le matin, Jérôme sentait qu’il y aurait une personne morte ». Après l’acte, il était détendu ». Quant aux victimes, toujours aussi sincère, Jérôme ne se donnait pas la peine d’un regret complaisant. C’était l’indifférence qui dominait. Il n’avait rien contre elles... Il avait tué sans haine », sans l’impression de faire mal »... 30Comme c’est quasiment la règle chez les tueurs en série, Jérôme se reconnaissait soulagé d’avoir été appréhendé l’omnipotence face à l’impunité ne pouvait que se répéter, le processus s’accélérer. 31Le récit de Jérôme est particulièrement éclairant car il est rarissime que les tueurs en série expriment avec précision ce qu’ils ont vécu durant leurs actes criminels. 32En prison, Jérôme faisait le même cauchemar il se voyait vampire. Il formulait une ébauche d’explication démonopathique et m’apprenait qu’après ses meurtres, il trempait l’auriculaire droit dans l’écoulement sanguin de ses victimes pour le porter à la bouche. Jérôme puisait dans les mythes de l’horreur, en essayant de rendre compte d’une sorte de quête de revitalisation, en tentant de donner une trame aux bribes de représentations fantasmatiques qui avaient guidé ses actes. 33Que l’on évoque l’anéantissement de l’objet comme stade ultime de l’emprise, les retrouvailles fusionnelles avec le corps maternel dans la possession vampirisante ou la mort de l’autre comme condition de la renaissance de soi... on peut tenter indéfiniment de circonscrire avec des mots cette infigurabilité que les mythes, et au premier chef celui des vampires, ont personnifiée. L’essentiel, me semble-t-il, est de ne pas prétendre en livrer le dernier mot. Car la vérité de la théorie, si approchante serait-elle, se confondrait alors avec la croyance du mythe. S’ils s’accrochent à ces ultimes figurations, Julien et Jérôme ne sont ni diables ni vampires. III. UN PREMIER MODÈLE CLINIQUE 34Après avoir examiné Julien et Jérôme, j’ai été amené à expertiser d’autres tueurs en série. Il m’est apparu possible d’esquisser un premier modèle général organisé autour d’un tripôle à pondération variable déséquilibre psychopathique, perversion narcissique et angoisse de néantisation. Ce qui les différencie fondamentalement les uns des autres, c’est la force du clivage du Moi. Tantôt, comme chez Jérôme, il est relativement accompli ; tantôt il échoue à endiguer l’invasion psychotique, comme pour Julien. 35Le premier meurtre, plus ou moins improvisé, souvent marqué par l’utilitarisme, va s’accompagner d’un vécu aussi déroutant que subjuguant pour le sujet lui-même, ouvrant la voie à d’autres meurtres que l’on qualifie, par raccourci et facilité, de gratuits, parce que leur gain » concerne de façon effrayante l’économie psychique menacée. À partir de la surprise initiale, la matrice de la répétition se met en place. 36La haine consciente en est le plus souvent radicalement exclue sauf par exemple pour les tueurs d’homosexuels ou de prostituées. La fonction même de l’agir criminel est de dénier l’altérité et l’existence de l’objet pour son propre compte. Reconnaître sa haine ferait resurgir le spectre d’un lien à l’objet, avec pour corollaire qu’il n’est pas une partie de soi et réouvrir le gouffre de la déréliction. Tout le mouvement de la perversion narcissique est justement, par le biais de la manipulation de l’objet, de transformer cette déréliction en son strict contraire l’omnipotence narcissique. Ha ïr sa victime, c’est accepter son altérité, ses besoins propres, sa trahison et la souffrance que celle-ci a autrefois occasionnée. 37Mon expérience ultérieure a renforcé cette conviction seules les victimes survivantes, lorsqu’elles risquent par leurs déclarations de déjouer le montage défensif, sont l’objet d’expressions haineuses. 38C’est l’indifférence qui domine. Je ne peux pas les ha ïr, me disait l’un d’entre eux, je ne les connais pas. Mais cette indifférence ne concerne que la victime et seulement elle. On ne tue pas en série comme on écrase des mouches. Écraser une mouche ne révèle pas la toute-puissance. Au demeurant, ce type de crime existe chez ceux qui écartent simplement tous ceux qui se mettent en travers de leur chemin. Pour le tueur en série, l’insignifiance de l’objet et l’indifférence à son égard signent la surpuissance narcissique. Cette indifférence est d’ailleurs fort complexe à comprendre, à la fois comme à l’origine de la haine et comme l’une de ses formes spéciales, en se référant à l’analyse freudienne de Pulsions et destin des pulsions » [6]. 39Les tueurs en série ne mobilisent pas tant d’énergie et ne prennent pas tant de risques... pour ressentir l’indifférence. Cet éprouvé subjuguant qui accompagne le passage à l’acte, c’est l’omnipotence, le triomphe, l’émergence du chaos, l’orgie narcissique et l’élation qui libère, pour un temps d’acmé, le narcissisme de sa corporé ïté. C’est aussi l’apaisement qui succède à la libération cataclysmique des charges accumulées par l’emprise, dans sa seule issue possible la folie d’emprise [7]. 40En cherchant récemment à tenter d’expliquer à la Cour d’Assises pourquoi le mis en examen ne pouvait pas rapporter à la Cour ce qu’il avait éprouvé durant l’accomplissement de ses crimes, j’ai évoqué la scène du Dictateur dans laquelle Charlie Chaplin joue le rôle d’Hitler, jonglant avec la mappemonde, seul, dans un moment grandiose d’élation et d’ivresse. Seul au monde, il est le monde entier, avec la toute-puissance du démiurge. Ce qui semble fasciner beaucoup de tueurs en série, c’est leur emprise sur le passage de la vie à la mort. Le temps est suspendu. La victime est souvent évanouie, sans que l’on sache s’il s’agit d’un co ït ante ou post mortem. 41Peut-être trouve-t-on un écho de cette fascination dans le compte-rendu du procès de Gilles de Rais [8] Item, il dit et déposa que ledit Gilles, accusé, après l’incision de la veine du cou et de la gorge desdits enfants, ou d’autres parties du corps, et lorsque le sang coulait, et aussi après la décapitation, pratiquée comme il est dit ci-dessus, il s’asseyait parfois sur leur ventre et se délectait à les voir ainsi mourir et il s’asseyait de biais pour mieux voir leur fin et leur mort. » 42La coexcitation sexuelle accompagne quasi constamment le déferlement de la vague excitatoire primaire non intégrée tentative de co ït post mortem pour Julien, éprouvé, comparé à la jouissance physique par Jérôme. Mais le seul terme de plaisir paraît impropre à caractériser l’essence du phénomène affirmation primaire et orgie narcissique. 43Si l’objet-victime n’a pas d’existence propre, il est crucial dans les fonctions qu’il exerce il est le lieu de dérivation de la destructivité non liée ; il fait vivre à l’envers » le moment mythique de surgissement de l’objet. C’est la sortie de l’objet, de tout objet, de la scène du monde, qui permet les retrouvailles narcissiques primaires et, au maximum, l’introjection du monde » [9] ; il diffère pour un temps, en l’endossant, le passage de la vie à la mort qui paraît intriguer tant de meurtriers en série, en activant le sentiment d’indestructibilité propre ; partialisé, dévitalisé, désanimé, désarticulé, pseudo-fétichisé à la manière d’un ustensile, d’une amulette, d’un rebut ou d’un trophée..., il est possédé jusqu’au terme ultime de la logique de l’emprise l’assimilation régénérante et revitalisante ; aux limites de l’auto-érotisme où le sujet trouve son objet dans son propre corps », il incarne cet objet partiel du corps propre, détaché, sacrifié, qui restaure la cohésion narcissique en assurant la congruence des pulsions partielles. 44Invoquer l’absence de toute culpabilité est un truisme auquel on échappe rarement face à tant d’assassins ! Ils ne peuvent que dénoncer le non-sens de nos questions na ïves tout au plus feront-ils ce trajet intellectuel qui consiste à se mettre à la place de l’interlocuteur, comme Jérôme, et concevoir qu’il s’agit d’actes horribles... pour les autres. Quant à Julien, dépité, accablé par mon incompréhension radicale, il me disait que j’étais bien comme les autres, que je n’y comprenais rien. 45Je demande systématiquement aux tueurs en série ce qu’ils feraient si leur amie était victime d’un tel acte. Leur réponse est stéréotypée je tuerais celui qui a fait ça. 46La fonction de cette répétition criminelle pourrait, pour une part, relever d’une tentative de domptage, de réappropriation croissante de la destructivité non liée au bénéfice du contingent de sadisme et de coexcitation, dans une visée de liaison, de libidinalisation ; on peut aussi lui imputer le rôle d’une dérivation de la pulsion de mort en quelque sorte tuer pour ne pas mourir. Mais ce qui apparaît fondamental, pour rendre compte de cette répétition, c’est l’utilisation de l’objet pour établir un pontage entre les bords du clivage du Moi. De même que la perversion érotique use du fétiche mi vivant mi inanimé pour maintenir hermétiquement séparée la partie du Moi qui reconnaît et celle qui dénie, tout en les reliant, la perversion narcissique dans ses formes agies les plus extrêmes use du corps désanimé de sa victime pour faire coexister l’innocent et l’assassin et permettre au sujet, pour un temps, de continuer son existence comme si de rien n’était. Progressivement, la répétition des actes criminels évoluera vers une plus grande maîtrise de ce mouvement qui va de la passivité à l’emprise, de la déréliction à l’omnipotence, avec pour finalité de colmater le clivage du Moi. Les actes en série deviendront une sorte de voie finale commune déspécifiée, possiblement induite par toute une série de facteurs déstabilisants, une sorte de réponse privilégiée à tout ce qui mettra en péril le mouvement pervers narcissique, notamment dans sa fonction de défense contre-psychotique. IV. LES CRIMINELS SEXUELS » 47L’expertise de trois criminels sexuels » ayant défrayé la chronique m’a amené à réorienter mes interrogations. Parallèlement, les travaux de René Roussillon [10] m’ont semblé particulièrement éclairants pour en rendre compte. Les remarques qui suivent ne concerneront que les tueurs en série qualifiés de criminels sexuels », qui parviennent à soutenir le clivage le plus accompli les psychopathes pervers » , à l’exclusion de ceux qui échouent à endiguer la béance hémorragique et l’envahissement délirant. Au-delà des dissemblances et des singularités, cinq points me semblent d’une remarquable constance 48— À l’air libre, leurs conduites psychopathiques sont absolument effrénées, échevelées, comme s’ils se diluaient dans l’espace d’une toute-puissance sans limite. Le contraste est tout à fait saisissant avec leur calme, voire leur sérénité en prison, leur soulagement d’avoir été interrompus, qu’il convient de ne pas confondre avec l’expression d’un sentiment de culpabilité. Le solide pare-excitation que constitue la prison leur permet d’organiser tranquillement leur quotidienneté et d’accueillir avec courtoisie leurs interlocuteurs experts. Les murs de la prison jouent un rôle de contenant, d’organisateur. En dehors de ce cadre, ils explosent. 49— Que l’on invoque les grands axes de la perversion narcissique, développés par Racamier [11], dont le propre est d’externaliser les conflits humains primitifs et de les transférer sur l’autre, en un puissant mouvement qui lui dénie toute altérité, toute existence propre, toute humanité ; ou que l’on s’appuie sur le concept de perversité sexuelle, à partir des travaux de Claude Balier [12] qui invoque le recours à l’acte sexuel violent et au clivage du Moi pour éviter l’entrée dans la psychose et qui distingue ce champ de celui des perversions sexuelles impliquant un scénario sexuel ludique »..., on observe que tous mettent en avant leur infaillibilité, leur indestructibilité, leur forteresse défensive, récusant formellement toute dépendance à autrui. En dehors de quelques rares territoires où ils s’autorisent un brin d’émotion, de sensibilité, il y a longtemps qu’ils ont déjà payé. Dans leurs récits biographiques, ils mettent en exergue des moments de bascule décisionnelle à partir desquels ils ont tous les droits. C’est au tour des victimes de souffrir. Mais seule la littérature leur attribue ce projet conscient délibéré, car la clinique ne révèle que l’indifférence affichée, corollaire du soi grandiose et de la toute-puissance. Les événements ou les situations traumatiques prolongées, dont ils ont souvent leur propre théorisation, se profilent en cascade jusqu’à un point de rupture à partir duquel, expriment-ils, ils sont désormais libérés de toute souffrance psychique. Cette cascade nous renvoie à un traumatisme désorganisateur précoce. 50— L’angoisse de néantisation si la clinique nous amène à postuler l’évitement agi du surgissement interne d’un envahissement hallucinatoire, peut-on pour autant considérer qu’ils deviennent psychotiques durant l’acte ? Le psychanalyste américain Red Meloy [13] répond par la négative. On peut le suivre, si l’on considère que la défense agie contre l’envahissement psychotique n’est pas la psychose. On observe en effet, comme le soutient Meloy, une altération des percepts d’objet qui peut se traduire par une déréalisation, et une altération des percepts de soi qui peut se traduire par une dépersonnalisation. Mais il n’y a pas de perte complète de l’épreuve de réalité. La frontière entre percept de soi et percept d’objet est altérée, mais elle n’a pas disparu. Meloy ajoute à juste titre que, contrairement aux psychotiques, ils ne rapportent jamais que la victime avait, au moment de l’acte, subi une métamorphose hallucinatoire. 51— L’idéalisation forcenée de l’image maternelle quelles que soient les vicissitudes de l’histoire, même quand tout le contredit, l’image maternelle demeure sur un piédestal, massivement intouchable, alors que la première idée qui s’impose au clinicien est que ces actes ont – au moins partiellement – valeur de matricide déplacé. Jamais autant que chez eux n’est perceptible l’extrême tension de ce système qui va de l’idéalisation consciente à la haine inconsciente. Au demeurant, cette haine radicalement inassumable prend le visage de l’indifférence, cette forme spéciale et primitive de la haine [14]. Je n’ai, pour le moment du moins, jamais rencontré un tueur en série qui exprimait une haine consciente à l’égard de l’image maternelle. Ils peuvent avoir été l’objet des pires sévices, des pires abus, des pires récusations de toute autonomisation subjectivante, ce sont d’autres femmes qui paieront pour elle. Seul l’un d’entre eux, après un long travail psychothérapique le laissant à certains moments au bord du gouffre de l’effondrement, a réorganisé durablement son rapport aux images parentales. Il le doit au courage et à l’obstination de sa psychanalyste en prison [15]. 52— Le clivage du Moi son expression clinique est proprement déconcertante, voire stupéfiante. Elle éclaire en partie la fascination exercée par le tueur en série. Chacun le formule en sa manière. Je l’ai fait, mais ce n’est pas moi », disait l’un ; Ce que j’ai fait, c’est l’autre côté » ; L’autre côté, c’est le mystère absolu », disait un autre. Le Moi conscient sait bien qu’ils ont commis ces actes, mais ils ne s’en sentent pas coupables. Le terme le plus important, c’est sentir. Car il s’agit d’une expérience criminelle éprouvée, mais non constituée comme expérience du Moi, faute de représentations. Je reprends à dessein les termes mêmes de René Roussillon [16] à propos de l’agonie primaire. C’est faute de représentations psychiques, qu’il y a mise en scène dans la représentation du crime. C’est sur la scène du monde que se figure le crime, pas dans un scénario fantasmatique. Si pour eux, tuer c’est ne pas mourir, on ne peut comprendre la souffrance aujourd’hui infligée sans exhumer la souffrance autrefois reçue. 53Ils savent bien qu’ils sont des monstres pour les autres. Ils peuvent même en faire le détour intellectualisé. Mais leur indifférence à l’égard des victimes décédées est affichée. Ils nous donnent parfois l’aumône de regrets plaqués. 54Durant leur examen, on est désemparé devant leur pseudo-normalité et devant l’empathie qui s’installe. Encore une fois, on clive avec le cliveur [17]. On est frappé par leur intuition aiguë des attentes de l’autre, à la mesure de leur méconnaissance d’eux-mêmes et de leur absence radicale de toute capacité introspective. L’un d’entre eux avait parfaitement perçu les singularités de la formation de chacun des experts, de leurs attentes respectives, de leurs théorisations privilégiées. 55Mais surtout, on vacille quand ils se penchent avec nous sur l’énigme et que l’on perçoit que ce mécanisme très particulier n’a rien à voir avec la feinte ou la manipulation consciente. Ils sont sincères. Ils nous demandent de les aider à comprendre cette part maudite qui leur échappe, cette zone poubelle, ce lieu psychique du crime. Ils attendent de nous, y compris en situation d’expertise, d’être le miroir du négatif de soi », selon la belle formule de René Roussillon [18]. Sa théorisation concernant les souffrances identitaires narcissiques à partir d’une expérience agonistique, me semble très éclairante pour caractériser cette forme particulière de clivage du Moi, mais aussi pour éclairer la fonction des crimes. 56René Roussillon rappelle que certains pans de la vie psychique ne sont pas refoulables, parce qu’ils ne sont pas représentés. À partir de Winnicott, il invoque la mise en échec des capacités de décharge, de liaison interne, la défaillance de l’environnement et la durée de l’expérience traumatique. Pour survivre, le sujet se retire de l’expérience traumatique primaire et assure sa survie psychique, au prix d’une coupure avec sa propre subjectivité. Il s’en délivre en s’amputant d’une partie de lui-même. Cette expérience, encore une fois éprouvée mais non constituée comme expérience du Moi faute de représentations, engendre un clivage. Ce clivage, comme y insiste René Roussillon, ne concerne pas deux chaînes représentatives inconciliables, mais une partie dotée de représentations et une partie non représentée, contenant des traces perceptives soumises à la contrainte de répétition et à la réactivation hallucinatoire. Il en résulte, toujours selon René Roussillon, une menace de retour du clivé appelant l’organisation de défenses agies contre ce retour. Comme je l’ai développé dans mon article initial, la répétition des actes criminels chez le tueur en série a pour fonction de maintenir et consolider ce clivage et de prémunir contre la menace de désorganisation que constituerait ce retour du clivé, ou plutôt, car cela me semble plus juste, que constituerait l’échec du clivage par le télescopage intempestif des traces perceptives et de certaines qualités de l’objet intuitivement repérées. J’y reviendrai à propos de la rencontre entre le criminel et sa victime. 57Il faut le répéter, la notion de perversion sexuelle est très au-delà du niveau d’organisation ici en jeu. Il me semble difficile de classer dans la même catégorie générique ceux qui ont besoin d’un fétiche pour parvenir au plaisir et ceux qui massacrent dans un contexte de toute-puissance, y compris lorsque le viol fait partie des séquences criminelles. Au demeurant, tous les tueurs en série à dominante psychopathique que j’ai rencontrés avaient par ailleurs une activité sexuelle tout à fait banale, sans nécessité de recours à des scénarios pervers, avec des partenaires qui l’ont confirmé. L’excitation sexuelle peut être l’un des éléments inducteurs ; la coexcitation accompagne l’orgie narcissique ; mais l’expression crime sexuel » me semble impropre. Ce ne sont pas des crimes de la sexualité. C’est une violence beaucoup plus primitive qui s’empare de l’appareil sexuel. Je tenterai une analogie avec le vocabulaire juridique. Lorsque l’on tue avec un cendrier ou avec une bouteille, ces objets sont transformés en armes par destination. Ce n’est pas leur fonction première, c’est l’usage qui en est fait qui les définit comme tels. Le sexe est ici une arme par destination et il conviendrait de parler de crimes de sexe plutôt que de crimes sexuels, et de laisser croire que de tels sujets tuent pour jouir, comme d’autres se livrent à des séances de sadomasochisme, qui sauvegardent malgré tout un minimum de capacité de liaison, de scénarisation, de ludisme partagé, ou tout du moins d’un jeu de complémentarité des rôles. C’est en quoi ce ne sont pas des crimes sadiques, autrement que de surcroît, par rattrapage ou domptage. V. LA RENCONTRE DE LA VICTIME 58Ces crimes sont réalisés à partir d’une rencontre particulière, primitivement caractérisée par le sentiment inconscient d’envie. La victime possède un principe vital dont ils sont fondamentalement privés, dans leur perception intuitive. La dimension très archa ïque de captation d’énergie, de revitalisation, d’avidité vampirisante, appartient au registre de la perversion narcissique. Leur perception du fonctionnement mental d’autrui est inversement proportionnelle à l’intuition qu’ils ont de leur propre vie psychique, comme si la force identitaire de l’autre venait combler leur vide interne. Comme le rappelle Meloy [19], la victime est d’abord le prolongement conceptuel du soi grandiose, avant de devenir dans le corps à corps le support des introjects persécuteurs. C’est une rencontre hautement dangereuse pour lui. L’enjeu en est de taille. Dans un renversement des perspectives, la passivité et l’effroi traumatique seront transformés en activité et en triomphe sur l’objet. À partir de la surprise initiale, celle du premier acte criminel, plus ou moins improvisé, cette expérience matricielle va progressivement être maîtrisée. Cette maîtrise dans l’attente, la traque, le mode opératoire, du côté du principe de plaisir/déplaisir, implique la mise en scène des conditions de surgissement du monstrueux, au-delà du principe de plaisir. Autrement dit, le paradoxe est celui d’une tentative d’appropriation de l’automatisme de répétition. Mais la maîtrise du traumatisme ne peut qu’échouer. Le crime ne saurait constituer une tentative de guérison. Le crime ne paie pas psychiquement. La contrainte de le répéter demeure. 59La recherche active des situations de déclenchement est de plus en plus contrôlée, au fur et à mesure de la sériation des crimes. Selon les cas, ce sera un quartier, un lieu, une ambiance, accompagnés ou non d’une consommation d’alcool ou d’une prise de toxique. Pourtant, même s’il s’est muni de sa boîte à outils criminelle, le tueur en série non schizophrène pourra renoncer si les circonstances ne s’y prêtent pas et si le danger d’être appréhendé est trop grand. Les conditions étant ainsi posées, le diable sortira ou ne sortira pas de sa boîte ; la rencontre se fera ou ne se fera pas. Non préparée par cette mise en scène, cette rencontre serait au demeurant traumatique dans son effet de surprise, de réactivation hallucinatoire, de télescopage, de mise à feu des traces perceptives. À la contrainte de répétition se substitue la répétition de la contrainte de tuer. 60Pour éclairer les passages à l’acte, il faut donc mettre en relation les actes criminels d’aujourd’hui et l’expérience agonistique, les souffrances identitaires d’autrefois. Le puissant opérateur de cette transformation de la déréliction d’hier en triomphe d’aujourd’hui, c’est le mouvement défensif conféré par la perversion narcissique. 61Mais comment caractériser ce coup de foudre monstrueux, cette rencontre terrifiante ? C’est souvent le mot flash » qui vient dans la bouche du tueur pour en rendre compte. Il le distingue formellement du désir sexuel, dont il a l’expérience, et toute confusion doit être absolument exclue. 62J. Red Meloy écrit que la victime est choisie pour son adéquation perceptive et stéréotypique. Claude Balier [20], à partir de son expérience des agresseurs sexuels, évoque une attirance fulgurante pour la qualité métonymique présymbolique d’un objet primaire. La justesse millimétrée de cette formulation se vérifie dans l’analyse des rencontres des tueurs en série. Empruntant à Piera Aulagnier sa notion de pictogramme, Claude Balier donne toute sa force au binôme pénétrant/pénétré. Il a bien montré l’importance de la mise en jeu défensive d’une hallucination négative destinée à éloigner le risque d’envahissement hallucinatoire par l’objet primaire, en coupant tout lien entre la victime et l’image maternelle. Or c’est ce lien qui caractérise la rencontre, à la condition bien sûr de ne pas tomber dans le piège des simplifications et des réifications. 63L’acte a pour fonction de replacer définitivement la perception à l’extérieur et de transformer le risque potentiel de défaite en victoire. Dans un second temps, toute trace psychique de l’acte qui a été commis doit être effacée. Comme je demandais à l’un d’eux pourquoi il tuait après le viol, il répondait Parce que c’était pas bien. » La fonction du meurtre est d’effacer la trace du viol, au-delà de la motivation utilitaire et rationnelle de ne pas être appréhendé par la police. Elle est aussi de faire en sorte que rien ne se soit produit et que la trace de l’acte s’ évapore », terme employé par un autre tueur en série. Rien ne s’est passé et cela peut donc recommencer. C’est l’un des ressorts de la répétition. Autant ils peuvent parler avec crudité et sans gêne du viol, autant ils sont perplexes face au meurtre qu’ils ne revendiquent pas, non seulement pour des raisons utilitaristes, mais parce que le mobile profond leur échappe, eux qui ont horreur de la perte d’emprise. 64Après le déchaînement, ils retrouvent leurs repères. C’est comme si quelqu’un d’autre l’avait fait à leur place. La réussite du clivage leur permet pour un temps de continuer leur existence et de savourer en secret le triomphe de pouvoir cacher leurs actes. Putain, t’es fort d’avoir caché ça », se disait l’un d’entre eux. 65Mais contrairement au mythe hollywoodien, je n’ai jamais rencontré de serial killer gonflé d’orgueil par la peur qu’il déclenche ou par l’écho médiatique de ses crimes. Cette résonance publique de leur zone traumatique les amènerait plutôt à tenter de différer leurs actions criminelles, de se faire oublier. CONCLUSION 66Si le mal est sans pourquoi, comme l’a soutenu André Green dans un article célèbre [21], le mal n’est pas sans comment la fonction du crime – c’est à dessein que je ne dis pas son sens – c’est la transformation de la menace en triomphe, de la passivité en activité, de la détresse en toute-puissance, du traumatisme subi en traumatisme infligé. Sa logique, c’est de pénétrer pour n’être pas pénétré et détruit ; de tuer pour demeurer vivant. Sa finalité, c’est d’utiliser la victime pour renforcer le clivage. Sa dynamique, c’est de mettre en scène et en actes criminels aujourd’hui, ce qui n’a pas laissé de représentations psychiques autrefois. Mais le crime ne guérit pas et la maîtrise du mode opératoire, loin d’en livrer le sens, l’obscurcit un peu plus à chaque fois. Le criminel contrôle de plus en plus ce qu’il comprend de moins en moins. Le triomphe de l’omnipotence l’éloigne du danger de la rencontre, obscurément perçue comme menaçant l’intégrité psychique. 67On peut se demander si le caractère radicalement irreprésentable du traumatisme primaire et du mobile des actes criminels n’est pas à l’origine de cette profusion, ce foisonnement de représentations mythiques, cinématographiques, littéraires, et de la fascination engendrée par le personnage du tueur en série. À la tâche aveugle traumatique répondrait l’excès de sens du geste criminel... pour les autres. 68À la mise en acte des premiers meurtres succède la mise en scène des suivants mais c’est sur la scène du monde et non dans un scénario psychique que la réactivation hallucinatoire des traces perceptives s’actualise. Le monde entier peut fantasmer, pas eux. 69Cette fascination exercée par le tueur en série ne me semble pas avoir seulement, selon le stéréotype d’usage, la signification d’un sadisme refoulé ». Non seulement je ne perçois pas ces actes comme sadiques » – sauf à donner au concept une extension inconsidérée –, mais je ne pense pas plus que ce soit notre sadisme ordinaire » qui permette à lui seul de comprendre la fascination pour le serial killer. On ne peut valablement s’interroger sur ces formes extrêmes de destructivité qu’en les distinguant du sadisme A. Green [22]. La définition criminologique des tueurs en série implique l’absence de mobile décelable. La quête acharnée et rassurante d’une cause coupable qui viendrait tout expliquer est ici parfaitement vaine. L’analyse clinique fait voler en éclats toutes les explications simplistes. On impute au tueur en série des désirs, des plaisirs et des révoltes, dans un effort de liaison, de libidinalisation, voire d’érotisation sadique... C’est la non-figurabilité d’un mobile insaisissable qui fait resurgir un certain nombre de fantasmagories à la déshumanisation de soi et de l’autre, à l’indifférence affichée, répondent les mythes de tueur machinal, tel Robocop... ; à la toute-puissance menaçant la vie, répond le pouvoir mythique des démiurges ; le clivage du Moi fait invoquer la coprésence légendaire du Dr Jekyll et de Mister Hyde ; la captation envieuse de ce dont ils se sentent privés, réveille les mythes vampiriques, etc. 70Et c’est ainsi que de pitoyables ratés de la vie prennent figure de tout-puissants héros mythiques. Triste piège de l’identification à leur omnipotence. À la fascination exercée par ce paradigme contemporain du mal, amplifiée par des facteurs idéologiques, politiques et financiers, il convient d’opposer la vérité clinique. Si personne ne peut prétendre détenir cette vérité, il me semble que les enjeux actuels d’un débat entre psychanalyse et criminologie méritent que l’on y prête attention et que la place ne soit pas laissée vacante aux pires réductionnismes, aux fascinations collectives ou aux mythologies américaines. Notes [1] D. Zagury, Entre psychose et perversion narcissique. Une clinique de l’horreur les tueurs en série », L’Évolution psychiatrique, 1996, 61 1, p. 87-112 ; Le tueur en série », in La justice et le mal, sous la direction d’A. Garapon et D. Salas, Colloque, Odile Jacob, 1997, p. 19-49 ; Du malaise psychopathique dans la civilisation au tueur en série », L’Évolution psychiatrique, 2001, 66, p. 587-601. [2] D. Duclos, Le complexe du loup garou, Paris, La Découverte, 1994. [3] M. Delocque-Fourcaud, Je l’ai fait mais ce n’est pas moi », Champ psychosomatique, 2000, 17, p. 91-100. [4] J. Guillaumin, Le Moi clivé et son partenaire ou clivage du Moi et interagir », Psychologie médicale, 1991, 23, 4, p. 335-360. [5] A. Costes, La manipulation perverse », Information psychiatrique, no 9, 70, p. 762-769. [6] S. Freud, [1915], Pulsion et destin des pulsions », Métapsychologie, Paris, Gallimard, 1987. [7] G. Gillibert, De l’objet pulsionnel à la pulsion d’emprise », Revue française de psychanalyse, XLVI, 6, p. 1211-1243. [8] G. Bataille, Gilles de Rais, Pauvert, Paris, 1965. [9] P. Denis, Emprise et théorie des pulsions », Revue française de psychanalyse, 5, 1992, p. 1295-1421. En ligne [10] R. Roussillon, Agonie, clivage et symbolisation, Paris, PUF, 1999 ; Le plaisir et la répétition. Théorie du processus psychique, Paris, Dunod, 2001. En ligne [11] Racamier, Le génie des origines, Paris, Payot, 1992. [12] C. Balier, Psychanalyse des comportements sexuels violents, Paris, PUF, 1996 ; Violence et survie psychique », in Le Mal-être, coll. Débats de psychanalyse », Paris, PUF, 1997, p. 31-38 ; Compréhension analytique des agresseurs sexuels », in Pratiques de la psychanalyse, coll. Débats de psychanalyse », Paris, PUF, 2000, p. 68-73. [13] R. Meloy, Les psychopathes. Essai de psychopathologie dynamique, Paris, Frison Roche, 2000. [14] S. Freud, op. cit. [15] M. Delocque-Fourcaud, art. cité. [16] [17] J. Guillaumin, art. cité. [18] [19] R. Meloy, op. cit. [20] C. Balier, art. cité. [21] A. Green., Pourquoi le mal ? », Nouvelle Revue de Psychanalyse, 1988, 38, p. 239-261. [22] A. Green, art. cité.
Commentajouter mes sources ? L' onomatopée (mot féminin issu du grec ancien ὀνοματοποιΐα, [ ὀνομα (το) ( mot) et poiía ( fabrication, soit « création de mots »)] est une catégorie de sons émis pour simuler un bruit particulier associé à un objet, par l'imitation des sons que celles -ci produisent : onomatopée. Reading 3 min Views Na Na Na Surprise! dolls From MGA company girls like for interesting unpacking, surprises and cute fashion images of dolls. Each series of Na Na Na Surprise dolls – is six new dolls in the image of animals. Distinctive feature of Na Na Na Surprise dolls – Distinctive feature of Na Na Na Surprise dolls! soft body, real long hair and animal look. On the doll hat not removable with the ears of the animal and for your child purse key chains in the form of an animal. Na Na Na Surprise! dolls very fashionable, they have stylish hairstyles and bright clothes. The outfit and shoes are removed, you can combine and mix the outfits with other Na Na Na Surprise dolls! The height of the dolls is 19 cm. Contents The fourth series of Na Na Na Surprise dollsUnboxing Na Na Na Surprise! series 4To do this, you need to know the symbols of NaNaNa Surprise series Surprise series 4 doll’s namesBebe GroovyBianca BengalMelanie ModJuli JoyfulPaula PurrfectTommy TorroThe fourth series of Na Na Na Surprise dolls In the fourth series of Na Na Na Surprise! six new dolls panda Juli Joyfulbunny Melanie Modcat Paula Purrfecttiger Bianca Bengalbunny Bebe Groovybuffalo Tommy Torro Unboxing Na Na Na Surprise! series 4 The color of the box in the 4-th series of Na Na Na Surprise! purple, it shows a Bebe Groovy doll. To unpack the Na Na Na Surprise doll! in the fourth series, as in the previous ones, you need to open the box, find the package and the straw. Through a tube inflate the bag and slam it, you will see a splash of confetti! Inside the NaNaNa Surprise package! you will find a plush wallet and 2 surprise package. In the wallet is hidden doll. Dress up your Na Na Na Surprise doll, it’s so fun! Watch the video unpacking of the second Na Na Na Surprise series on our channel. NaNaNa Surprise dolls are surprise dolls, but if you want you can find out which doll will be inside the package. To do this, you need to know the symbols of NaNaNa Surprise series 4. On each box you will see a symbol that corresponds to a certain doll bull head – Tommy Torrotiger track – Bianca Bengalsymbol of peace – Bebe Groovystems – Juli Joyfulchamomile – Melanie Modcat head – Paula Purrfect On Amazon, each doll NaNaNa Surprise can be bought separately, which is very convenient. NaNaNa Surprise series 4 doll’s names Meet 6 new dolls, including a boy NaNaNa Surprise. Bebe Groovy Blonde girl from the cover of the package of the 4th series of NaNaNa Surprise – cute yellow rabbit with floral print and white boots with scent. Bianca Bengal Girl Bengal tiger, white hair and fragrant shoes. Melanie Mod Bright rabbit with colorful prints on clothes and boots. Bright hair and also scented boots. Juli Joyful Charming panda in a cute outfit and unusual scented shoes. Paula Purrfect Nice gentle girl kitty, the clothes look like a schoolgirl’s uniform, and the shoes are scented. Hair styled just delightful! Tommy Torro The boy of the fourth series NaNaNa Surprise is a buffalo. Sports boy in scented sneakers. NaNaNa Surprise 4 dolls are very cute and interesting. I have a favorite in every series, now it is Juli Joyful, and you? Get acquainted with the previous series of Na!Na!Na dolls! Surprise – first, second and third series. Do you collect these dolls? Check the price NaNaNa Surprise 4 on Amazon. Pourde vraies critiques de la série : Les personnages ne sont pas attachants et complètements idiots. Vraiment peu ou pas d'effort sur

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