Malika, Karima et le Kelb... Karima et Malika s'étaient données rendez-vous chez moi pour baiser leur Kelb chien. Elles ont commencé chacune leur tour par lui faire pipi dans la bouche, se permettant quelques gifles, elles adorent dominer, humilier, maltraiter. Ces deux magnifiques femmes Orientales ne se font jamais baiser, c'est elles qui baisent leur partenaire, et pour nous le témoigner elles nous ont en toute fin de séance fait la démonstration du godage de l'anus de Pierre, leur Kelb d'un soir, puis lorsqu'il a éjaculé sur son propre ventre Karima a ramassé son sperme et lui a fait lécher... Je n'avais jamais assisté à pareil spectacle, sous mes yeux deux superbes femmes ont baisé et humilié un homme qui prenait son pied...Cette séance est l'une de mes préférées j'en bande encore, mais elles m'ont déjà promis une séance encore plus hard, plus trash... Mais ça je vous en reparlerai le moment venu., pour l'heure je vous laisse apprécier ces quelques images tirées de notre vidéo d'hier soir... Antoine Caligula Karima...La karhba. Karima est Algérienne, pulpeuse, à l'incomparable vulgarité. C'est plus fort qu'elle, elle ne peut s'empêcher de prononcer des insanités en langue arabe lorsqu'elle baise ou s’exhibe. De nature dominante, Karima est gagne sa vie en dressant des hommes, en les humiliant, mais au delà d'être son travail c'est avant tout sa passion, un véritable art de vivre. Karima se présente elle même comme une putain d'exception spécialisée dans le dressage de Kelbs chiens en arabe, maîtrisant parfaitement le gode ceinture, la gifle, le crachat, le pissing et l'insulte, cette jeune femme femme est un condensé de se qui se fait de plus vulgaire, et de plus excitant. Elle adore que l'on la nomme Karhba la pute en arabe, ce que je fais avec le plus grand des plaisirs ! Antoine Caligula Helène... Hélène, belle Niçoise de 32 ans, esthéticienne, exhibitionniste par passion depuis son adolescence m'a-t-elle confié. Elle refusa d'être payée si je citais son nom et son age, ce que je fais systématiquement... Regardez bien comme elle caresse son sexe pour sentir le liquide chaud s'écouler entre ses doigts... Elle aime ça, elles aiment toutes ça... Je reçois des propositions de plus en plus indécentes, de la part d'hommes et de femmes, je m'en régale, et je fais au mieux pour toutes et tous vous satisfaire. Lundi soir je vous prépare une séance exceptionnelle, avec deux femmes, deux algériennes, qui vont uriner sur un homme après l'avoir sodomisé... L'une lui urinera dans l'anus et l'autre dans la bouche, tout cela pour réaliser le fantasme de cet homme, et de ces deux divines créatures... Antoine Caligula Stella, la Roumaine... J'avais rendez vous ce soir avec Manon qui fut retenue par un contretemps de dernière minute, mais je ne pouvais rester sur ma fin car je me faisais une joie de cette séance depuis hier, donc je suis parti en chasse, et j'ai croisé un groupe de Roumaine qui accepta ma proposition à condition d'être accompagnée de deux de ces amies. Ce que j'accepta sans problème tout en gardant un oeil sur chacune. Tout s'est merveilleusement bien passé, j'ai adoré sa chatte foncée et son anus bien gonflé... Je vous laisse apprécier. Antoine Caligula Fatima & Camille, le duo rêvé... Après tout juste deux séances, Fatima m'exprima clairement le plaisir qu'elle prenait me demanda d'organiser une séance avec une seconde jeune fille pour aller au bout de son fantasme et du vice. Je ne mis pas très longtemps à lui trouver la perle rare, Camille, qui acceptait sans la moindre hésitation sachant qu'il s'agissait de réaliser le fantasme d'une autre jeune femme. Il y eu deux séances au total, l'une urinant sur l'autre chacune leur tour, elles rêvaient d'uriner ensemble en même temps mais sera pour une prochaine séance m'ont-elles promis. La seule vue de ces photos vous permettront d'imaginer le spectacle ahurissant de beauté auquel j'ai assisté. Leur plaisir transpirait, elles se sont caressées, elles ont communié, c'était magnifique à voir, elles avaient même oublié quelques secondes ma présence... Je remercie de tout coeur ces deux délicieuses jeunes femmes pour avoir accepté de s'abandonner devant moi. Antoine Caligula Fatima et Camille.... Comme je vous l'annonçait dans un précédent message, suite à sa séance, Fatima avait émis le souhait de renouveler une séance avec une complicité féminine, ce qui ne fut pas compliqué pour moi aux vues de mon carnet d'adresses... Et voilà Camille de retour afin de satisfaire le fantasme de Fatima... J n'ai pas eu une mais deux séances !!!! voici les premières photos , la suite de la seconde séance ce sera pour demain.... Antoine Caligula
Personnellement je ferais ce qu'elle demande au début en mettant son doigt sur la bouche: de rester à la regarder sans rien dire. En plus une femme qui se fait jouir, c'est le plus beau spectacle du monde où il faut les laisser seules en scène. Bien beau qu'elle se montre. Merci d'avoir partagé la vidéo. Very erotic! Web server is down Error code 521 2022-08-24 225654 UTC What happened? The web server is not returning a connection. As a result, the web page is not displaying. What can I do? If you are a visitor of this website Please try again in a few minutes. If you are the owner of this website Contact your hosting provider letting them know your web server is not responding. Additional troubleshooting information. Cloudflare Ray ID 73ffaf160d80bbef • Your IP • Performance & security by Cloudflare TikTok tellement Rigolos que j'ai fait Pipi Dans Ma Culotte!🤗 Salut les Loulous et merci de vous êtes arrêté sur cette vidéo.Alors comment dire.? En PISSE MERDE ET VOMI ! Plus SCATO Plus EXTREME PLUS CRADEPISSE MERDE ET VOMI ! Plus SCATO Plus EXTREME PLUS CRADE×Fonctionne Mieux Sans AD BLOCK Fétichisme du caca dans la culotte. En effet notre amatrice scatophile lâche des grosses merdes dans ses sous vêtements blanc. On peut voir ces derniers gonfler à vu d’œil tellement y a de caviar !On imagine le tout écrasé entre ses fesses rebondies et ses panties !13657 Vues Telechargez la video Report Partagez la vidéo Comments 0Photo Crade Et ScatophileLes vidéos Immanquables !J’ai entretenu une relation assez particulière avec Christine, une grande brune assez en chair, la trentaine. Elle ne passait pas inaperçue dans les tenues que je lui imposais ou celles qu’elle choisissait afin de me surprendre. Se montrer, être vue était un choix assumé et partagé par moi. Jeux innocents et pervers. Jamais vulgaires. Nous avions fixé une sorte de contrat tous les week-ends ou presque nous établissions, à tour de rôle, un petit scénario érotique. Elle arrivait chez moi. J’étais toujours ému de la voir apparaître cheveux de geais coupés au carré. Ce jour-là elle avait accepté de porter ma tenue préférée mini-jupe en cuir noir évasée, bottines, petite culotte blanche, tee-shirt bien moulant. Elle me dit Je vais me sentir pute dans cette tenue. Mais j’aime, et tu ne seras pas déçu, tu verras ! » Nous prenons le métro. Christine est assise sur un strapontin devant moi. Elle a le visage enfoui dans un journal féminin. Elle ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise. Je mate. Je ne suis pas le seul. Cela m’excite nous excite. Elle adore que je la voie être vue. Et elle adore être vue par des inconnus fantasmant sur elle. Sur ses dessous, son sexe, ses cuisses. On aperçoit sa petite culotte blanche, son sexe qui déborde du petit linge fripé qui le couvre à peine. Nous arrivons en un lieu aimé. La terrasse d’un grand café du quartier, animé Des bisous tout plein. Christine me souffle à l’oreille que le vieux type qui semble l’avoir remarquée, assis un peu plus loin en face de nous, lui plaît. Elle lui jette quelques regards significatifs. Je lui dis allume-le si ça te plaît ! » Elle croise et décroise les jambes, les ouvre. Sa jupe remonte découvrant ses cuisses un peu plus. Ce petit jeu à l’air de lui plaire et de lui convenir. Elle me confie être très excitée. Je me retire. Nous nous fixons un rendez-vous dans un autre café. Un peu plus loin. Elle est désormais seule et libre. Je l’attends. Une demi-heure plus tard elle me rejoint. Radieuse. Elle est allée baiser dans les toilettes du café avec ce type. Elle me confie qu’elle a joui comme une salope ». Elle veut me raconter les détails de cette rencontre » Alors dès que tu es parti, je suis allée dans les toilettes propres et spacieuses, il m’a rejointe. Tout de suite, sans un mot sa main s’est glissée sous ma jupe, entre mes cuisses. J’ai dégrafé sa braguette et ai commencé à lui tripoter par-dessus son slip ses énormes couilles j’adore ça, comme tu sais !. Puis il m’a dit de me retourner et m’a longuement léchée… Hum ! Je lui ai enfilé la capote que tu m’avais donnée, en prévision ! Il m’a baisée. Nous avons joui assez rapidement tant nous étions excités. Il est sorti. J’avais tellement envie de faire pipi que je n’ai pas eu le temps de retirer ma culotte. Au point où elle en était ! J’ai trouvé ça très agréable. Touche-moi, tu aimes ça, je sais. J’ai d’autres projets avec lui, tu verras…» Je suis très excité et un peu jaloux, malgré tout. Elle a envie de continuer la soirée. Je n’ai rien contre Les rues calmes et les coins sombres sont idéaux pour les caresses intimes, les baisers dévorants. Nous en profitons. Je la force à déambuler dans la rue, jupe relevée, exposant son magnifique postérieur aux voyeurs occasionnels. Ce qu’elle aime. Arrivés dans un renfoncement propice aux ébats, elle me dit de me cacher dans l’encoignure qu’elle me désigne et de l’attendre. Elle veut me faire une surprise… Je l’attends. De longues minutes après elle arrive accompagnée d’un couple en quête d’aventures nocturnes. Ils ne sont pas là pour contempler les étoiles. Elle se retourne, écarte les jambes jupe relevée découvrant sa croupe. Elle se laisse caresser par les mains fouineuses de la fille. Le type entre en scène. Sexe dressé. Son visage vient longuement se plonger dans ses fentes onctueuses. Elle a toujours adoré être léchée, les langues qui pénètrent, fouinent et fouillent et caressent l’excitent tout particulièrement. Enfin il la baise. Elle se trémousse. Ils jouissent assez rapidement. Elle me fait signe de sortir de l’ombre. La fille, elle aussi brune, Lætitia, l’attend, robe relevée découvrant son superbe cul. Je plonge mon visage dans ce cul offert aux outrages. Ma langue et ma bouche dévorent longuement ses guenilles trempées d’envies. Je bande comme un âne –selon l’expression consacrée. Je sors mon vit tuméfié d’envies. Je la fous et ne tarde pas à jouir. Plaisirs rapides, à la sauvette ». Nous nous séparons. Je voudrais rentrer, dormir, rêver. Christine veut encore s’amuser, jouir de son corps, provoquer encore. J’accepte. Aller au bout de la nuit et de tous ses interdits. Oui. La nuit est douce, chaleur, troubles envies. Dans un petit coin, elle me dit Regarde ! ». Elle s’accroupit se met à pisser sans ôter sa petite culotte il faut dire déjà bien trempée. Je la caresse, la triture avec son linge mouillé sur lequel je passe ma langue avide. Chaude et aqueuse impression. J’aime ça. Elle adore ça ! Une parenthèse j’ai connu une jeune femme qui adorait souiller ses culottes » toujours mouillées de cyprine, bien sûr, de foutre, parfois et le plus souvent de pisse. Sous ses jupes ou minijupes en cuir, elle portait des petites culottes en coton blanc. J’adorais, lorsqu’elle rentrait du travail, vérifier leur état mouillées, trempées. Je la caressais d’abord longuement puis allais poser ma bouche et ma langue sur son sexe, respirer ses odeurs féminines. Puis je la baisais, follement. Une autre fois, Christine me fait la surprise de venir me chercher vêtue d’un short en jean effrangé, court et large. Coupé par ses soins dans un trop grand et vieux pantalon en denim. Elle est superbe. Un peu vulgaire. Bottes hautes. Une petite tunique courte, à mi-cuisses, la cache un peu. Nous mangeons un morceau. Buvons un peu. Nous nous caressons. La largeur de son short permet non seulement de voir mais aussi de toucher facilement. Nous nous embrassons follement. Nous sortons, comme elle le souhaite. Elle est merveilleuse. J’ai un peu peur des folies qu’elle est capable d’inventer et dont elle a envie de me réserver la surprise. Mais j’aime les surprises. Nous allons au café. Buvons demis sur demis des bonnes bières d’Abbayes. Riches et douces, mousseuses et fortes. Le temps est doux. Très agréable. Elle a ouvert sa tunique. Et aussi les jambes… Elle me demande à l’oreille de mettre mes doigts entre ses cuisses. J’hésite un peu, je m’enhardis. Elle est toute mouillée. Je la caresse. Un couple nous regarde. Complice de nos jeux. Visiblement excité. Christine les a vus, ça lui plaît terriblement. Ses cuisses s’ouvrent un peu plus. Elle me susurre à l’oreille quelques mots. J’ai du mal à comprendre tant je suis ému. En fait elle me dit qu’elle aurait envie de baiser avec le type, même s’il ne lui plaît pas. Juste pour se faire baiser. Elle me demande encore de la toucher. Ce que je fais. Je lui écarte sa culotte afin que son sexe soit bien visible. Elle apprécie. Le type la mate. Il est vulgaire, gros, vieux. Elle a envie. Elle lui fait un signe. Il a compris. Le type nous suit. Nous habitons à côté du café. Sous le porche de l’immeuble, il la baise, devant moi, rapidement, sans lui retirer son short large, lui écartant juste sa petite culotte. Il s’en va. Christine me dit, rentrés à la maison Viens ». Elle monte dans la douche, se retourne et pisse dans son short. Je la caresse, lui baisse son short. Je la lèche bois ses humeurs toutes chaudes. Longuement. Je la baise ensuite. Comme jamais. Nous passons une nuit fort belle. Dites-moi si vous aimez ces jeux. Pratiquez-vous des choses semblables ? Cela vous excite-t-il ? Aimez-vous porter des mini jupes en cuir ? Les tenues sexy ? Aimez-vous être exhibée, ou vous exhiber ? Provoquez les regards ? Une semaine bien remplie Cela faisait plus d’une semaine que je n’avais pas revue Christine. Mon amie, la trentaine, brune, grande, assez en chair, petits seins très sensibles. Tellement sensuelle ! Elle m’avait prévenu, elle serait très occupée. Quelques petits messages, bisous… avouons que cela n’est pas très satisfaisant ! Un mail, un dimanche. J’ai beaucoup travaillé. Comme jamais. Par contre je me suis aussi beaucoup divertie. Comme tu peux l’imaginer. J’étais seule avec ce type, un peu vieux, mais pas trop mal, dans notre bureau. Mes tenues sont devenues de moins en moins strictes. J’apportais avec moi toujours de quoi me changer. Je te raconte la suite, tu verras, ce n’est pas triste… » Elle vient le dimanche soir. Elle est avide de me raconter. J’ai soif de l’entendre me dire. Nous nous dévorons d’amour, de tendresse, de la folie d’aimer. Elle passe à des aveux quasi cliniques Lundi Premier contact. Je suis sage. On se regarde. On travaille. Je devine à voir ses regards qu’il ne pense pas qu’au travail. Moi non plus. Mardi Je risque une tenue plus suggestive ma jupe portefeuille grise, bottines… Il me regarde avec gourmandise. Il veut m’inviter le soir à sortir. Je refuse. Mercredi Journée intense de travail. Je porte une jupe plus courte, jambes nues. Ce qui ne le laisse pas indifférent. On travaille jusqu’à 20 h. Il m’invite à dîner. J’accepte. Il me raccompagne chez moi. J’accepte qu’il monte. Un petit verre pour se reposer. Sa main frôle ma cuisse et s’enhardit sous ma jupe. Je me laisse faire. Il est surpris que j’accepte aussi simplement. A moi de m’enhardir, je lui ouvre la braguette et glisse ma main. Surprise ! Heureuse. Des couilles énormes, comme j’aime. Jamais touché de si grosses boules ». Je les malaxe. Ça m’excite. On se met debout. Je lui baisse le pantalon et continue à le tripoter à travers son slip de coton blanc. Il bande. Ses grosses lèvres écumantes m’embrassent. Je me laisse faire tout en continuant à le masturber. Il ne tarde pas à jouir dans son slip. Un jet chaud et abondant vient l’inonder. Je continue à le toucher, le frotter afin de le faire rebander. Quant à moi, je mouille comme jamais. Je suis une vraie salope. Demain, il faudra retourner au travail et faire comme si rien ne s’était passé. Jeudi Aucune allusion. On travaille. Il m’invite le soir à boire un pot. Terrasse d’un café agréable. Je suis assez étonnée de voir le nombre de types qui me lancent des œillades. Je ne tarde pas à constater que les pans de ma jupe sont ouverts involontairement ? et que je suis indécente. Je fais comme si de rien et ne réajuste pas ma jupe. J’adore ces situations et j’ouvre même un peu les jambes. Mon patron », assis à mes côtés, me drague discrètement. Nous avons apporté des dossiers que nous travaillons. Il ne sait pas ce qui se passe. Il s’aperçoit à un moment que ma jupe est ouverte, il me le fait remarquer. Je le remercie de son attention. Je rabats pudiquement les pans de ma jupe. Qui ne tardent pas à s’ouvrir à nouveau au plus grand plaisir des voyeurs » dont les regards sont de plus en plus insistants. Je vais aux toilettes, baisse un peu ma culotte et l’écarte de façon à dégager mon minou. Nous continuons notre travail. Il m’invite à manger un morceau. J’ai faim. Il me propose de me raccompagner. J’accepte. Il veut monter. Je lui dis que oui mais, rien à espérer. Il me propose de prendre des photos. Ça me plaît. Des dizaines de photos numériques, je change de tenues, je suis indécente et très excitée. Toutes les tenues, les poses. Il ne me touche pas. Il est déçu. Tant pis. Vendredi Journée de travail durant laquelle je songe à ce que je pourrais bien faire durant ce week-end. En fin de journée, il me demande précisément ce que je fais ce week-end. Il me montre son écran d’ordinateur un site de rencontres libertines ! Je vois qu’il a mis certaines photos prises la veille sur deux trois couples qu’il a choisis. Un couple retient mon attention. Ils organisent une soirée samedi qui risque d’être assez excitante. J’accepte. Le soir je téléphone à ces inconnus. Tout est arrangé au bout d’une longue conversation j’irai chez eux samedi en milieu d’après-midi. Ils me donnent beaucoup de détails sur ce qu’ils attendent de moi… Ils savent ce qu’ils veulent. J’irai seule et mon patron » ne viendra que bien plus tard. Promis ! Samedi Je passe une partie du début de la journée à rêver, à me choisir des tenues, à fantasmer. J’imagine des choses, j’ai un peu peur et très envie. Surtout depuis qu’ils m’ont dit ce qu’ils souhaitaient de moi. Très excitée et partante, oui !, Je me prépare comme je sais qu’ils me veulent. Je prends un taxi et arrive chez eux à l’heure dite. Une belle femme, 35/40 ans, rousse, vêtue d’une robe en cuir rouge, courte, lacée, très excitante, me reçoit. Elle me demande de mettre à l’aise. Je retire mon imperméable. Je porte ma mini plissée en skaï noir, très évasée, des bottines, un tee-shirt moulant blanc. Elle apprécie ma tenue. Elle me rappelle les consignes » de la soirée je devrai servir boissons et plats aux invités qui devraient être une bonne vingtaine. Pas de partouze », me dit-elle. Par contre chacun des invités est prévenu nous devrons accepter toutes les baisers et caresses et, bien sûr, en donner autant que nous le voudrons. Par contre, quant au reste libre à chacun, à condition que cela se fasse discrètement. Elle me demande de faire bander » son mari, de l’exciter autant que je le peux. Elle me présente son mari. Il est assez âgé, l’air libidineux. Il me regarde avec envie. Je n’ai rien contre. Nous allons faire les préparatifs. D’après le contrat je ne peux refuser leurs caresses, aussi intimes qu’elles soient. Je demeure sage pour ma part. Un peu intimidée. Vers 20 h. les premiers invités arrivent. Je remplis ma fonction de soubrette ». Je me sens très pute ». Je sers des verres et des petites gâteries. Je suis obligée d’accepter certaines mains qui se glissent sous ma jupette, il est vrai faite pour ça. Je flashe pour un type qui me plaît. Je lui apporte un verre. Je ne me dégonfle pas et lui mets la main sur le sexe. Il bande. Il me touche, je mouille ! Les invités arrivent, jeunes, moins jeunes, vieux dégueulasses, vieilles salopes ! Toutes les tenues possibles. Des plus vulgaires aux plus sages. Une jeune femme, d’apparence BCBG, est assise, cuisses ouvertes, sans culotte. Offerte aux regards. La liberté règne et c’est super ! Mon hôtesse vient me rappeler les devoirs que j’ai à l’égard de son vieux mari et de ne pas oublier mes engagements. Je vais lui servir un verre. Je l’embrasse sur la bouche et lui mets la main sur son sexe. Je sens en même temps qu’une main vient me fouiller par derrière. C’est sa femme. Je lui ouvre son pantalon et le caresse plus intimement. Il bande ! J’ai envie de le sucer. Nous nous rendons dans la salle de bains. Je suce sa grosse bite. Il a beaucoup de mal à tenir la route ». Je lui offre mon cul à lécher. Sa langue passe partout, je jouis, je suis tellement excitée que ce n’est pas difficile. Quant à lui, son sexe demeure bien mou. Elle me propose de changer de tenues. Elle choisit le short en cuir que j’ai taillé dans un vieux pantalon en cuir. Elle est plus mince que moi. Le short est très court, un peu large. Elle ne souhaite pas porter quelque chose en dessous. Elle est très indécente. Moi, elle me donne le conseil de porter ma micro jupe » en cuir rouge et me demande de garder ma culotte. J’ai un peu honte. Mais, finalement, nous sommes là pour nous faire plaisir ! Je me sens assez pute », exposée. C’est à la fois agréable et un peu éprouvant. Je mouille, donc ça va. Et puis nous sommes là pour nous amuser. Je continue à faire office, je sers verres et friandises aux invités. Je regarde, on me regarde. On voit ma culotte, j’ai un peu honte, mais ça m’excite d’exciter. Et puis j’adore montrer ma culotte surtout lorsqu’elle est indécente, ne cache pas tout. Laisse deviner, fait fantasmer. Je reçois des caresses, je ne peux refuser ! Je regarde. Mon hôtesse fait fureur dans son short en cuir. Elle en profite. Elle s’éclipse à plusieurs reprises dans la pièce à côté. Je ne suis pas aussi débauchée qu’elle. Je suis fatiguée, je vais dormir. Demain20min Fille Qui Fait Pipi Dans Sa Culotte Porno 6K. 5 min Culotte Sexy 1K. 5 min Pipi Culotte Grosse Desperation Porno 3K. 21 min Pipi Culotte Grosse Enve Porno 9K. 10 min Pipi Culotte Grosse Deseperation Porno 5K. 12 min Femme En Culotte Pipi Porno 9K. 13 min Fille Pipi Culotte Involontairement Porno 6K. 21 min Récit Xxx Femme Pipi Culotte 9K. 69 sec Pipi Culotte Avertissement Unepisseuse fait dans sa culotte pendant qu'elle prépare 01:03. 49.8K. Jeune russe s’exhibe, se masturbe et fais pipi. 11:04. 61.9K. Jeune scatophile fait dans sa culotte toute blanche. 04:53. 279. Casting porno d'une étudiante qui retire sa culotte pour 12:37 . 189. Un jeune stagiaire gay retire sa culotte pour le patron. 08:15. 250. Amatrice scatophile en slip fait caca dans sa
Home Contact Publier une histoire Tel rose Fais l’amour au tél avec une vraie salope au 0895 22 70 43 seulement 0,80€/min et échange des photos avec elle ou rencontre la ! Publié le 22 avril 2012 Voici mon histoire de cul qui m’est arrivée hier et que je garderai dans mes souvenirs bien longtemps ! Je suis allé faire mes courses comme tous les Samedis après-midi à la grande surface près de chez moi. Ce magasin possède une galerie marchande superbe, un vrai piège à carte bleue, surtout pour moi qui ait un peu les poches percées. Enfin bref, ce n’est pas le sujet aujourd’hui ! Après avoir fait mes courses, je suis allé les mettre dans mon véhicule sur le parking. Une grosse envie de pipi me prit et malgré les quelques kilomètres seulement que j’ai à parcourir, je ne me voyais pas prendre le volant, d’autant que je ne porte pas de culotte, ça aurait fait un peu désordre dans la voiture de mon mari ! Me voila partie en direction de la galerie marchande, puis en direction des toilettes publiques qui se trouvent dans un petit couloir à l’abri des regards indiscrets. En arrivant dans les toilettes femmes, j’ai eue la grande surprise de tomber sur une queue incroyable. A croire que c’était l’heure de pointe pour le pipi room ! N’Ayant pas vraiment le temps d’attendre, je me suis décidé d’emprunter les toilettes hommes. Faut dire qu’il n’y avait personne et puis voir arriver une femme comme moi, je ne pense pas qu’ils seraient plaint ;. Seulement deux hommes s’y trouvaient, un beau mec d’une trentaine d’année qui se trouvait un peu gêné mais qui m’acquiesça un petit sourire à mon passage. J’ouvre la porte d’une des six cabines, et qu’elle stupeur j’ai eu, en m’apercevant qu’un homme d’une soixantaine d’années était la, assis, sur le point de faire ses besoins. Mon regard se pose sur son sexe au repos, un engin monstrueux, pas moins de 20 centimètres et d’une épaisseur à faire pâlir de jalousie, n’importe quel hardeur ! Le vieux ne fut même pas surpris de me voir et je dirai même qu’il fur agréablement surpris par ma présence ! Le vieux cochon ! Soudain, il prit son gros sexe dans les mains et me demanda » c’est ça que vous voulez ? » . Rouge de honte, je ne savais plus quoi dire… Et je poursuis » Vous avez un sexe imposant qui m’aurait bien tenté si je n’étais pas marié cher monsieur ! » Il rétorqua » il n’y a que vous et moi qui le saurait, ma petite dame, faite vous plaisir ! » Ce vieux porc n’était pas très beau mais j’avoue qu’un sexe de cette taille m’attirait beaucoup ! J’avance d’un pas pour rentrer avec la papy et referme la porte derrière moi. Je me retrouvais donc seul avec cet homme dont le sexe commençait à gonfler de plus en plus. Ce coquin me demande de m’asseoir devant lui. Etant hypnotisé par la vue de cet énorme pénis, je ne pu qu’assouvir sa demande. Je m’agenouille et prend son gros braquemart dans les mains. Il sentait l’urine, une odeur très forte qui m’attirait tel un parfum aphrodisiaque. Ma main n’arrivait même pas à faire le tour de ce beau pénis qui venait d’atteindre sa taille maximale. Je le gobe tant bien que mal, pendant que le type m’empoignait pas les cheveux en me demandant de l’enfoncer bien au fond de la gorge. J’astiquais la belle bite en me régalant comme une gourmande. Elle était tellement bonne que je la lâchais plus. Le sexagénaire se retenait de gémir, visiblement, cette pipe le comblait de bonheur. Pendant que je continuais à le pomper goulûment, le salaud me pelotait mes gros seins bien dardés comme un pervers. Soudain, je sentais sa respiration de plus en plus rapide et de plus en plus forte, il allait éjaculer le pervers ! Le voila qui se tord de plaisir et m’envoie un giclée de sperme qui vient de finir sa course dans mes cheveux. Je continuais à le branler vigoureusement et le purger complètement de cette bonne liqueur que j’essaie de récupérer tant bien que mal. » Nettoie bien ma queue, salope ! », me lance t-il ! Telle une salope en rut, je passe ma langue sur son gros gland encore très gonflé pour avaler les quelques gouttes de sperme qui s’y trouvait puis une dernière fois, j’avale entièrement la grosse bite de ce vieux coquins qui pousse ses derniers râle de plaisirs. – » C’était bien, lui demandais-je ? » – Oui, ma belle, tu es une reine de la pipe ! » Je me relève donc, je tape un clin d’oeil à cet inconnu et ressort de la cabine discrètement. Ma chatte était complètement inondée, je regrette de ne pas m’être fait culbutée par ce sexe énorme que je ne reverrais certainement pas de si tôt. En attendant, j’ai pris un pied monstre, et quelle excitation de sucer un inconnu dans des chiottes publiques, je ne regrette pas mon geste… Pour des rencontres réelles appelez le 0895 22 70 32 seulement 0,80€/min. Des centaines d’annonces de femmes sur votre département. Mariées ou célibataires, elles cherchent des rencontre d’un soir ou pour la vie.
Desmamies salopes font ça bien. 40,0K visualisation ; 68,2% 12:58 Une mamie se fait bien baiser. 17,4K visualisation ; 72,1% 24:00 Le bricoleur baise la mamie excitée. 44,8K visualisation ; 71,4% 20:44 Mamie dans un BDSM hardcore. 4,8K visualisation ; 66,0% 24:04 Une mamie se fait bien défoncer. 12,2K visualisation ; 71,0% 21:15 Compilation Pourquoi ma fille fait-elle pipi dans sa culotte ? Chaque semaine Michel Fize, sociologue au CNRS et spécialiste des questions de l'adolescence, répond aux questions de nos membres. Aujourd'hui il répond à Audrey, dont la petite fille fait très souvent pipi dans sa culotte ». Audrey Je suis divorcée du père de mes premiers enfants. Ma 3e, qui a 8 ans, fait encore plus ou moins régulièrement pipi dans sa culotte. Elle a vu une psychologue pendant quelques mois, il y a presque 3 ans mais cela n'a rien donné. J'ai à peu près tout essayé pour comprendre d'où vient ce problème mais sa seule réponse est je ne sais pas » ou je n'ai pas eu le temps d'aller aux toilettes... » Comment l'aider ?Michel Fize Je ne voudrais pas outrepasser mes compétences. Je dirais donc en préambule, que faire pipi à 8 ans traduit un problème qui relève d'abord de la médecine et de la psychologie. Il faut consulter l'une ou l'autre, mais sans dramatiser car nous ne sommes pas ici face à une pathologie lourde. Je puis vous donner mon sentiment sur la communication à établir avec votre fille. N'utilisez pas le langage tu ». Ne condamnez pas, ne stigmatisez pas. Pas de faut que tu ailles voir une psy - ou je ne sais qui ». Dites plutôt même si vous devez mentir un peu j'ai connu ce problème moi aussi, vers 6 ou 7 ans, c'était très gênant, un médecin m'en a guéri rapidement ». Ou bien dites que vous avez connu quelqu'un une amie peut-être autrefois qui avait un petit garçon dans ce cas. Il est toujours bon de savoir, face à un problème, que d'autres le rencontrent aussi. Dites encore je suis ennuyée pour toi, c'est désagréable, je le sais ». Allons consulter ensemble si tu veux bien ou parles-en à ...» un autre membre de la famille. Tenez-moi au aussi posez vos questions à Michel Fize auprès de notre Communauté de mamans ! Crédit photo Digital VisionVOIR AUSSI Pourquoi ma fille est-elle introvertie ? »Autorité parentale Mon fils veut vivre avec son père » Ma mère s'investit trop dans l'éducation de mon fils » vOq11.